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    1. Nouvelle phase de la littérature russe (Новая фаза в русской литературе)
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    2. Prolegomena
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    3. Les Russes au Congrès de Berne (Русские на Бернском конгрессе)
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    4. Герцен А. И. - Мишле Ж., 12 ноября (31 октября) 1867 г.
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    5. Lettre à N. Ogareff (Письмо к H. Огареву)
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    6. Былое и думы. Часть пятая. Париж – Италия – Париж (1847–1852). Приложения
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    7. Du développement des idées révolutionnaires en Russie (О развитии революционных идей в России). IV. 1812–1825
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    8. Du développement des idées révolutionnaires en Russie (О развитии революционных идей в России). Épilogue ( Эпилог)
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    9. Le peuple Russe et le socialisme (Русский народ и социализм)
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    10. Герцен А. И. - Пьянчани Л., 16 (4) марта 1855 г.
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    11. Michel Bakounine (Михаил Бакунин)
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    12. Du développement des idées révolutionnaires en Russie (О развитии революционных идей в России). V. La littérature et l"opinion publique après le 14 décembre 1825 ( V. Литература и общественное мнение после 14 декабря 1825 года )
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    1. Nouvelle phase de la littérature russe (Новая фаза в русской литературе)
    Входимость: 4. Размер: 134кб.
    Часть текста: 1861, le poète Mikhaïlov est condamné aux travaux forcés, pour avoir adressé à la jeunesse un appel qui n'a eu aucune suite. La société, ce qui est peut-être plus étonnant, commence aussi à murmurer. Elle semble fatiguée de la liberté, avant même de l'avoir obtenue. Elle en craint les excès, avant d'en avoir eu la jouissance. La première effervescence passée, tout tend au calme plat. Il ne fallait qu'un prétexte pour entrer en pleine réaction, La police le fournit. Pour sortir de l'impasse, elle frappe un grand coup, à l'antique et rejette sur les «rouges», les «socialistes» et la jeunesse en général, l'incendie d'un quartier de Saint-Pétersbourg qu'elle n'a pas su éteindre, et auquel peut-être ont aidé quelques voleurs de rue. Ceci se passait au mois de mai 1862. A cette accusation, comme si on l'eût attendue, s'élève dans les journaux une clameur contre les incendiaires. On demande des enquêtes et «des punitions extraordinaires». On accuse des jeunes gens qui avaient répandu une espèce de manifeste révolutionnaire. «La Gazette de Moscou» tâche d'établir la complicité de la «Jeune Russie» avec les incendiaires et de faire peser sur celle-là la responsabilité...
    2. Prolegomena
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    Часть текста: que la récapitulation et le développement de ce que nous avons dit et répété depuis au moins vingt ans. Quelle est donc la raison de notre apparition? L'étonnante persistance de ne voir dans la Russie que son côté négatif et d'envelopper dans les mêmes injures et anatlièmes progrès et réaction, avenir et présent, détritus et germes. Seuls publicistes russes en Occident, nous ne voulons pas prendre sur nous la responsabilité du silence. Le spectre russe, exploité après 1848 par Donoso Cortès en laveur du catholicisme, apparaît avec une nouvelle vigueur dans le camp opposé. On est prêt à voiler encore une fois les «droits de l'homme», que l'on a oubliés, et à suspendre la liberté que l'on n'a plus, pour veiller au «Salut de la civilisation» menacée et — refouler ces Attilas en herbe et ces Alaric futurs, au delà du Volga et de l'Oural. Le danger est si grand qu'on a hasardé de proposer à l'Autriche de donner la main qui lui reste — à la Prusse, qui a amputé l'autre... que l'on a conseillé à tous les Etats d'entrer dans une sainte ligue d'un despotisme militaire contre l'empire des tzars. On écrit des livres, des articles, des brochures en français, allemand, anglais; on prononce des discours, on fourbit les armes... et la seule chose que l'on omet, c'est Гétude sérieuse de la Russie. On se borne au zèle, à la ferveur, à l'élévation des sentiments. On croit que,si l'on plaint la Pologne — on...
    3. Les Russes au Congrès de Berne (Русские на Бернском конгрессе)
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    Часть текста: en vue des armées qui se massent, se guettent, demandent à grands cris leur droit au travail et sont prêtes à se ruer les unes sur les autres avec toute la férocité d'un patriotisme carnassier — attiré et exploité par les gouvernements — qu'aucun congrès du monde ne pourra arrêter. Une lecture suivie, attentive des Etats-Unis de l'Europe n'a pas élucidé nos doutes. Les raisonnements de ce journal étaient, nous nous empressons de le dire, presque toujours irréprochables et reconnus comme tels depuis des siècles. La question philosophique, théorique de la paix et de la guerre, est vidée depuis longtemps; il n'y a pas de nouveaux doutes à résoudre, de nouvelles découvertes à confirmer. Il s'agit de l'application, de la mise en œuvre de ces théories. Or, le Congrès de Berne, comme le Congrès de Genève, n'a pas plus de moyens de rendre ces résolutions obligatoires, d'arrêter les armements, de dissoudre les armées, de conjurer la guerre, que n'en avaient les saints quakers, qui sont allés, avant la guerre de Crimée, faire profession de foi de leur religion pacifique devant le soldat des soldats, l'empereur Nicolas. Est-il d'une bonne politique d'étaler son impuissance devant un ennemi sans scrupules? — Nous ne le croyons pas. Nos amis...
