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    1. Du développement des idées révolutionnaires en Russie (О развитии революционных идей в России). V. La littérature et l"opinion publique après le 14 décembre 1825 ( V. Литература и общественное мнение после 14 декабря 1825 года )
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    2. Le peuple Russe et le socialisme (Русский народ и социализм)
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    3. Былое и думы. Часть пятая. Париж – Италия – Париж (1847–1852). Русские тени. II. Энгельсоны
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    4. Герцен А. И. - Прудону П. - Ж., 6 - 7 сентября (25 - 26 августа) 1852 г.
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    5. Un fait personnel (Личный вопрос)
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    6. Исторические очерки о героях 1825 года и их предшественниках, по их воспоминаниям. Chapitre II. Un conspirateur de 1825 (Jean Yakouchkine)
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    7. Другие редакции. Былое и думы
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    8. Nouvelle phase de la littérature russe (Новая фаза в русской литературе)
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    9. Герцен А. И. - Пьянчани Л., 28 (16) сентября 1855 г.
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    10. Былое и думы. Часть шестая. Англия (1852–1864). Приложения
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    11. Lettre d'un Russe à Mazzini (Письмо русского к Маццини)
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    1. Du développement des idées révolutionnaires en Russie (О развитии революционных идей в России). V. La littérature et l"opinion publique après le 14 décembre 1825 ( V. Литература и общественное мнение после 14 декабря 1825 года )
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    Часть текста: идей в России). V. La littérature et l"opinion publique après le 14 décembre 1825 ( V. Литература и общественное мнение после 14 декабря 1825 года ) V. La littérature et l'opinion publique après le 14 décembre 1825 Les vingt-cinq années qui suivent le 14 (26) décembre sont plus ditficiles à caractériser que toute l'époque écoulée depuis Pierre Ier. Deux courants en sens inverse, l'un à la surlace, l'autre à une profondeur où on le distingue à peine, embrouillent l'observation. A l'apparence, la Russie restait immobile, elle paraissait même reculer; mais, au fond, tout prenait une face nouvelle, les questions devenaient plus compliquées, les solutions moins simples. A la surface de la Russie officielle, «de l'empire des façades», on ne voyait que des pertes, une réaction féroce, des persécutions inhumaines, un redoublement de despotisme. On voyait Nicolas entouré de médiocrités, de soldats de parades, d'Allemands de la Baltique et de conservateurs sauvages, lui-même méfiant, froid, obstiné, sans pitié, sans hauteur d'âme, médiocre comme son entourage. Immédiatement au-dessous de lui se rangeait la haute société qui, au premier coup de tonnerre qui éclata sur sa tête après le 14 décembre, avait perdu les notions à peine acquises d'honneur et de dignité. L'aristocratie russe ne se releva plus sous le règne de Nicolas, sa fleuraison était passée; tout ce qu'il y avait de noble et de généreux dans son sein était aux mi-Qes ou en Sibérie. Ce qui restait ou se...
    2. Le peuple Russe et le socialisme (Русский народ и социализм)
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    Часть текста: la renvoyer, sans égard aux réclamations. Les temps ont changé; pourtant, nous pensons que cette lettre ne sera pas dénuée d'intérêt pour le public. Le célèbre historien a publié sur cette lettre, dans l'Avènement, un article plein de sentiments de bienveillance et de sentiments d'amitié personnelle pour l'auteur [55] . Monsieur, Vous êtes trop haut placé dans l'estime générale, vos paroles sont accueillies par la démocratie européenne avec trop de confiance que votre noble plume vous a si justement conquise, pour qu'il me soit permis, dans une cause qui touche a mes convictions les plus profondes, de laisser sans réponse la caractéristique du peuple russe que vous faites dans votre beau travail sur Kosciusko [56] . Cette réponse est d'autant plus indispensable, qu'il est temps de faire voir à l'Europe qu'en parlant actuellement de la Russie, ce n'est plus d'un absent, d'un éloigné, d'un muet que l'on parle. Nous sommes présents, nous qui avons quitté la Russie avec le seul but de faire retentir en Europe le libre verbe russe. La parole devient pour nous un devoir, quand un homme, appuyé sur une grande et légitime autorité, vient de nous dire que: «il affirme, qu'il jure, qu'il prouvera que la Russie n'existe pas, que les Russes ne sont pas des hommes,...
