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    Cлово "KENT"


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    1. Герцен А. и. - Фогту К., 16 (4) сентября 1852 г.
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    2. Былое и думы. Часть шестая. Англия (1852–1864). Приложения
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    1. Герцен А. и. - Фогту К., 16 (4) сентября 1852 г.
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    Часть текста: demain à Presset pour lui dire que je charge Avigdor à Nice de l’affaire. Je toucherai aussi tanto poco la belle question des 2000, mais légèrement. J’ai trouvé ici de grandes sympathies. Willich et Maz ont mis presque autant d’empressement que Löwe de froideur. Au commencement après mon arrivée, il est venu me voir deux fois, je lui ai proposé de dîner ensemble, probablement il a pris cette invitation pour une captatio benevolentiae  — et s’est excusé d’une manière étrange. Vous pourriez lui écrire (sans parler de cela), 7  Leicester Place ou Square  — car moi je n’irai plus chez lui, s’il ne vient pas chez moi. Oh, le sang israélite. J’ai fait la connaissance de Kinkel et de Reichenbach. Mais nous n’avons pas parlé de l’affaire. Je trouve les Anglais d’une hospitalité extraordinaire, c’est tout le contraire de ce qu’on raconte d’eux. Madame Carlyle — m’a invité chez elle en l’absence de son mari, qui est en Allemagne pour chercher les documents historiques sur le temps de Frédéric II. Il se trouve que Carlyle est un amateur de mes petites choses, comme je suis admirateur de son histoire, et qu’il voulait faire ma connaissance. Alexandre n’est pas à Londres — mais à Kent et nommément à Sevenoaks chez M me  Biggs, il y a là un grand jardin, des demoiselles, des gymnastiques. On l’a pris pour 4 jours. — Il...
    2. Былое и думы. Часть шестая. Англия (1852–1864). Приложения
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    Часть текста: avec le pli élégant de son esprit, qui1 [727] Chapitre II R. Owen donna à un de ses articles le titre Essai de changer l'asyle des aliénés dans lequel nous vivons – en un monde rationnel. Ce titre rappelle à son biographe le propos suivant tenu par un malade enfermé à Bedlam: «Tout le monde me prend pour un fou, – disait-il, – moi j’ai la même opinion de tout le monde; malheureusement la majorité n’est pas de mon côté». Cela explique très bien le titre d’Owen et jette une grande lumière sur la question. Nous sommes convaincus que la portée de cette comparaison a échappé au sévère biographe. Il a voulu seulement insinuer qu’Owen était fou – et nous ne voulons pas le contredire, – mais cela n’est pas une raison pour penser que tout le monde ne l’est pas. Si Owen était fou – ce n’est nullement parce que le monde le pensait tel, et que lui-même le pensait de tout le monde. Mais bien parce qu’Owen – connaissant qu’il demeurait dans une maison des aliénés – parlait soixante ans de suite aux malades – comme s’ils étaient parfaitement sains. Le nombre des malades n’y fait absolument rien. La raison a sa justification, son criterium ailleurs – elle ne se soumet jamais à la majorité des voix. Si toute l’Angleterre, par ex., se prenait de croire que les «mediums» évoquent les esprits des défunts – et Faraday lui seul le nierait – la vérité et la raison seraient de son...