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    Cлово "VIABLE"


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    1. Герцен А. И. - Фогт Л., 13 (1) марта 1860 г.
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    2. Герцен А. И. - Прудону П. - Ж., 6 - 7 сентября (25 - 26 августа) 1852 г.
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    3. Герцен А. И. - Прудону П. - Ж., 23 (11) марта 1860 г.
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    4. Du développement des idées révolutionnaires en Russie (О развитии революционных идей в России). V. La littérature et l"opinion publique après le 14 décembre 1825 ( V. Литература и общественное мнение после 14 декабря 1825 года )
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    5. Герцен А. И. - Кине Э., 30 (18) декабря 1865 г.
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    6. Réponse à l'appel du centre républicain polonais aux Russes... (Ответ на призыв к русским польского республиканского центра)
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    7. Герцен А. И. - Герценам Н. А., О. А. и А. А., 21 (9) апреля 1867 г.
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    8. Герцен А. И. - Утину Н. И., 25 (13) декабря 1864 г.
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    9. Былое и думы. Часть восьмая. Отрывки (1865–1868). Глава II. Venezia La Bella
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    1. Герцен А. И. - Фогт Л., 13 (1) марта 1860 г.
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    Часть текста: nicht. Sie haben vortrefflich die Bemerkung gemacht, daß er — wie verlassen war in Genf, so war es auch in London. Das tätige Männerleben — war ihm etwas zu rauh. Der Tod meiner Frau — beraubte Alex von der sanften Mitte, und die innere Fülle war noch nicht entwickelt. Ein großes Glück — daß er Sie traf. Aber — Sie müssen — ich sage es aufrichtig und offen — noch mehr für ihn machen. Ich glaube nicht an die ungeprüften Leidenschaften, ich zweifle an der Festigkeit von den jugendlichen Hinreißungen. Nur derjenige hat das Recht — welcher beharrt, welcher errungen hat. Was leicht kommt — geht nicht in die Tiefe. Aber bringt leicht zum Unglück. Wenn Sie meiner Meinung sind — dann werden Sie, hochverehrte Freundin — meinen Entschluß billigen. Ich kann, ohne Alex und meine Überzeugung — zu verraten — ihm keine Einwilligung frei in dieser Sache zu handeln — bis er almeno 25 Jahre alt ist. Das ist sogar kein neuer Gedanke in mir. Ich sprach mit ihm vor seiner Reise — daß ich ganz anders das Erbrecht verstehe, als man dieses tut. Nämlich — ich glaube an die Gerechtigkeit dem Sohn nach 21 Jahr — sein Gehalt progressiv zu vermehren bis 25 Jahre — und da seinen Teil ihm austeilen — und das materielle Band des Vermögens und des Wartens zwischen dem Sohn und Vater zu lösen. Geben Sie mir Ihre Hand zur Stütze — und Sie werden eine neue Wohltat für Alexander machen. Um 25 Jahr — lege ich sein Geschick in seine Hände. Meinen Rat werde ich auch dann geben, meine Meinung auch dann aussagen — aber kein Veto suspensif —...
    2. Герцен А. И. - Прудону П. - Ж., 6 - 7 сентября (25 - 26 августа) 1852 г.
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    Часть текста: г. 217. П. -Ж. ПРУДОНУ (черновое) 6—7   сентября (25—26   августа) 1852   г. Лондон. 6 septembre 1852. Londres. 4, Spring Gardens. Cher et vénérable ami, Le sentiment avec lequel j’ai lu et relu votre lettre était beaucoup plus profond et plus chaleureux que le sentiment de la reconnaissance la plus sincère. J’étais ému, touché, j’étais fier d’avoir été si parfaitement compris par vous. Je me sentais immensément fort, appuyé de cette manière et par une main qui était la vôtre. J’ai hasardé une chose difficile, audacieuse. Il me fallait des mois de méditation, des malheurs terribles et toute l’énergie qui me restait encore pour me décider à une chose, d’ailleurs tout à fait conforme à nos convictions, à nos principes, mais insolite, peu commune. Tant il est vrai que pratiquement nous sommes encore des hommes du vieux monde. Refuser un duel avec un scélérat que vous avez si bien caractérisé, qui, commençant par une trahison a fini par un assassinat en passant par le mensonge, l’escroquerie, la calomnie, et en appeler à la justice de tout ce qui s’avoue socialiste, révolutionnaire — quoi de plus simple, de plus naturel pour un homme qui professe depuis quinze ans le socialisme, d’autant plus que l’individu en question ose aussi se compter dans les rangs révolutionnaires. Et pourtant c’était bien téméraire de s’appuyer sur la solidarité qui doit nous lier dans une cause où était engagé beaucoup plus que mon honneur, tout mon passé, tout mon avenir même au delà de la tombe, un cercueil sacré pour moi et le nom pour et intact de mes enfants. Si mon appel restait sans...
    3. Герцен А. И. - Прудону П. - Ж., 23 (11) марта 1860 г.
