• Приглашаем посетить наш сайт
    Полевой Н.А. (polevoy.lit-info.ru)
  • Поиск по творчеству и критике
    Cлово "FEN"


    А Б В Г Д Е Ж З И Й К Л М Н О П Р С Т У Ф Х Ц Ч Ш Щ Э Ю Я
    0-9 A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z
    Поиск  
    1. Былое и думы. Часть пятая. Париж – Италия – Париж (1847–1852). Приложения
    Входимость: 2. Размер: 79кб.
    2. Lettres d’un Russe de l’Italie (Авторский перевод)
    Входимость: 1. Размер: 32кб.
    3. Исторические очерки о героях 1825 года и их предшественниках, по их воспоминаниям. Chapitre III. Rad Ryleieff et Nicolas Bestoujeff
    Входимость: 1. Размер: 32кб.
    4. Mémoires de Catherine II. Préface (3аписки Екатерины II. Предисловие)
    Входимость: 1. Размер: 55кб.
    5. Герцен А. И. - Мишле Ж., 8 - 9 июля (26 - 27 июня) 1855 г.
    Входимость: 1. Размер: 17кб.
    6. Du développement des idées révolutionnaires en Russie (О развитии революционных идей в России). IV. 1812–1825
    Входимость: 1. Размер: 76кб.
    7. La colonie russe (Русская колония)
    Входимость: 1. Размер: 24кб.
    8. Былое и думы. Часть шестая. Англия (1852–1864). Приложения
    Входимость: 1. Размер: 102кб.
    9. Исторические очерки о героях 1825 года и их предшественниках, по их воспоминаниям. Chapitre II. Un conspirateur de 1825 (Jean Yakouchkine)
    Входимость: 1. Размер: 73кб.
    10. Герцен А. И. - Мейзенбуг М., 29 (17) ноября 1868 г.
    Входимость: 1. Размер: 7кб.
    11. Герцен А. И. - Гервегу Г., 23 - 24 (11 - 12) июля 1850 г.
    Входимость: 1. Размер: 9кб.

    Примерный текст на первых найденных страницах

    1. Былое и думы. Часть пятая. Париж – Италия – Париж (1847–1852). Приложения
    Входимость: 2. Размер: 79кб.
    Часть текста: l'édition de tout l'ouvrage… Je n'avais pas de traducteur sous la main, et le temps passait. Sur de nouvelles instances et pour tout arranger, j'ai promis de donner cette automne, dans quelques feuilletons du Kolokol, des fragments du IV e volume, dont la traduction a été faite par mon fils et revue par moi. Ces fragments n'ont d'autre droit d'hospitalité dans le journal que celui que leur donne le désir de mes amis. Pourtant quelques scènes des temps orageux (1848–1852) du monde européen, décrites par un Russe, et quelques profils de réfugiés «peints par eux-mêmes et dessinés par un autre», – peuvent avoir un intérêt sui generis pour les lecteurs qui ne connaissent pas la langue russe. 21 août 1868. Hcâteau de Prangins, près Nyon. ПЕРЕВОД Лет десять тому назад г. Делаво опубликовал очень хороший перевод с русского первых томов моего «Былое и думы», не тем заглавием, которое было дано автором, – «Русский мир и революция». Это сочинение, теперь уже полностью распроданное, имело некоторый успех. Друзья, которых и уважаю и ко вкусу которых питаю большое доверие, неоднократно высказывали мне желание видеть перевод следующих томов. Мне хотелось издать все сочинение целиком… Под рукой у меня не было переводчика, а время шло… Вследствие новых настойчивых просьб и чтобы все привести в порядок, я обещал опубликовать нынешней осенью в нескольких фельетонах «Kolokol» отрывки из IV тома , перевод которых был...
    2. Lettres d’un Russe de l’Italie (Авторский перевод)
    Входимость: 1. Размер: 32кб.
