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    1. Russian serfdom (Русское крепостничество)
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    2. Nouvelle phase de la littérature russe (Новая фаза в русской литературе)
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    3. Le peuple Russe et le socialisme (Русский народ и социализм)
    Входимость: 1. Размер: 95кб.
    4. A nos ennemis (Нашим врагам)
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    1. Russian serfdom (Русское крепостничество)
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    Часть текста: a question of capital importance. Indeed, the whole Russian Question, for the present at least, may be said to be included in that of serfdom. Russia cannot make a step in advance until she has abolished slavery. The serfdom of the Russian peasant is the servitude of the Russian empire. The political and social existence of Western Europe formerly was concentrated in châteaux and in cities. It was essentially an aristocratic, or municipal existence. The peasant remained outside of the movement. The revolution took little thought of him. The sale of national property had no effect upon his condition, except to create a limited provincial bourgeoisie. The serf knew well enough that the land did not belong to him: he only looked for a personal and negative emancipation: an emancipation of the labourer. In Russia the reverse is the case. The original organization of that agricultural and communistic people was essentially democratic. There were no châteaux, very few towns, and those few nothing but large villages. No distinction existed between the peasant and the citizen. The rural commune, as it still exists, is the exact image of the great communes of Novgorod, Pskow, Kiev. Moscovite centralization, indeed, destroyed the autonomy of the towns: but the humble word commune preserved its self-government, its trial by jury, its justices of the peace, till after the reign of Ivan the Terrible: that is to say, till the XVIIth century. The soil was not as yet the subject of individual property: each rural commune held its allotment of land. Each of its members had the right to cultivate a portion of that holding, and each appropriated in effect the fruits of his own labour. Such is still...
    2. Nouvelle phase de la littérature russe (Новая фаза в русской литературе)
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    Часть текста: parmi les paysans, il répond par la mitraille; aux refus des étudiants d'obtempérer à de puériles exigences — par les casemates et l'exil: les condamnations pour délits politiques recommencent. Le 14 décembre 1861, le poète Mikhaïlov est condamné aux travaux forcés, pour avoir adressé à la jeunesse un appel qui n'a eu aucune suite. La société, ce qui est peut-être plus étonnant, commence aussi à murmurer. Elle semble fatiguée de la liberté, avant même de l'avoir obtenue. Elle en craint les excès, avant d'en avoir eu la jouissance. La première effervescence passée, tout tend au calme plat. Il ne fallait qu'un prétexte pour entrer en pleine réaction, La police le fournit. Pour sortir de l'impasse, elle frappe un grand coup, à l'antique et rejette sur les «rouges», les «socialistes» et la jeunesse en général, l'incendie d'un quartier de Saint-Pétersbourg qu'elle n'a pas su éteindre, et auquel peut-être ont aidé quelques voleurs de rue. Ceci se passait au mois de mai 1862. A cette accusation, comme si on l'eût attendue, s'élève dans les journaux une clameur contre les incendiaires. On demande des enquêtes et «des punitions extraordinaires». On accuse des jeunes gens qui avaient répandu une espèce de manifeste révolutionnaire. «La Gazette de Moscou» tâche d'établir la complicité de la «Jeune Russie» avec les incendiaires et de faire peser sur celle-là la responsabilité des actes de ceux-ci. L'opinion publique s'alarme. On a peur à Pétersbourg. On a peur à Moscou. On a peur dans les...
    3. Le peuple Russe et le socialisme (Русский народ и социализм)
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    Часть текста: pourtant, nous pensons que cette lettre ne sera pas dénuée d'intérêt pour le public. Le célèbre historien a publié sur cette lettre, dans l'Avènement, un article plein de sentiments de bienveillance et de sentiments d'amitié personnelle pour l'auteur [55] . Monsieur, Vous êtes trop haut placé dans l'estime générale, vos paroles sont accueillies par la démocratie européenne avec trop de confiance que votre noble plume vous a si justement conquise, pour qu'il me soit permis, dans une cause qui touche a mes convictions les plus profondes, de laisser sans réponse la caractéristique du peuple russe que vous faites dans votre beau travail sur Kosciusko [56] . Cette réponse est d'autant plus indispensable, qu'il est temps de faire voir à l'Europe qu'en parlant actuellement de la Russie, ce n'est plus d'un absent, d'un éloigné, d'un muet que l'on parle. Nous sommes présents, nous qui avons quitté la Russie avec le seul but de faire retentir en Europe le libre verbe russe. La parole devient pour nous un devoir, quand un homme, appuyé sur une grande et légitime autorité, vient de nous dire que: «il affirme, qu'il jure, qu'il prouvera que la Russie n'existe pas, que les Russes ne sont pas des hommes, qu'il leur manque le sens moral». Voulez-vous parler de la Russie officielle, de l'empire des façades, du gouvernement...
    4. A nos ennemis (Нашим врагам)
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    Часть текста: amis à la française, nous ne voulons pas nous séparer de nos ennemis sans-adieux. Heureusement, un article publié dans une revue rédigée par le Katkoff de la Gazette de Moscou nous olfre une bonne occasion. Cet article, intitulé La presse russe à l’étranger, taisant l'éloge d'un dernier ouvrage de N. Tourguéneff, nous rudoie et coudoie — comme il fallait s'y attendre d'un ad latus du rédacteur homme d'Etat. Et bien, nous parlerons aussi de la presse russe à Г étranger. Malheureusement, et j'en fais toutes mes excuses possibles à nos lecteurs, je dois commencer par moi-même. J'ai quitté la Russie en 1847. Il y avait alors un mouvement intellectuel très remarquable, qui se faisait jour par toutes les fentes, par tous les pores, à travers les doigts de Nicolas. Il n'y avait pas de littérature de dénonciation pour aider la police; le gouvernement, très ignorant, sévissait, ollensait — et le mouvement allait son train. La léthargie qui pesait sur la partie éclairée de la Russie, depuis 1825, était inie — on se réveillait. L'Université de Moscou, rétrograde et servile maintenant, était à l'apogée ...