    3. Былое и думы. Часть пятая. Париж – Италия – Париж (1847–1852). Русские тени. II. Энгельсоны
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    Часть текста: пророка и якобинца 1793 года. Старик этот был Пьер Леру . Она умерла в начале 1865 года в Испании. О ее смерти я узнал несколько месяцев спустя. Где ребенок, я не слыхал. Человек, о котором идет речь, был мне близок, был мне дорог, он первый обтер глубокие раны, когда они были свежи, он был моим братом, моей сестрой. Она , вряд зная ли, что делает, отдалила его от меня. Он стал моим врагом… Весть о ее смерти опять вызвала их в памяти… Я взял тетрадь, писанную мною об них в 1859году, и, вместо псалтыря, прочел ее над покойниками. Долго думал я, печатать ее или нет, и недавно решил, что да. Намерение мое чисто, рассказ истинен. Не упрек хочу я бросить в их могилу, а вместе с читателем еще и еще раз проследить по новым субъектам всю сложную, болезненную сломанность людей последнего николаевского поколения. Château Boissiere, 31 декабря 1865. I В конце 1850 года в Ниццу приехал один русский с женой. Мне их указали на прогулке. Оба они принадлежали к чающим движения воды; он – худой, бледный, чахоточный, рыжевато-белокурый, она – быстро увядшая красота, истомленная, полуразрушенная, измученная. Лекарь, живший у одной русской дамы, сказал мне, что белокурый господин – лицеист, что он читает «Vom andern Uier», что он был замешан в деле Петрашевского и по всему тому желает со...
    4. Герцен А. И. - Прудону П. - Ж., 6 - 7 сентября (25 - 26 августа) 1852 г.
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    Часть текста:   августа) 1852   г. Лондон. 6 septembre 1852. Londres. 4, Spring Gardens. Cher et vénérable ami, Le sentiment avec lequel j’ai lu et relu votre lettre était beaucoup plus profond et plus chaleureux que le sentiment de la reconnaissance la plus sincère. J’étais ému, touché, j’étais fier d’avoir été si parfaitement compris par vous. Je me sentais immensément fort, appuyé de cette manière et par une main qui était la vôtre. J’ai hasardé une chose difficile, audacieuse. Il me fallait des mois de méditation, des malheurs terribles et toute l’énergie qui me restait encore pour me décider à une chose, d’ailleurs tout à fait conforme à nos convictions, à nos principes, mais insolite, peu commune. Tant il est vrai que pratiquement nous sommes encore des hommes du vieux monde. Refuser un duel avec un scélérat que vous avez si bien caractérisé, qui, commençant par une trahison a fini par un assassinat en passant par le mensonge, l’escroquerie, la calomnie, et en appeler à la justice de tout ce qui s’avoue socialiste, révolutionnaire — quoi de plus simple, de plus naturel pour un homme qui professe depuis quinze ans le...
    5. Un fait personnel (Личный вопрос)
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    Часть текста: après. Me trouvant par hasard loin de là, je pouvais scruter jusqu'au fond, et après un travail pénible je me suis décidé à  m'abstenir. L'idée du Congrès était tellement juste que je m'empressai, un des premiers, de signer mon nom sur une liste d'adhésion. Je désirai au Congrès tout le succès possible, et je craignais sincèrement une non-réussite matérielle ou morale; je tremblais qu'on ne constatât la faiblesse numérique des adhérents, qu'on ne s'aperçût du vague des idées des vieux partis, qui souvent se bornent au dévouement, sans formuler la marche des choses, à ces sympathies généreuses, qui ont voulu tant de bien à l'humanité et ont laissé passer tant de mal. Ces considérations ne pouvaient que m'engager d'aller à Genève. Un tout autre scrupule m'est venu en attendant. Je trouvais une telle recrudescence d'animosité contre la Russie dans les journaux démocratiques, dans des brochures patronnées par eux, que je m'arrêtai tout court devant une question qui me...
    6. Исторические очерки о героях 1825 года и их предшественниках, по их воспоминаниям. Chapitre II. Un conspirateur de 1825 (Jean Yakouchkine)
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    Часть текста: pas fondu en une monographie les divers mémoires; au contraire, nous leur avons conservé leur individualité, quoique cela nous entraînât parfois à des répétitions. Le chapitre présent est extrait de la première partie des mémoires de Jean Yakouchkine. Nous ne sommes jamais parvenus à avoir la seconde, qui nous a été positivement promise par nos amis, plus riches en amitié qu'en exactitude. Il y a d'étranges accapareurs, qui pensent naïvement que des mémoires pareils peuvent être une propriété privée. Non seulement des parents et des héritiers, mais des personnes qui ont obtenu, par un hasard heureux, une copie, la mettent sous clé, jouant ainsi le rôle peu généreux du caniche qui gardait avec une avarice jalouse le foin dont il ne se servait pas. I Les destinées de l'Empire russe s'accomplirent le jour de l'entrée triomphale d'Alexandre I er à Paris, escorté par une escouade de princes, parmi lesquels il y avait un empereur d'Autriche et un roide Prusse. Nec plus ultra! Dès ce jour, l'empire pour l'empire était fini, il fallait chercher d'autres bases pour le soutenir, d'autres éléments pour le développer, et ils commençaient à poindre. L'Empire russe, habillé à l'allemande par Pierre I er , heurta longtemps aux portes de l'Europe, en demandant une place au banquet de ses souverains, avant de les voir s'ouvrir. Les Bourbons regardaient avec dédain l'hyperboréen parvenu. Cent ans après, les mêmes Bourbons allaient être remis sur leur trône par un tzar russe et une armée russe. L'empire ne voulait que s'affirmer, être reconnu, il s'imposait maintenant comme force...
