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    1. Du développement des idées révolutionnaires en Russie (О развитии революционных идей в России). Épilogue ( Эпилог)
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    2. Герцен А. И. - Мейзенбуг М., 25 (13) июня 1866 г.
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    3. Герцен А. И. - Гаугу Э., Около 16 (4) марта 1852 г.
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    4. Герцен А. И. - Мейзенбуг М., Между 1 и 4 ноября (20 и 23 октября) 1866 г.
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    5. To the editor of "The Daily News" (Sir, — A telegram which appeared...) - Издателю "The Daily News" (Сэр, в телеграмме, напечатанной...)
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    1. Du développement des idées révolutionnaires en Russie (О развитии революционных идей в России). Épilogue ( Эпилог)
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    Часть текста: plus loin avec le carcan du servage au cou. L'oukase du 2 avril 1842 qui invitait la noblesse à céder quelques droits aux paysans, en retour des redevances et des obligations qu'on avait stipulées de part et d'autre, prouve assez clairement, que le gouvernement voulait l'émancipation. La noblesse des provinces s'en émut, se divisa en partis, prenant cause pour ou contre l'affranchissement. On se hasardait à parler de l'émancipation dans les réunions électorales. Le gouvernement permit à la noblesse, dans deux ou trois chels-lieux, de nommer des comités pour aviser aux moyens d'affranchir les serfs. Une partie des seigneurs étaient exaspérés, ils ne voyaient dans cette grande question sociale qu'une attaque de leurs privilèges et de la propriété et s'opposaient à toute innovation, se sachant appuyés par l'entourage du tzar. La jeune noblesse voyait plus clair et calculait mieux. Ici, nous ne parlons pas de ces quelques individus pleins de dévoûment et d'abnégation, qui sont prêts...
    2. Герцен А. И. - Мейзенбуг М., 25 (13) июня 1866 г.
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    Часть текста: 1839, précisément l’âge d’Alex — en 1866. Cela n’arrive pas souvent dans la vie de deux individus. Je tâcherai de vous envoyer vers le 10 juillet 1000 fr s pour vous donner encore l’occasion de les recevoir avec une prime. Eh bien vous voilà bien Emanuélisée — à 3 h. du matin, in einem Schiff, — pourtant le manifeste de S. M. prussienne est le chef d’œuvre du moyen âge brandenbourgisé. Au moins l’Autrichien raisonne et floue — mais cela c’est toujours. «Wir müssen nicht nur Soldaten sein, sondern Soldaten sind». — Ici finit la partie politique de l’épître. Ceux qui sont vieux — ne sont pas toujours capables d’être Vieusseux. — Mais la proposition n’est pas impossible — (La première, c’est-à-dire d’acheter le Forum Romanum et y établir la Cloche était aussi bonne). Faites faire par Alex une enquête, sans plaisanterie. Il faut avoir un homme d’affaire pour connaître les détails. Je donnerai la firme, Alex pourrait raffermir la firme par le travail — mais il faut un collègue — ma dove? Il y a déjà 3 ans que je...
    3. Герцен А. И. - Гаугу Э., Около 16 (4) марта 1852 г.
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    Часть текста: elle m’a remis, — grâce vous en soit rendue! Oui, j’accepte la solidarité fraternelle, j’accepte votre main — non pour combattre pour moi, mais pour me soutenir dans une lutte difficile à terminer comme je le désire. Pourtant avant de vous engager plus loin dans cette affaire triste, noire, il vous faut connaître les faits. Je veux vous les raconter; cela me coûte beaucoup, mais il le faut. Après le récit, je vous dirai: «Jugez et agissez maintenant d’après votre cœur». Vous m’avez rappelé dans votre lettre une conversation que nous avons eue, en nous promenant une nuit près de la Madeleine. Oh, que je vous remercie de vous en être rappelé. Cette conversation non seulement abrège ma tâche pénible, mais elle me sert de preuve, de base, de document — au moins par rapport à vous. Oui, j’ai ouvert alors mon âme, je vous ai dévoilé mon cœur. Cela m’arrive rarement, je ne parle jamais de mes sentiments, il y a je ne sais quelle pudeur qui m’en empêche, — mes sentiments sont pour moi seul. — Je vous disais donc alors qu’une seule femme a joué un rôle dans ma vie, et que ce rôle était immense, que je n’ai aimé qu’une seule femme et que cet amour était vivant dans mon cœur, comme le premier jour. Une sympathie profonde...
    4. Герцен А. И. - Мейзенбуг М., Между 1 и 4 ноября (20 и 23 октября) 1866 г.
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    Часть текста: 1 juillet) je pourrais m’arranger de manière: Alex recev .... 2500 Vous et Olga......... 2500 Tata.............. 1250 6750 (outre les 1500). Vous avez à Florence 1000 frs. — et j’enverrai au mois de janvier 2750 (ou si Alex prend avant, la moitié du restant). Si Tata retourne au mois de mai — je défalquerai 2 mois. La quote-part d’Alex dont les dépenses de la maison doivent être reglées par vous < 1  нрзб.> — il doit payer un peu plus que le quart de la somme dépensée en cuisine, éclairage, vin, charbon etc., etc. Vous voyez tout en règle d’une manière très régulière. Un extra pour les extras comme chose extraordinaire dépend des circonstances. Votre tout dévoué intendant général. Vous avez à recevoir 25 francs d’une rente italienne que j’ai. Avec ce budget je dépose à vos pieds un petit cadeau noir que Tata vous remettra. Votre ordre pour la petite montre sera exécuté. «Au fond» — je dirai comme Levasseur, je suis triste, très triste — un chaos, un dualisme me déchire. Tout ce que je voulais faire — ne se fait pas, tout ce que je construisais — donne des crevasses avant qu’on couvre le toit. La jeunesse dit que je suis aigri, intolérant parfois — cela peut être. Je voudrais les mettre dans ma peau. — Tout m’échappe, même la santé d’Ogar ‑ ...
    5. To the editor of "The Daily News" (Sir, — A telegram which appeared...) - Издателю "The Daily News" (Сэр, в телеграмме, напечатанной...)
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    Часть текста: with our fellow-labourers in the Russian printing-office, and our friends, the event of the emancipation of the peasants in Russia, and on the morning of that day arrived by telegraph the account of the massacres at Warsaw. We quote from the article referred to: Our fête was sombre, sinister: we have known few days more heavy, when the mind has been more painfully oppressed by conflicting sentiments; never before did lampions hang so close to tears. The time is still far distant when a Russian may hold a fête for any event whatever in gaiety of heart, with no sad thought behind, with no anxious care. We had grown young again at the great news of the emancipation of the peasants; we looked forward with hope and anticipated with emotion our proposed meeting, prepared to drink, for the first time in our lives, the health of the emperor Alexander II, liberator of the peasants. We knew perfectly well to what obloquy we should expose ourselves by this act on the part of a narrow-minded political puritanism and mean jealousies. But we also knew that this toast, pronounced by us at our table, would have an echo in the heart of the emperor Alexander, very different from that of an enthusiasm under censure of the gendarmes and warmed by the police. But our hand fell, our toast was...