    Часть текста: de Nice pour aller à Rome. C’était vers la fin de 1847… Maintenant je reviens à Nice, la tête baissée comme le pigeon voyageur de la fable, ne cherchant qu’un peu de repos. Maintenant je m’éloigne des grandes cités, je fuis leur activité incessante, qui ne produit rien de plus en Occident que le désœuvrement nonchalant en Orient. Après avoir cherché longtemps où m’abriter, j’ai choisi Nice, non seulement pour son air si doux, pour sa mer si bleue, mais aussi parce qu’elle n’a aucune signification politique, scientifique… ou autre. Je répugnais moins à aller à Nice que partout ailleurs. C’était comme un couvent tranquille dans lequel je pensais me retirer du monde – tant que nous serions inutiles l’un à l’autre. Il m’a beaucoup tourmenté, je ne m’en fâche pas,je sais que ce n’est pas sa faute… mais je n’ai plus ni force, ni désir de partager ni ses jeux féroces, ni ses récréations banales. Cela ne veut pas dire que je me sois fait moine à tout jamais, que je me suis lié par un vœu indissoluble. Le genre humain et moi nous avons quitté l’âge où de pareilles plaisanteries étaient en vogue. J’ai agi beaucoup plus simplement, je me suis écarté prévoyant un long hiver et ne voyant aucun moyen...
    3. Исторические очерки о героях 1825 года и их предшественниках, по их воспоминаниям. Chapitre III. Rad Ryleieff et Nicolas Bestoujeff
    Входимость: 1. Размер: 32кб.
    Часть текста: du peuple, je connais mon sort et, saint-père, je le bénis avec joie..." — Ryléïeff, — lui dit Michel, — c'est une prédiction que tu nous fais, à nous et à toi le premier. — Penses-tu donc que j'aie pu douter un seul instant de ce qui m'attend? — répondit Ryléïeff. — Je suis convaincu que notre perte est imminente et qu'elle est nécessaire pour secouer de leur sommeil nos compatriotes endormis». Bestoujeff ajoute: «Chez lui ce n'était pas un élan généreux, ni l'entraînement d'un moment, c'étaient sa religion calme, sa conviction inébranlable». Il était présent lorsque Ryléïeff se sépara de sa mère, qui quittait Pétersbourg. L'idée de ne plus revoir son fils tourmentait la pauvre femme, elle ne pouvait se défaire du pressentiment qu'il allait à une perte sûre: «—Sois circonspect, mon ami, —lui disait-elle, — tu es si imprudent... Le gouvernement est soupçonneux, des espions sont partout aux aguets, et toi — tu as l'air de te complaire à les provoquer en attirant sur toi leur attention. — Vous avez tort, maman, — répondit Ryléïeff, — mon but est au-dessus des taquineries et des provocations à l'adresse de quelques misérables agents de la police. Je suis dissimulé, car j'ai besoin qu'on me laisse tranquille pour agir. Si je parle à cœur ouvert avec mes amis, c'est que notre cause est la même, et si je ne me cache pas de vous, c'est qu'au...
    4. Mémoires de Catherine II. Préface (3аписки Екатерины II. Предисловие)
    Входимость: 1. Размер: 55кб.
    Часть текста: présent à la mise en ordre de ces papiers. On y trouva la célèbre lettre d’Alexis Orloff[162], par laquelle, d’un ton cynique et d’une main ivre, il annonçait à l’impératrice l’assassinat de son mari, Pierre III, — et un manuscrit écrit entièrement de la main de Catherine; ce dernier était contenu dans une enveloppe cachetée, portant cette inscription: «Eгo императорскому высочеству, цecapeвичy и великомy князю Павлy Петровичy, любезномy cынy мoeмy» («A son altesse impériale, le césarévitch et grand-duc Paul, mon fils bien-aimé»). Sous cette enveloppe se trouvait le manuscrit des Mémoires que nous publions. Le cahier se termine brusquement vers la fin de 1759. On dit qu’il y avait des notes détachées qui auraient dû servir de matériaux pour la continuation. Il y a des personnes qui disent que Paul les a jetées au feu: il n’y a pas de certitude à ce sujet. Paul tenait en grand secret le manuscrit de sa mère, et ne le confia jamais qu’à son ami d’enfance, le prince Alexandre Kourakine. Celui-ci en prit une copie. Une vingtaine d’années après la mort de Paul, Alexandre Tourguéneff et le prince Michel Vorontzoff obtinrent des copies de l’exemplaire de Kourakine. L’empereur Nicolas, ayant entendu parler de cela, donna ordre à la police secrète de s’emparer de toutes les copies. Il y en avait, entre autres, une écrite à Odessa, par la main du célèbre poète, Pouchkine. Effectivement, les Mémoires de l’impératrice Catherine II ne circulèrent plus. L’empereur Nicolas se fit apporter, par le comte D. Bloudoff, l’original, le lut, le cacheta avec le grand sceau ...