    4. Герцен А. И. - Мишле Ж., 12 ноября (31 октября) 1867 г.
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    Часть текста: bonne lettre. Non seulement moi j'avais déjà lu l’ Insecte — mais ma fille âgée de 12 ans — que je relis et relis. Vous ne le savez peut-être pas que toute notre famille se compose des naturalistes ardents. Mon fils étudie la chimie et l'anato-mie comparée (sous un ami de Geoffroy S-t Hilaire Pr. Grant). Moi en vieux sceptique je suis très content que mes enfants ont plus de goût pour toutes les bêtes possibles — que pour «l'huma-nialle» comme le disait un Anglais. Le dernier temps j'ai été occupé — à accuser, juger et convaincre un Polonais autrichien, un réfugié, qui s'était placé dans la librairie de Trübner, qui était espion russe, qui envoyait des dénonciations à Pétersbourg (d'où on me donna des renseignements). Eh bien, certainement vos coléoptères et autres sont beaucoup plus humains et plus chevaleresques. Dans le 5 No de notre Cloche il y aura encore un petit article concernant votre histoire (Richelieu) et l’ Insecte. Notre propagande va toujours crescendo — nous imprimons maintenant par milliers nos...
    5. Lettre à N. Ogareff (Письмо к H. Огареву)
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    Часть текста: notre Cloche pour le seul plaisir de l'entendre sonner. Notre journal ne fut jamais un but, mais un moyen, un ustensile. Nous ne l'abandonnons pas de gaieté de cœur aux premiers mécomptes, par fatigue et légèreté; mais je ne vois pas de raison pour lui donner une existence factice de moribond — par obstination. Tout a son temps, a dit le sage, il y a un temps pour amasser les pierres et un autre pour les jeter. Nous avons trop longtemps suivi notre chemin pour le rebrousser; mais nous n'avons aucun besoin d'aller par le même sentier, lorsqu'il devient impraticable, lorsqu'il manque du pain quotidien. Sans correspondances suivies du pays, une feuille qui se rédige à l'étranger est impossible, sort de l'actualité, devient un bréviaire des émigrés, une récapitulation des griefs, une lamentation chronique. La plus grande partie de nos convictions les plus chères, nous les avons dites et répétées cent fois; il y a un noyau inaltérable qui s'est formé autour d'elles. Il y a une jeunesse si profondément si irrévocablement socialiste, si pleine d'audace logique, si forte de réalisme dans la science et de...
    6. Былое и думы. Часть пятая. Париж – Италия – Париж (1847–1852). Приложения
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    Часть текста: Le monde russe et la Révolution , M. Delaveau a publié une très bonne traduction du russe des premiers volumes de mes Souvenirs et pensées . Cet ouvrage, complètement épuisé maintenant, a eu quelque succès. Des amis que j'estime et au goût desquels j'ai une grande confiance, m'ont exprimé plusieurs fois le désir de voir la traduction des volumes suivants. Je voulais faire l'édition de tout l'ouvrage… Je n'avais pas de traducteur sous la main, et le temps passait. Sur de nouvelles instances et pour tout arranger, j'ai promis de donner cette automne, dans quelques feuilletons du Kolokol, des fragments du IV e volume, dont la traduction a été faite par mon fils et revue par moi. Ces fragments n'ont d'autre droit d'hospitalité dans le journal que celui que leur donne le désir de mes amis. Pourtant quelques scènes des temps orageux (1848–1852) du monde européen, décrites par un Russe, et quelques profils de réfugiés «peints par eux-mêmes et dessinés par un autre», – peuvent avoir un intérêt sui generis pour les lecteurs qui ne connaissent pas la langue russe. 21 août 1868. Hcâteau de Prangins, près Nyon....
    7. Du développement des idées révolutionnaires en Russie (О развитии революционных идей в России). IV. 1812–1825
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    Часть текста: était loin, on prenait Eylau pour une victoire et Tilsit pour un événement glorieux. En 1812, l'ennemi passa Memel, traversa la Lithuanie et se trouva devant Smolensk, cette «clef» de la Russie. Alexandre terrifié accourut à Moscou pour implorer le secours de la noblesse et du négoce. Il les invita an palais dé laissé du Kremlin pour aviser au secours de la patrie. Depuis Pierre Ier, les souverains de la Russie n'avaient pas parlé au peu pie; il fallait supposer le danger grand, à la vue de l'empereui Alexandre, au palais, et du métropolitain Platon, à la cathédrale, parlant du péril qui menaçait la Russie. La noblesse et les négociants tendirent la main au gouvernement et le tirèrent de l'embarras. Le peuple, oublié même dans ce temps de malheur général, ou trop méprisé pour qu'on eût voulu lui demander le sang qu'on se croyait en droit de répandre sans son assentiment, le peuple se levait en masse, sans attendre un appel, dans sa propre cause. Depuis l'avènement de Pierre Ier, cet accord tacite de toutes les classes se produisait pour la première fois. Les paysans s’en rolaien sans murmurer dans les rangs de la milice, les nobles donnaient le dixième serf et prenaient les armes...
