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    1. Du développement des idées révolutionnaires en Russie (О развитии революционных идей в России). VI. Vi panslavisme moscovite et européisme Russe ( VI. Московский панславизм и русский европеизм )
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    2. Du développement des idées révolutionnaires en Russie (О развитии революционных идей в России). Épilogue ( Эпилог)
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    3. Герцен А. И. - Мейзенбуг М., 13 (1) августа 1853 г.
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    4. Герцен А. И. - Гервегу Г., 13 (1) июля 1850 г.
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    5. Герцен А. И. - Мейзенбуг М., 26 (14) августа 1853 г.
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    6. Nouvelle phase de la littérature russe (Новая фаза в русской литературе)
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    7. Lettres d’un Russe de l’Italie (Авторский перевод)
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    8. Герцен А. И. - Гервегу Г., 30 (18) июля 1850 г.
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    9. Charlotte Corday (Шарлотта Корде)
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    10. Былое и думы. Часть шестая. Англия (1852–1864). Приложения
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    11. Герцен А. И. - Гервегу Г., 3 августа (22 июля) 1850 г.
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    1. Du développement des idées révolutionnaires en Russie (О развитии революционных идей в России). VI. Vi panslavisme moscovite et européisme Russe ( VI. Московский панславизм и русский европеизм )
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    Часть текста: Pierre Ier avait foulé aux pieds la nationalité, mais encore pour les hommes que le gouvernement avait détachés du peuple, sous prétexte de civilisation, et qu'il commença à pendre lorsqu'ils furent civilisés. Le retour aux idées nationales conduisait naturellement à une question dont le simple énoncé contenait déjà la réaction contre la période de Pétersbourg. Ne faut-il pas ohercher une issue à la déplorable situation dans laquelle nous nous voyons, en nous rapprochant du peuple que nous méprisons sans le connaître? Ne fallait-il pas revenir à un ordre de choses plus conforme au caractère slave et quitter la voie de la civilisation exotique et forcée? Question grave et d'un intérêt actuel. Mais à peine fut-elle posée, qu'il se trouva un groupe d'hommes, qui, donnant de suite une solution positive, formèrent un système exclusif dont ils firent, non seulement une doctrine, mais une religion. La logique de la réaction est rapide comme celle des révolutions. La plus grande erreur des Slavophiles fut d'avoir vu une réponse dans la question même, et d'avoir confondu la possibilité avec la réalité. Ils pressentaient qu'ils étaient sur le chemin qui mène à de grandes vérités et qui doit changer notre manière d'envisager les événements contemporains. Mais, au lieu d'aller en avant et de travailler, ils s'en tenaient à ce pressentiment. De cette manière, en faussant les faits, ils ont faussé leur propre entendement. Leur jugement n'était plus libre, ils ne voyaient plus de difficultés, tout leur paraissait...
    2. Du développement des idées révolutionnaires en Russie (О развитии революционных идей в России). Épilogue ( Эпилог)
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    Часть текста: était impossible d'aller plus loin avec le carcan du servage au cou. L'oukase du 2 avril 1842 qui invitait la noblesse à céder quelques droits aux paysans, en retour des redevances et des obligations qu'on avait stipulées de part et d'autre, prouve assez clairement, que le gouvernement voulait l'émancipation. La noblesse des provinces s'en émut, se divisa en partis, prenant cause pour ou contre l'affranchissement. On se hasardait à parler de l'émancipation dans les réunions électorales. Le gouvernement permit à la noblesse, dans deux ou trois chels-lieux, de nommer des comités pour aviser aux moyens d'affranchir les serfs. Une partie des seigneurs étaient exaspérés, ils ne voyaient dans cette grande question sociale qu'une attaque de leurs privilèges et de la propriété et s'opposaient à toute innovation, se sachant appuyés par l'entourage du tzar. La jeune noblesse voyait plus clair et calculait mieux. Ici, nous ne parlons pas de ces quelques individus pleins de dévoûment et d'abnégation, qui sont prêts à sacrifier leurs biens, pour effacer le mot dégradant de servage du front de la Russie et pour expier l'ignoble exploitation du paysan. Les enthousiastes ne peuvent jamais entraîner une classe entière, si ce n'est en pleine révolution, comme la noblesse française a été entraînée le 4 août 1792 par une généreuse minorité. La grande majorité des...