    5. Герцен А. И. - Мишле Ж., 8 - 9 июля (26 - 27 июня) 1855 г.
    Входимость: 1. Размер: 17кб.
    Часть текста: remercier. Vous n'avez rien oublié — et c'est parce que vous vous souvenez par le cœur — ni Bakounine, ni la main mourante, ni le paysan dans sa commune. Je vous remercie de tout mon cœur. Il nous faut que des voix comme la vôtre nous soutiennent par leur sympathie. Le peuple indolent, ce Slave «qui s'endormait lui-même, par ses propres chansons» — comme dit un chroniste du temps des Porphyr ogenetes — a besoin de la pensée vigoureuse et mâle de l'Occident. Le monde slave ne pourra jamais développer le fond socialiste, sauvage, naturel — sans l'idée révolutionnaire, qui plane sur l'Occident comme son âme immortelle. Nous ne briguons pas le célèbre «Farà da se» — sans solidarité, sans communauté des peuples — nous resterons une armée menaçante — menée par le knout devenu sceptre. Vous le dites dans votre lettre, oui c'est en famille que se résoudra la grande question économique, c'est une question de l'intérieur et qui touche chaque membre. La dernière année a été d'une gravité extraordinaire pour moi. Ce n'est que maintenant que j'ai des preuves palpables — que ce n'est pas pour rien que j'ai sacrifié toute ma vie depuis 16 ans;— et sortant d'une série de malheurs, éprouvé par le scepticisme le plus accablant, je rencontre — l'espérance. Et je persisterai plus que jamais dans ma route. Je dis aux Russes, je le répète — de toutes les manières — que l'idée sociale élaborée par l'Occident...
    6. Du développement des idées révolutionnaires en Russie (О развитии революционных идей в России). IV. 1812–1825
    Входимость: 1. Размер: 76кб.
    Часть текста: se mit au pas avec lui. Jusqu'en 1812, on doutait des forces du peuple et l'on avait une foi inébranlable dans la toute-puissance du gouvernement: Austerlitz était loin, on prenait Eylau pour une victoire et Tilsit pour un événement glorieux. En 1812, l'ennemi passa Memel, traversa la Lithuanie et se trouva devant Smolensk, cette «clef» de la Russie. Alexandre terrifié accourut à Moscou pour implorer le secours de la noblesse et du négoce. Il les invita an palais dé laissé du Kremlin pour aviser au secours de la patrie. Depuis Pierre Ier, les souverains de la Russie n'avaient pas parlé au peu pie; il fallait supposer le danger grand, à la vue de l'empereui Alexandre, au palais, et du métropolitain Platon, à la cathédrale, parlant du péril qui menaçait la Russie. La noblesse et les négociants tendirent la main au gouvernement et le tirèrent de l'embarras. Le peuple, oublié même dans ce temps de malheur général, ou trop méprisé pour qu'on eût voulu lui demander le sang qu'on se croyait en droit de répandre sans son assentiment, le peuple se levait en masse, sans attendre un appel, dans sa propre cause. Depuis l'avènement de Pierre Ier, cet accord tacite de...
    7. La colonie russe (Русская колония)
    Входимость: 1. Размер: 24кб.
    Часть текста: fanées, des cartons à demi effacés, à demi dénués d'intérêt. Savez-vous qu'il y a bien vingl ans que moi, pieux pèlerin du Nord, j'entrai, pour la première fois à Paris, et qu'il y a déjà (quinze ans que son climat m'est devenu malsain. Oui, c'était au mois de mars 1847[99], j'ouvris une vieille et lourde croisée de l'hôtel du Rhin et je tressaillis: l'homme sombre en bronze, les bras croisés, Je chapeau enfoncé[100] était devant moi sur une colonne. Or, c'est vrai, c'est une réalité — je suis à Paris — à Paris! et tout le saug me montait à la fête! Un sentiment existe pourtant, que les aborigènes de Paris ne connaissent pas, eux qui ont tout éprouvé jusqu'à la fatigue, c'est le sentiment que nous éprouvions en entrant pour la première fois à Paris. Depuis notre enfance, Paris était pour nous notre Jérusalem, la grande cité de la Révolution, le Paris du Jeu de Paume, de 89, dе 93. Berlin, Cologne, Bruxelles? c'est bon de les voir, mais ou peut s'en passer. Une fois à Paris, on sentait que l'on était arrivé, et on défaisait tranquillement les malles. — Il n'y avait rien au delà. On ne connaissait pas même Londres dans ces temps bien heureux. Londres n'a été découvert que du temps de l'exposition de...