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    Часть текста: à Paris. — Il faut vous dire la pensée de ces lettres. Pour moi la Pologne représente la vieille civilisation dans le monde slave, et cela dans toute sa beauté tragique, avec tous les avantages du malheur, — avec de grands souvenirs, avec des aspirations de liberté, de catholicisme (éclairé!), d'aristocratie (radicale!) — tout cela est beau, mais tout cela n'est pas viable. Nous, les Russes, — nous haïssons notre double passé: — la tradition Moscovite et la statistique de Pétersbourg, — nous sommes les gueux du genre humain, notre race est mêlée avec des Tartares, des Finnois, des peuples Turaniens. La civilisation occidentale nous devient haïssable dès qu'elle hésite à franchir le ruisseau pour entrer dans le socialisme. Le peuple — le moujik, le dissident, l'homme des champs — n'a rien de commun avec Pétersbourg. Notre aristocratie — ce sont des Tartares promus au rang d'Allemands. Le peuple apporte en place du droit au travail  — le droit gratuit à la terre, l'organisa tion communale,...
    4. Du développement des idées révolutionnaires en Russie (О развитии революционных идей в России). V. La littérature et l"opinion publique après le 14 décembre 1825 ( V. Литература и общественное мнение после 14 декабря 1825 года )
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    Часть текста: Russie officielle, «de l'empire des façades», on ne voyait que des pertes, une réaction féroce, des persécutions inhumaines, un redoublement de despotisme. On voyait Nicolas entouré de médiocrités, de soldats de parades, d'Allemands de la Baltique et de conservateurs sauvages, lui-même méfiant, froid, obstiné, sans pitié, sans hauteur d'âme, médiocre comme son entourage. Immédiatement au-dessous de lui se rangeait la haute société qui, au premier coup de tonnerre qui éclata sur sa tête après le 14 décembre, avait perdu les notions à peine acquises d'honneur et de dignité. L'aristocratie russe ne se releva plus sous le règne de Nicolas, sa fleuraison était passée; tout ce qu'il y avait de noble et de généreux dans son sein était aux mi-Qes ou en Sibérie. Ce qui restait ou se maintint dans les bonnes grâces du maître, tomba à ce degré d'abjection ou dе servilisme qu'on connaît par le tableau qu'en a tracé M. de Custine. Venaient ensuite les officiers de la garde; de brillants et civilisés ils devinrent de plus en plus des sergents encroûtés. Jusqu'à l'année 1825, tout ce qui portait l'habit civil reconnaissait la supériorité des epaulettes. Pour être comme il faut, il fallait avoir servi une couple d'années à la garde, ou au moins dans la cavalerie. Les officiers étaient l'âme...
    5. Герцен А. И. - Кине Э., 30 (18) декабря 1865 г.
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    Часть текста: individuelle sans perdre le droit à la terre; de limiter le droit souverain de la propriété foncière par le droit souverain de chacun à une possession territoriale, de maintenir la propriété communale à côté de la possession individuelle. Colons, ayant défriché notre sol, habitués à un certain repartage agraire, sans couche conquérante sur nos épaules, il nous est plus facile qu’aux autres peuples de résoudre le problème dans un sens social. Le rapport de l’homme au sol, tel que nous l’entendons, n’est pas une nouvelle invention en Russie, c’est un fait primordial, naturel pour ainsi dire; nous l’avons trouvé en naissant, nous l’avons négligé, méconnu; nous voulons maintenant, avec un remord sincère, le développer à l’aide de la science et de l’expérience occidentales. Otez nous ce problème à résoudre et nous retombons dans la barbarie de laquelle nous sortons à peine — et nous restons une horde de cosaques conquérants. Et voilà pourquoi nous n’échangerons pas notre loi agraire, dans son état d’embryon, contre la vieille codification latine, contre la législation anglo-saxonne. La religion de la propriété d’après la ...
    6. Réponse à l'appel du centre républicain polonais aux Russes... (Ответ на призыв к русским польского республиканского центра)
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    Часть текста: polonais aux Russes... (Ответ на призыв к русским польского республиканского центра) REPONSE A L'APPEL DU CENTRE REPUBLICAIN POLONAIS AUX RUSSES Il y a quelque temps, nous avons reçu du Département polonais de l'Alliance républicaine universelle une invitation fraternelle de former un Département russe dans l'Alliance républicaine européenne. Voilà ce que nous répondons à cette offre qui nous honore, que nous apprécions pleinement, mais que nous ne pouvons que décliner. Chers citoyens, Nous avons reçu votre appei. C'est bien d'avoir pensé à nous, ous vous remercions et nous voulons vous dire toute notre pensée. Les réticences, les ménagements mutuels, les points indécis, les pensées sous-entendues ne nous vont pas. Les temps sont graves; chaque erreur peut lourdement tomber sur nos têtes. Vous nous invitez à former, avec nos amis, un Département russe au giron de l'Alliance républicaine européenne. Est-ce comme profession de foi que nous devons le faire, ou pour travailler en commun? Quant à la profession de foi, nous sommes tout prêts à dire hautement, encore une fois, qui nous sommes. Oui, citoyens, noua sommes républicains et...
    7. Герцен А. И. - Герценам Н. А., О. А. и А. А., 21 (9) апреля 1867 г.
