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    1. Du développement des idées révolutionnaires en Russie (О развитии революционных идей в России). II. La Russie avant Pierre ier (II. Россия до Петра I )
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    2. Mémoires de Catherine II. Préface (3аписки Екатерины II. Предисловие)
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    3. Du développement des idées révolutionnaires en Russie (О развитии революционных идей в России). Introduction (Введение )
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    1. Du développement des idées révolutionnaires en Russie (О развитии революционных идей в России). II. La Russie avant Pierre ier (II. Россия до Петра I )
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    Часть текста: comme l'acheminement vers un avenir inconnu, qui commence à poindre. La véritable histoire russe ne date que de 1812 – antérieurement il n'y avait que l'introduction. Les forces essentielles du peuple russe n'ont jamais été effectivement absorbées par son développement, comme l'ont été celles des peuples germano-romains. Au IXe siècle, ce pays se présente comme un Etat organisé d'une toute autre manière que les Etats d'Occident. Le gros de la population appartenait à une race homogène, disséminée sur un territoire très vaste et très peu habité. La distinction qu'on trouve partout ailleurs entre la race conquérante et les races conquises ne s'y rencontrait point. Les peuplades faibles et infortunées des Finnois, clairsemées et comme perdues parmi les Slaves, végétaient hors de tout mouvement, dans une soumission passive, ou dans une sauvage indépendance; elles étaient de nulle importance pour l'histoire russe. Les Normands (Varègues), qui dotèrent la Russie de la race princière qui y régna, sans interruption, jusqu'à la fin du XVIe siècle, étaient plus organisateurs que conquérants. Appelés par les Novgorodiens, ils s'emparèrent du pouvoir et retendirent bientôt jusqu'à Kiev [3] . Les princes varègues et leurs compagnons perdirent à la fin De cuelques générations le caractère de leur nationalité, et se confondirent avec les Slaves, après avoir imprimé toutefois une impulsion active et une nouvelle vie à toutes les parties de cet Etat à peine organisé. Le caractère slave...
    2. Mémoires de Catherine II. Préface (3аписки Екатерины II. Предисловие)
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    Часть текста: («A son altesse impériale, le césarévitch et grand-duc Paul, mon fils bien-aimé»). Sous cette enveloppe se trouvait le manuscrit des Mémoires que nous publions. Le cahier se termine brusquement vers la fin de 1759. On dit qu’il y avait des notes détachées qui auraient dû servir de matériaux pour la continuation. Il y a des personnes qui disent que Paul les a jetées au feu: il n’y a pas de certitude à ce sujet. Paul tenait en grand secret le manuscrit de sa mère, et ne le confia jamais qu’à son ami d’enfance, le prince Alexandre Kourakine. Celui-ci en prit une copie. Une vingtaine d’années après la mort de Paul, Alexandre Tourguéneff et le prince Michel Vorontzoff obtinrent des copies de l’exemplaire de Kourakine. L’empereur Nicolas, ayant entendu parler de cela, donna ordre à la police secrète de s’emparer de toutes les copies. Il y en avait, entre autres, une écrite à Odessa, par la main du célèbre poète, Pouchkine. Effectivement, les Mémoires de l’impératrice Catherine II ne circulèrent plus. L’empereur Nicolas se fit apporter, par le comte D. Bloudoff, l’original, le lut, le cacheta avec le grand sceau de l’Etat, et ordonna de le garder aux...
    3. Du développement des idées révolutionnaires en Russie (О развитии революционных идей в России). Introduction (Введение )
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    Часть текста: nous dirions même, avec tant d'exagération. C'est un défrichement à côté d'un enterrement, c'est la veille touchant le lendemain, c'est une germination pénible et une agonie difficile. D'un côté tout sent la chaux, rien n'est terminé, rien n'est encore habitable, partout des bois de construction, des murs nus; de l'autre, tout sent le moisi, tout tombe en ruines, tout devient inhabitable, partout fentes, débris et décombres. Entre les bois de sapin saupoudrés de neige, dans de grandes plaines, apparaissaient les petits villages russes; ils se détachaient brusquement sur un fond d'une blancheur éblouissante. L'aspect de ces pauvres communes rurales a quelque chose de profondément touchant pour moi. Les maisonnettes se pressent l'une l'autre, aimant mieux brûler ensemble que de s'éparpiller. Les champs sans haies ni clôtures, se perdent dans un lointain infini derrière les maisons. La petite cabane pour l'individu, pour la famille; la terre à tout le monde, à la commune. Le paysan qui habite ces maisonnettes est resté dans le même état où les armées nomades de Tchinguis-Khan le surprirent. Les événements des derniers siècles ont passé au-dessus de sa tête, sans même...