    3. Герцен А. И. - Мейзенбуг М., 13 (1) августа 1853 г.
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    Часть текста: pensez qu'il me faut... quoi donc... le café de Very, le restaurant de Piccadilly, la Kegent Street, la cohue, les disputes... Car au fond je n'ai rien d'autre ici. Vous connaissez maintenant très bien notre existence, elle est tronquée, wüst wie man sagt, je l'ai dit une fois, ma vie ressemble à ces vieilles maisons, grandes, délaissées et où il y a un petit coin habitable. — Quel pourrait être le charme qui m'attacherait à une vie pareille? Une chose que j'aime frénétiquement dans ma vie — c'est 1'independence, mais là, au bord de la mer je pense que vous ne m'auriez pas opprimé. L'autre ce sont les enfants — ils seraient là. Non, votre raisonnement ne me plaît pas, ce n'est pas à vous de me juger de cette manière. J'ai eu déjà une vie large, une vie d'entraînement et de jouissance... tempi passati. Une chose qui me reste c'est encore l'énergie de lutter, et je lutterai. La lutte est ma poésie... Tout le reste m'est presque indifférent. Et vous pensez qu'être à Londres ou à Broadstairs, d'être près New Road ou près de Ramsgate me fait q q chose. En parlant une fois avec vous, je vous ai dit que ce n'est qu'avec vous que je parlais non seulement franchement (sur les sujets généraux je parle franchement avec tous les hommes que j'estime) mais des choses les plus intimes. Le plaisir, je pense, couvre avec une telle richesse les petits inconvénients qu'il ne faut pas même en parler. Vous m'avez promis, il y a longtemps, de...
    4. Герцен А. И. - Гервегу Г., 13 (1) июля 1850 г.
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    Часть текста: et je ne sais quoi, tu veux rester à Zurich, aller à Genève, je ne sais où. Tu ne feras rien de tout cela, j’ai plus de confiance en toi qu’en tes paroles — mais pourquoi faire ces alarmes? Et Emma s’est habituée à cela, et vous vous tourmentez par une surexaltation nerveuse — je commence même à soupçonner que cela vous fait plaisir, — ces désespoirs, ces paroles atroces, ces résolutions qui ne s’exécuteront jamais. — Mais le comble de l’injustice, c’est l’inculpation que tu me fais, à moi. Moi j’étais le seul qui dès le premier jour — jusqu’au 13 juillet — n’avait qu’une opinion, qu’il fallait prendre une maison ensemble... Sans parler de l’évidence que dans nos relations, étant dans une ville étrangère, il faut être réunis, je prenais pour une folie de tenir deux maisons, lorsqu’on peut tenir une. La première fois lorsque j’étais dans la maison de Sue, j’ai regardé les 2 étages. Le 2 n’a pas plu à Emma — primo (et je le comprends de tout mon cœur), elle ne peut se faire encore aux 2000 Tal . Je voyais avec grande tristesse que ses recherches...
    5. Герцен А. И. - Мейзенбуг М., 26 (14) августа 1853 г.