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    Часть текста: я во многом тогда ошибался. Перечитай у Гёте в «Фаусте», что Мефистофель говорит студенту о метафизике и collegium logicum. Ну что же ты хочешь делать с полковым штаб-лекарем Шиллером за то, что у него Дон-Карлос — немецкий студент, Фиеско — студент, а студент — Моор— разбойник? Шиллер был великий пропагандист и делал пропаганду из всего. Конечно, Шекспира трудней уличить, что его лица не согласны с историей — ищи Гамлета, ищи Макбета, ищи Лира. Где они?.. Есть ли портрет хоть у Фортинбраса? А если ты хочешь читать исторические драмы Шиллера, то их две — и обе chef-d'œuvre: «Wilhelm Tell» и «Wallenstein»— все три части. Принимайся за них сейчас, — если прежде уж читала, то тем паче. У нас тишина — ко мне почти не ходит никто. Сегодня иду к Долг<орукову> обедать 1-ый раз. Огар<ев> с ним не в ладах, и он все-таки бесконечно скучен. О Ницце я тебе писал подробно, к концу июня я буду наверное там, если ничего не случится, раньше второй половины мая ездить нечего — а может, и совсем не придется. Я пространно писал тебе отсюда уж — получила ли? К 1 мая я не съеду — Банету все равно. Теперь комиссии. Я очень серьезно прошу сейчас мне отвечать на следующее: 1. Саша пусть мне напишет рецепт мази с йодием против шишки — она опять сильно растет, и я боюсь, что соревнование с Монбланом сравняет ее с Луи Бланом. 2.   Чернецкий просит, чтоб Железнов ему отвечал как можно скорее, начать ли печать второй части Вазари (которую я привез), — у него нет...
    8. Герцен А. И. - Утину Н. И., 25 (13) декабря 1864 г.
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    Часть текста: социального развития России», — органом всего и всех, кто идет к нему, и пр. Оставьте его этим органом — и давайте ваши труды, — труды общих друзей, устройте корреспонденции, устройте сбыт; вы говорите, что это легко, тем лучше. Это легкое не было сделано, потому что не было силы. Поднимать бессильные знамена — значит ронять их, т. е. производить недоноска non viable[181]. Что могло быть выше знамени, взятого из ог<аревской> ст<атьи>. Что нужно народу? Земля и воля. Что сделалось с ним, что сделали из него? На одной сильной личности держалось движение, а сослали — где продолжение? Право — надобно прямо смотреть в глаза обстоятельствам. Когда в 1863 году приезжал Сл<епцов> и повествовал — я сильно сомневался. Бак<унин> по страсти к агитации, Ог<арев> по фанатизму к делу верили больше меня. Я не хотел и не должен был мешать, я осадил свой скептицизм и наделал ряд ошибок — наконец я поставил свое veto против забрания фондов б<ахметевски>х. Что было бы, если б и эта ошибка была сделана. Сойтиться с людьми, близкими по религии и симпатии, я хочу искренно... Но что за новое политическое дело — русская эмиграция? Деятельность пропаганды в действии — должна быть дома в России. Дейст<вительное> дело сводится на пропаганду, сношения и фонды. Укажите сношения, сделайте их не на практике, соберите фонды — дайте ...
    9. Былое и думы. Часть восьмая. Отрывки (1865–1868). Глава II. Venezia La Bella
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    Часть текста: площади толчется с утра до ночи все население, и молча текут из него реки улиц в море. Пока толпа шумит и кричит на площади св. Марка, никем не замеченная лодка скользит и пропадает – кто знает, что под ее черным пологом? Как тут было не топить людей возле любовных свиданий? Люди, чувствовавшие себя дома в Palazzo Ducale [617] , должны были иметь своеобразный закал. Они не останавливались ни перед чем. Земли нет, деревьев нет – что за беда, давайте еще больше резных каменьев, больше орнаментов, золота, мозаики, ваянья, картин, фресков. Тут остался пустой угол – худого бога морей с длинной мокрой бородой в угол! Тут порожний уступ – еще льва с крыльями и с евангельем св. Марка! Там голо, пусто – ковер из мрамора и мозаики туда! Кружева из порфира туда! Победа ли над турками или Генуей, папа ли ищет дружбы города – еще мрамору, целую стену покрыть иссеченной занавесью и, главное, еще картин. Павел Веронез, Тинторетт, Тициан, за кисть, на помост, – каждый шаг торжественного шествия морской красавицы должен быть записан потомству кистью и резцом. И так был живуч дух, обитавший эти камни, что мало было новых путей и новых приморских городов Колумба и Васко де Гама, чтоб сокрушить его. Для его гибели нужно было, чтоб на развалинах французского трона явилась «единая и нераздельная» республика и на развалинах этой республики явился бы солдат, бросивший в льва по-корсикански стилет, отравленный Австрией. Но Венеция переработала яд и снова оказывается живою через полстолетия. Да живою ли? Трудно сказать, что уцелело, кроме великой раковины, и есть ли новая будущность Венеции… Да и в чем будущность Италии вообще? Для Венеции, может, она в...