    8. Былое и думы. Часть шестая. Англия (1852–1864). Приложения
    Входимость: 1. Размер: 102кб.
    Часть текста: des aliénés dans lequel nous vivons – en un monde rationnel. Ce titre rappelle à son biographe le propos suivant tenu par un malade enfermé à Bedlam: «Tout le monde me prend pour un fou, – disait-il, – moi j’ai la même opinion de tout le monde; malheureusement la majorité n’est pas de mon côté». Cela explique très bien le titre d’Owen et jette une grande lumière sur la question. Nous sommes convaincus que la portée de cette comparaison a échappé au sévère biographe. Il a voulu seulement insinuer qu’Owen était fou – et nous ne voulons pas le contredire, – mais cela n’est pas une raison pour penser que tout le monde ne l’est pas. Si Owen était fou – ce n’est nullement parce que le monde le pensait tel, et que lui-même le pensait de tout le monde. Mais bien parce qu’Owen – connaissant qu’il demeurait dans une maison des aliénés – parlait soixante ans de suite aux malades – comme s’ils étaient parfaitement sains. Le nombre des malades n’y fait absolument rien. La raison a sa justification, son criterium ailleurs – elle ne se soumet jamais à la majorité des voix. Si toute l’Angleterre, par ex., se prenait de croire que les «mediums» évoquent les esprits des défunts – et Faraday lui seul le nierait – la vérité et la...
    9. Исторические очерки о героях 1825 года и их предшественниках, по их воспоминаниям. Chapitre II. Un conspirateur de 1825 (Jean Yakouchkine)
    Входимость: 1. Размер: 73кб.
    Часть текста: au fond de la Sibérie orientale. C'est dans ce but que nous n'avons pas fondu en une monographie les divers mémoires; au contraire, nous leur avons conservé leur individualité, quoique cela nous entraînât parfois à des répétitions. Le chapitre présent est extrait de la première partie des mémoires de Jean Yakouchkine. Nous ne sommes jamais parvenus à avoir la seconde, qui nous a été positivement promise par nos amis, plus riches en amitié qu'en exactitude. Il y a d'étranges accapareurs, qui pensent naïvement que des mémoires pareils peuvent être une propriété privée. Non seulement des parents et des héritiers, mais des personnes qui ont obtenu, par un hasard heureux, une copie, la mettent sous clé, jouant ainsi le rôle peu généreux du caniche qui gardait avec une avarice jalouse le foin dont il ne se servait pas. I Les destinées de l'Empire russe s'accomplirent le jour de l'entrée triomphale d'Alexandre I er...
    10. Герцен А. И. - Мейзенбуг М., 29 (17) ноября 1868 г.
    Входимость: 1. Размер: 7кб.
    Часть текста: Il у a beaucoup pour et beaucoup centre. Zurich c’est la solitude — aggravée par M r Kinkel et M r Lion, le Polytechnicon — und nichts als d Polytechnicon. Or la question se présente de cette manière. Si vous avez encore votre ancienne foi du principe éveillant de ma présence sur tout ce qui entoure, si vous comptez que l’unisson avec moi d’Olga — vaut quelque chose — alors il n’y a pas de doute que Zurich est possible — dans le cas — où effectivement Olga veut étudier la nature (dont l’extérieur vous plaît, mais l’étude non). — Dans le cas contraire — il faut choisir un autre endroit. Une chose reste fixe — il primo di maggio — nous serons ensemble. Je dis avec joie, regardez comme Tata se développe dans l’entendement des choses humaines. — Olga se réveille — sans aucune fierté de ma part, je pense que je vaux un peu Domengé et un peu Monod. — Lise a un grand talent logique, extraordinaire — mais le chic de sa dialectique — qui le lui a donné? Voilà tout. Je fais mon possible avec Gzern , ilse plaint de la semaine qui se perd en voyage. Je lui...