    7. Другие редакции. Былое и думы
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    Часть текста: Море было в движении (houleuse) – но вовсе не бурно. Ночь была месячная. Удар был так силен, что железный «Ville de Marseille» буквально расселся на две части и минут через десять пошел ко дну. Пассажиры большей частью спали в каютах, когда случился удар, многие там и погибли не выходя. Шпилман – рассказывала горничная – услышав шум, бросился наверх и закричал, чтоб Колю одевали. Когда моя мать взошла на палубу, гибель была очевидна; лодка с «Марселя» бросила веревку, Шпилман ее взял, горничная держала ребенка на руках – в это время сильная волна покачнула мою мать – она только успела сказать: «Спасайте ребенка, спасайте ребенка!» – ее не видали больше. «Давайте его сюда», – кричал Шнилман горничной, но та, оцепенелая от страха, не делала ни шагу. «Тогда он оставил веревку, – говорит англичанин в своей статье, – пароход начинал тонуть, и, видя, что он не можкет больше достать веревку, – я схватил ее и бросился на...
    8. Nouvelle phase de la littérature russe (Новая фаза в русской литературе)
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    Часть текста: des serfs, a eu peur de s'être trop avancé. Aux malentendus que les nouvelles ordonnances ont fait naître parmi les paysans, il répond par la mitraille; aux refus des étudiants d'obtempérer à de puériles exigences — par les casemates et l'exil: les condamnations pour délits politiques recommencent. Le 14 décembre 1861, le poète Mikhaïlov est condamné aux travaux forcés, pour avoir adressé à la jeunesse un appel qui n'a eu aucune suite. La société, ce qui est peut-être plus étonnant, commence aussi à murmurer. Elle semble fatiguée de la liberté, avant même de l'avoir obtenue. Elle en craint les excès, avant d'en avoir eu la jouissance. La première effervescence passée, tout tend au calme plat. Il ne fallait qu'un prétexte pour entrer en pleine réaction, La police le fournit. Pour sortir de l'impasse, elle frappe un grand coup, à l'antique et rejette sur les «rouges», les «socialistes» et la jeunesse en...
    9. Герцен А. И. - Пьянчани Л., 28 (16) сентября 1855 г.
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    Часть текста: jamais parler lorsqu'on n' a rien à dire — il faut respecter la parole humaine». La chose la plus étrange c'est que Kossuth est parti d'ici le 20 ou le 21. J'ai eu Г occasion de le plus voir, c'est un homme d'immensément d'esprit tout pratique —à peine arrivé —une proclamation. Peut-être je me trompe —mais cela me paraît un grand certificat de ce qu'on sent que le terrain manque sous les pieds. Et les circonstances, les circonstances sont d'une gravité... plus enceinte, que la pauvre Eugénie qui n'est pas chargeable. Chor Pianciani, ces réflexions je vous les communique tout franchement mais laissons-les entre nous. Votre tout dévoué A. Herzen. Перевод 28 сентября. Остров Уайт. Вентнор. St. Augustins Villas. Дорогой Пьянчани, через шесть дней я вернусь в Ричмонд, буду у Ротшильда и сделаю все, что возможно. Должен вас предупредить, однако, что этот банкирский дом еще раз доказал, что он не слишком склонен быть любезным. Речь шла о совсем пустяковом деле, касавшемся Таландье; бог мой, сколько тут было переписки, сомнений, переговоров! Видели ли вы, наконец, книгу Мишле? И еще скажите мне,...
    10. Былое и думы. Часть шестая. Англия (1852–1864). Приложения
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    Часть текста: Приложения Приложения Авторские переводы R. Owen Chapitre I Bientôt après mon arrivée à Londres en 1852 j’ai reçu une lettre de la part d’une dame – elle m’invitait de venir passer un couple de jours à sa ferme à Seven Oaks. Je fis sa connaissance à Nice en 1850 – elle connut et quitta notre famille avant les terribles orages. Je voulais moi-même la voir – je sympathisais avec le pli élégant de son esprit, qui1 [727] Chapitre II R. Owen donna à un de ses articles le titre Essai de changer l'asyle des aliénés dans lequel nous vivons – en un monde rationnel. Ce titre rappelle à son biographe le propos suivant tenu par un malade enfermé à Bedlam: «Tout le monde me prend pour un fou, – disait-il, – moi j’ai la même opinion de tout le monde; malheureusement la majorité n’est pas de mon côté». Cela explique très bien le titre d’Owen et jette une grande lumière sur la question. Nous sommes convaincus que la portée de cette comparaison a échappé au sévère biographe. Il a voulu seulement insinuer qu’Owen était fou – et nous ne voulons pas le contredire, – mais...