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    Cлово "LUCIFER"


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    1. Записи в вятской тетради
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    2. Былое и думы. Часть шестая. Англия (1852–1864). Приложения
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    3. Le dualisme, c'est la monarchie (Дуализм — это монархия)
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    1. Записи в вятской тетради
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    Часть текста: farsi quelle per lo vene vane. Ancor digesto scende ov’è piu bello Tacer che dire; e quindi poscia geme Sovr’altrui sangue in natural vasello. Ivi s’accoglie l’uno e l’altro insieme, L’un disposto a patire e l’altro a fare, Per lo perfetto luogo onde si preme; E, giunto lui, comincia ad operare, Coagulando prima, e poi avviva Cio che per sua materia fe’ constare. Anima fatta la virtute attiva, Qual d’una pianta, in tanto differente, Che quest’è in via e quella è gia a riva, Tanto ovra poi che gia si muove e sente, Come fungo marino; ed indi imprende Ad organar le posse ond’è semente. Or si spiega figluolo, or si distende La virtù ch’è dal cuor del generante Ove natura a tutte membra intende Ma come d’animal divenga fante, Non vedi tu ancor: quest’è tal pun Ché più savio di te fe’già errante; Sì che, per sua dottrina, fe’disgiunto Dall’anima il possibile intelletto, Perché da lui non vide organo assunt Apri alla verità che viene il petto, E sappi che sì tosto come al feto L’articolar del cerebro è perfetto, Lo Motor primo a lui si volge lieto, Sovra tanta arte di natura, e spira Spirito nuovo di virtù repleto, Che ciò che trova attivo quivi tira In sua sustanzia, e fassi un’alma sola, Che vive e sente, e sé in sé rigira. E perché meno ammiri la parola, Guarda il calor del sol che si fa vino, Giunto all’umor che dalla vite cola. Del Purgatorio, C XXV. ______ Nur wer die Sehnsucht kennt, Weiss, was ich leide! Allein und abgetrennt Von aller Freude, Seh’ ich aufs Firmament Nach jener Seite. Ach! der mich liebt und kennt, Ist in der Weite. Es schwindelt mir, es brennt Mein Eingeweide. Nur wer die Sehnsucht kennt, Weiss, was ich leide! Goethe (Wil...
    2. Былое и думы. Часть шестая. Англия (1852–1864). Приложения
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    Часть текста: ferme à Seven Oaks. Je fis sa connaissance à Nice en 1850 – elle connut et quitta notre famille avant les terribles orages. Je voulais moi-même la voir – je sympathisais avec le pli élégant de son esprit, qui1 [727] Chapitre II R. Owen donna à un de ses articles le titre Essai de changer l'asyle des aliénés dans lequel nous vivons – en un monde rationnel. Ce titre rappelle à son biographe le propos suivant tenu par un malade enfermé à Bedlam: «Tout le monde me prend pour un fou, – disait-il, – moi j’ai la même opinion de tout le monde; malheureusement la majorité n’est pas de mon côté». Cela explique très bien le titre d’Owen et jette une grande lumière sur la question. Nous sommes convaincus que la portée de cette comparaison a échappé au sévère biographe. Il a voulu seulement insinuer qu’Owen était fou – et nous ne voulons pas le contredire, – mais cela n’est pas une raison pour penser que tout le monde ne l’est pas. Si Owen était fou – ce n’est nullement parce que le monde le pensait tel, et que lui-même le pensait de tout le monde. Mais bien parce qu’Owen – connaissant qu’il demeurait dans une maison des aliénés – parlait soixante ans de suite aux malades – comme s’ils étaient parfaitement sains. Le nombre des malades n’y fait absolument rien. La raison a sa justification, son criterium ailleurs – elle ne se soumet jamais à la majorité des voix. Si toute l’Angleterre, par ex., se prenait de croire que les «mediums» évoquent les esprits des défunts – et Faraday lui seul le nierait – la vérité et la raison seraient de son côté et non du ...
    3. Le dualisme, c'est la monarchie (Дуализм — это монархия)
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    Часть текста: vivifiant et la matière brute; c'est le prêtre bénissant et le laïque recevant la bénédiction; c'est le juge condamnant et l'accusé subissant son sort... Le gouvernement ne doit jamais coïncider avec le peuple ou s'en est fait de lui. Le gouvernement, c'est la providence, c'est le bon pasteur — le peuple, c'est la masse inerte, c'est le troupeau docile. La monarchie est, à vrai dire, une théocratie. La notion la plus monarchique, c'est la notion de Jéhovah; sans Jéhovah, il peut encore exister des despotes, mais non des monarques, non des rois. Le roi des cieux suppose le roi terrestre et le soutient. Pourquoi, en effet, les hommes n'obéiraient-ils pas à un seul, lorsque toute la nature, tout l'univers, obéissent servilement à un seul. De là, il résulte clairement que le premier besoin d'une organisation sociale libre — c'est d'effacer complètement toute démarcation entre prêtre et laïque, entre peuple et gouvernement. La monarchie aima toujours à se comparer à l'ordre céleste — la république, plus humble, et tout-à-fait terrestre, doit ressembler à la nature. La nature, c'est l'harmonie et l'anarchie, c'est l'individualisme de chaque être et l'ensemble le plus grand, le plus complet de tous. Le principe de la nature est tout le contraire du dualisme — c'est l'immanence. L'immanence réunit ce que le dualisme sépare;...