    8. Du développement des idées révolutionnaires en Russie (О развитии революционных идей в России). Épilogue ( Эпилог)
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    Часть текста: Pendant les sept ou huit dernières années avant la révolution de Février, les idées révolutionnaires allaient s'accroissant, grâce à la propagande et au travail interne qui prenait un essort de plus en plus considérable. Le gouvernement paraissait las de poursuites. La grande question qui dominait toutes les autres et qui commençait à agiter le gouvernement, la noblesse et le peuple, c'était la question de l'émancipation des paysans. On sentait bien qu'il était impossible d'aller plus loin avec le carcan du servage au cou. L'oukase du 2 avril 1842 qui invitait la noblesse à céder quelques droits aux paysans, en retour des redevances et des obligations qu'on avait stipulées de part et d'autre, prouve assez clairement, que le gouvernement voulait l'émancipation. La noblesse des provinces s'en émut, se divisa en partis, prenant cause pour ou contre l'affranchissement. On se hasardait à parler de l'émancipation dans les réunions électorales. Le gouvernement permit à la noblesse, dans deux ou trois chels-lieux, de nommer des comités pour aviser aux moyens d'affranchir les serfs. Une partie des seigneurs étaient exaspérés, ils ne voyaient dans cette grande question sociale qu'une attaque de leurs privilèges et de la propriété et s'opposaient à toute innovation, se sachant appuyés par l'entourage du tzar. La jeune noblesse voyait plus clair et calculait mieux. Ici, nous ne parlons pas de ces quelques individus pleins de dévoûment et d'abnégation, qui sont prêts à sacrifier leurs biens, pour effacer le mot dégradant ...
    9. Le peuple Russe et le socialisme (Русский народ и социализм)
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    Часть текста: dans l'estime générale, vos paroles sont accueillies par la démocratie européenne avec trop de confiance que votre noble plume vous a si justement conquise, pour qu'il me soit permis, dans une cause qui touche a mes convictions les plus profondes, de laisser sans réponse la caractéristique du peuple russe que vous faites dans votre beau travail sur Kosciusko [56] . Cette réponse est d'autant plus indispensable, qu'il est temps de faire voir à l'Europe qu'en parlant actuellement de la Russie, ce n'est plus d'un absent, d'un éloigné, d'un muet que l'on parle. Nous sommes présents, nous qui avons quitté la Russie avec le seul but de faire retentir en Europe le libre verbe russe. La parole devient pour nous un devoir, quand un homme, appuyé sur une grande et légitime autorité, vient de nous dire que: «il affirme, qu'il jure, qu'il prouvera que la Russie n'existe pas, que les Russes ne sont pas des hommes, qu'il leur manque le sens moral». Voulez-vous parler de la Russie officielle, de l'empire des façades, du gouvernement byzantino-allemand? D'accord, nous acquiesçons d'avance à tout ce que vous nous direz; la défense ne nous incombe nullement; le gouvernement russe a assez d'agents littéraires dans la presse parisienne pour que les apologies les plus éloquentes lui fassent jamais défaut. Mais ce n'est plus de la société officielle seule qu'il s'agit dans votre travail; vous avez agité la question...
    10. Герцен А. И. - Пьянчани Л., 16 (4) марта 1855 г.
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    Часть текста: vu ici cette sortie (entre nous soit dit). La mort de Nicolas est d'une haute importance pour nous; le fils peut être pire, mais il doit être autre et ne pourra jamais continuer cette pression uniforme et inexorable que faisait son père. Pour nous la guerre est moins désirable — ear la guerre éveille le sentiment de nationalité. Mais une paix lâche — voilà ce qui ferait notre affaire en Russie. Est-ce que Zéno a fait tirer des exemplaires à part de mon discours, je le prie de m'envoyer 150 exempl — mais sans trop tarder. Ensuite une question. Est-ce que Ribeyrolles voudrait écrire un article sur La Renaissance de Michelet — c'est une œuvre admirable. Michelet m'a envoyé q q exemplaires — je dourrais envoyer par Teleki — mais il faut un article et on peut mettre des fragments. Dites le moi. Adieu, cher Pianciani. Je vous envoie un médaillon en bronze de Barbes que je prie d'accepter comme témoignage d'amitié de ma part. Adieu. Teleki m'a dit que vous m'aimez toujours — je n'en ai pas douté et je vous serre la main de tout mon cœur. A. Herzen. Перевод 16 марта. Твикнем. Richmond House. Дорогой Пьянчани, вот вы и вступили в явное противоречие с Иисусом Христом: он называет себя Сын человеческий. А вы — вы Отец Человека. Мы очень откровенно...