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    1. Russian serfdom (Русское крепостничество)
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    2. Герцен А. И. - Прудону П. - Ж., 24 - 31 (12 - 19) июля 1855 г.
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    3. Былое и думы. Часть шестая. Англия (1852–1864). Приложения
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    1. Russian serfdom (Русское крепостничество)
    Входимость: 3. Размер: 61кб.
    Часть текста: the fierce tenacity of Transatlantic slaveholders. For it is to be remarked, that although many of the rich landholders in Russia passionately desire the maintenance of serfdom, no one is found to justify the institution ‒ no one to undertake its defence: not even the government. It is nevertheless a question of capital importance. Indeed, the whole Russian Question, for the present at least, may be said to be included in that of serfdom. Russia cannot make a step in advance until she has abolished slavery. The serfdom of the Russian peasant is the servitude of the Russian empire. The political and social existence of Western Europe formerly was concentrated in châteaux and in cities. It was essentially an aristocratic, or municipal existence. The peasant remained outside of the movement. The revolution took little thought of him. The sale of national property had no effect upon his condition, except to create a limited provincial bourgeoisie. The serf knew well enough that the land did not belong to him: he only looked for a personal and negative emancipation: an emancipation of the labourer. In Russia the reverse is the case. The original organization of that agricultural and communistic people was essentially...
    2. Герцен А. И. - Прудону П. - Ж., 24 - 31 (12 - 19) июля 1855 г.
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    Часть текста: personnes qui vous comprennent mieux et avec plus de sympathie dialectique que moi. Vous seul — je l'ai tant de fois dit aux autres — qu'il m'est impossible de ne pas le dire à vous — vous seul vous êtes le penseur autonome de la Révolution; la plupart des autres ont un corps d'idées —donné, fait, absolu. Ils sont comme les prêtres protestants auxquels on permet la discussion jusqu'à la douane théologique; arrivés là, ils sont condamnés à ruminer: variations à l'infini sur de vieux thèmes avec des arabesques et de la rhétorique. Cela vous suffit pour voir que j'ai très bien saisi la seconde parti de la lettre — et aussi j'existe presque dans un isolement complet. Je vous remercie de tout mon cœur pour l'assistance que vous voulez nous donner dans l'affaire de la Revue. Votre nom est déjà une grande chose pour le succès, on a un culte pour vous au Nord. Mais permettez-moi d'insister sur l'article; vous avez tout le temps jusqu'au 1-r décembre; donnez-moi l'autorisation de vous le rappeler deux ou trois fois. Quant à la Russie et au monde slave, je ne pense pas que je les regarde d'un point de vue idéaliste ou «exaltado». Voilà mes thèses: 1° La Commune rurale basée sur le partage continuel de la terre parmi les cultivateurs; l'association des ouvriers basée sur le partage du gain, non égalitaire, mais ...
    3. Былое и думы. Часть шестая. Англия (1852–1864). Приложения
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    Часть текста: biographe le propos suivant tenu par un malade enfermé à Bedlam: «Tout le monde me prend pour un fou, – disait-il, – moi j’ai la même opinion de tout le monde; malheureusement la majorité n’est pas de mon côté». Cela explique très bien le titre d’Owen et jette une grande lumière sur la question. Nous sommes convaincus que la portée de cette comparaison a échappé au sévère biographe. Il a voulu seulement insinuer qu’Owen était fou – et nous ne voulons pas le contredire, – mais cela n’est pas une raison pour penser que tout le monde ne l’est pas. Si Owen était fou – ce n’est nullement parce que le monde le pensait tel, et que lui-même le pensait de tout le monde. Mais bien parce qu’Owen – connaissant qu’il demeurait dans une maison des aliénés – parlait soixante ans de suite aux malades – comme s’ils étaient parfaitement sains. Le nombre des malades n’y fait absolument rien. La raison a sa justification, son criterium ailleurs – elle ne se soumet jamais à la majorité des voix. Si toute l’Angleterre, par ex., se prenait de croire que les «mediums» évoquent les esprits des défunts – et Faraday lui seul le nierait – la vérité et la raison seraient de son côté et non du côté de toute la population de l’Angleterre. Et cela n’est pas tout – supposons que même Faraday partagerait l’erreur – eh bien, dans ce cas la vérité concernant le sujet n’existerait pas du tout ...