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    Часть текста: mois de septembre. 2° Le Morning Advertiser a publié que Bakounine était un espion russe, l'article était signé F. M. Eh bien, il fallait donner une leçon à F. M. et il fallait attendre sa réponse. Il y avait 3-ment des disputes les plus désagréables du monde. Belle disposition pour écrire des lettres sereines! Et voilà comment d'un jour à l'autre le temps s'écoulait. «Sich totzuschießen/» — Man tötet sich nicht infolge eines raisonnement, die Kugel ist kein Syllogism , une fois dans ma vie, une seule, j'ai pensé à me suicider, une année personne ne l'a su, j'avais honte d'avouer et de me mettre au niveau d'un gredin qui exploitait le suicide. Je n'ai pas de passion assez forte maintenant pour me tuer — j'ai même un désir ironique et de pure curiosité de voir comment tout ira. Il y a deux années j'écrivais une dédicace à Ogareff, et dans cette déd je lui disais: «... Je n'attends rien pour moi, rien ne m'étonnera, ni me réjouira profondément. J'ai acquis tant de force, d'indifférence, de résignation, de scepticisme, de vieillesse enfin que je survivrai à tous les coups de fatalité. Q q je n'aie ni le désir de vivre longtemps, ni celui de mourir demain. La fin viendra par hasard, sans conscience ni raison, comme le commencement. Je ne la provoque, ni la fuis...» Ces lignes ont été écrites avec grande sincérité. Méditez-les. Vous pourriez me reprocher le fait de ma fatigue si je me plaignais, — mais je ne me plaigne que lorsqu'une voix amie touche les cordes douloureuses — autrement je...
    6. Nouvelle phase de la littérature russe (Новая фаза в русской литературе)
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    Часть текста: période littéraire commencée en Russie après la mort de Nicolas et la guerre de Crimée, période de réveil et d'élan dans le genre de la «Drang und Sturm» période des Allemands, vient d'être en partie détournée de sa voie. Cinq ans ont suffi pour fatiguer le gouvernement et la société. Le gouvernement, après l'émancipation des serfs, a eu peur de s'être trop avancé. Aux malentendus que les nouvelles ordonnances ont fait naître parmi les paysans, il répond par la mitraille; aux refus des étudiants d'obtempérer à de puériles exigences — par les casemates et l'exil: les condamnations pour délits politiques recommencent. Le 14 décembre 1861, le poète Mikhaïlov est condamné aux travaux forcés, pour avoir adressé à la jeunesse un appel qui n'a eu aucune suite. La société, ce qui est peut-être plus étonnant, commence aussi à murmurer. Elle semble fatiguée de la...
    7. Lettres d’un Russe de l’Italie (Авторский перевод)
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    Часть текста: distrait sur ses environs si pittoresques. Le bruit solennel del Risorgimento se répandait par toute la péninsule… Je ne pensai qu’à m’arracher au plus vite de Nice pour aller à Rome. C’était vers la fin de 1847… Maintenant je reviens à Nice, la tête baissée comme le pigeon voyageur de la fable, ne cherchant qu’un peu de repos. Maintenant je m’éloigne des grandes cités, je fuis leur activité incessante, qui ne produit rien de plus en Occident que le désœuvrement nonchalant en Orient. Après avoir cherché longtemps où m’abriter, j’ai choisi Nice, non seulement pour son air si doux, pour sa mer si bleue, mais aussi parce qu’elle n’a aucune signification politique, scientifique… ou autre. Je répugnais moins à aller à Nice que partout ailleurs. C’était comme un couvent tranquille dans lequel je pensais me retirer du monde – tant que nous serions inutiles l’un à l’autre. Il m’a beaucoup tourmenté, je ne m’en fâche pas,je sais que ce n’est pas sa faute… mais je n’ai plus ni force, ni désir de partager ni ses jeux féroces, ni ses...
    8. Герцен А. И. - Гервегу Г., 30 (18) июля 1850 г.
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    Часть текста: à faire des suppositions, hypothèses, probabilités et autres opérations, par lesquelles l’esprit humain cherche à savoir ce qu’il ne sait pas — concernant ton absence. Mais tu sais la faiblesse de l’homme; après avoir longtemps pensé, nous nous sommes arrêtés à cette supposition: «Ma mère a écrit il y a deux mois que tu avais coupé tes cheveux — or donc tu attends qu’ils repoussent pour repousser du littoral Suisse la barque qui doit te rendre à Nice». — C’était la dernière hypothèse lorsque ta lettre a dit que tu étais malade. Pourquoi ne m’as-tu pas écrit avant? je t’aurais ménagé beaucoup de reproches de la part d’Emma, et j’aurais trouvé les moyens de la consoler, mais comme j’étais moi-même tanto poco arrabiato  — j’ai aussi pesté, vociféré, julesfavrisé tes retards. Au reste — Dieu et Löwe aidant — cela doit passer et tu viendras — et cela sera fini. Il y a ici à l’hôtel une femme de chambre qui ne parle ni le français, ni l’italien, mais un jargon incompréhensible. Emma a de suite commencé à parler avec elle. Elle est allée d’une supposition magnifique, si on estropie tous les mots français et italiens, elle doit comprendre. Exempli gratia , elle dit à la femme: «Porta cana dans l’appartamiento del aguuia fredigosca», ou: «Ba la cete parquetoccio nel Salione mangisco»... C’est bien dommage que la femme de chambre comprenne encore moins cette nouvelle langue. Tout ce que ma femme et Emma ont écrit concernant mes disputes avec Emma, n’est que la suite...
    9. Charlotte Corday (Шарлотта Корде)
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    Часть текста: dans un sens tout à fait opposé à celui où l'entend le prologue. La Révolution française! Mais savez-vous bien que l'humanité se repose des siècles, après avoir enfanté une pareille époque? Les faits et les hommes de ces journées solennelles de l'histoire restent comme des phares destinés à éclairer la route de l'humanité; ils accompagnent l'homme de génération en génération, lui servant de guide, d'exemple, de conseil, de consolation, le soutenant dans l'adversité, et plus encore dans le bonheur. H n'y a que les héros homériques, les grands hommes de l'antiquité et les individualités pures et sublimes des premiers siècles de la chrétienté qui puissent partager un tel droit avec les héros de la Révolution. Nous avons presque oublié les événements du dernier demisiècle; mais les souvenirs de la Révolution sont vivants dans notre mémoire. Nous lisons, nous relisons les annales de ces temps, et l'intérêt pour nous s'accroît à chaque lecture. Tel est le magnétisme de la force, qu'elle l'exerce du fond d'un tombeau, en passant par les générations débiles, qui disparaissent, dit Dante, «comme la fumée, sans aucune trace». La lutte de ces Titans était ardente, acharnée; des souvenirs terribles se dressent dans notre imagination chaque fois que nous pensons à eux, et pourtant la vérité de cette lutte retrempe et relève l'âme. L'orage aussi est terrible, mais qui donc lui dispute son caractère de...
    10. Былое и думы. Часть шестая. Англия (1852–1864). Приложения
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    Часть текста: шестая. Англия (1852–1864). Приложения Приложения Авторские переводы R. Owen Chapitre I Bientôt après mon arrivée à Londres en 1852 j’ai reçu une lettre de la part d’une dame – elle m’invitait de venir passer un couple de jours à sa ferme à Seven Oaks. Je fis sa connaissance à Nice en 1850 – elle connut et quitta notre famille avant les terribles orages. Je voulais moi-même la voir – je sympathisais avec le pli élégant de son esprit, qui1 [727] Chapitre II R. Owen donna à un de ses articles le titre Essai de changer l'asyle des aliénés dans lequel nous vivons – en un monde rationnel. Ce titre rappelle à son biographe le propos suivant tenu par un malade enfermé à Bedlam: «Tout le monde me prend pour un fou, – disait-il, – moi j’ai la même opinion de tout le monde; malheureusement la majorité n’est pas de mon côté». Cela explique très bien le titre d’Owen et jette une grande lumière sur la question. Nous sommes convaincus que la portée de cette comparaison a échappé au sévère biographe. Il a voulu seulement insinuer qu’Owen était fou – et nous ne voulons pas le contredire, – mais cela n’est pas une raison pour penser que tout le monde ne l’est pas. Si Owen était fou – ce n’est nullement parce que le monde le pensait tel, et que lui-même le pensait de tout le monde. Mais bien parce qu’Owen – connaissant qu’il demeurait dans une maison des aliénés – parlait soixante ans de suite aux malades – comme s’ils étaient parfaitement sains. Le nombre des malades n’y fait absolument rien. La raison a sa justification, ...