• Приглашаем посетить наш сайт
    Толстой А.Н. (tolstoy-a-n.lit-info.ru)
  • Поиск по творчеству и критике
    Cлово "EXIGENCE"


    А Б В Г Д Е Ж З И Й К Л М Н О П Р С Т У Ф Х Ц Ч Ш Щ Э Ю Я
    0-9 A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z
    Поиск  
    1. Наброски
    Входимость: 2. Размер: 101кб.
    2. Герцен А. И. - Гервегу Г., 31 (19) декабря 1849 г.
    Входимость: 1. Размер: 12кб.
    3. Nouvelle phase de la littérature russe (Новая фаза в русской литературе)
    Входимость: 1. Размер: 134кб.
    4. Le peuple Russe et le socialisme (Русский народ и социализм)
    Входимость: 1. Размер: 95кб.
    5. Du développement des idées révolutionnaires en Russie (О развитии революционных идей в России). II. La Russie avant Pierre ier (II. Россия до Петра I )
    Входимость: 1. Размер: 79кб.
    6. A l’illustre sénat de la ville libre de Francfort- sur-le-Mein (Прославленному сенату вольного города Франкфурта-на-Майне)
    Входимость: 1. Размер: 33кб.
    7. Du développement des idées révolutionnaires en Russie (О развитии революционных идей в России). III. Pierre ier ( III. Петр I )
    Входимость: 1. Размер: 112кб.
    8. Prolegomena
    Входимость: 1. Размер: 77кб.
    9. Frisant la question polonaise (К польскому вопросу)
    Входимость: 1. Размер: 59кб.
    10. Герцен А. И. - Герцен Н. А. и О. А., 5 - 10 декабря (23 - 28 ноября) 1862 г.
    Входимость: 1. Размер: 9кб.

    Примерный текст на первых найденных страницах

    1. Наброски
    Входимость: 2. Размер: 101кб.
    Часть текста: <НАБРОСКИ> <НАДПИСЬ НА КНИГЕ Ж. САНД « HISTOIRE DU V É RITABLE GRIBOUILLE »> И я, как Грибуль, бросился в реку, чтобы спастись от дождя. Оттого и люблю его. Париж, 20 августа 1852 г. <ИЗ ДНЕВНИКА> 9 апреля 1856 — 4 мая. Неужели мой призыв носил в себе черное пророчество? «Так-то рука в руку входили мы с тобою в жизнь, — писал я года три тому назад, — я дошел не до цели, а до того места, где дорога идет под гору, и невольно ищу твоей руки, чтоб имеете выйти, чтоб пожать ее и сказать, грустно улыбаясь: Вот и все !» Да я и готов бы был выйти, если б в дверях не стояли дети. Никого кругом — ни из ближних, ни из дальних, — все сами не сложились или сломились. Все в горячке — и я опять один защитник, один под бременем обещаний, клятв. ... Первый раз после осени 1851 на меня повеяло чем-то домашним, я опять мог с полной теплотой и без утайки рассказывать то, о чем молчал годы. Мы праздновали нашу встречу печально, но полно, с 9 апреля до 4 мая. Пора опять за работу. Трудно, прогулявши целую неделю, начинать в Фомин понедельник буднишнюю жизнь. Небольшая черта в счете напомнила мне, что праздник прошел, и я снова тороплюсь в чистилище труда и работы. 5 мая 1856. Ровно месяц тому назад поздно вечером я сидел с...
    2. Герцен А. И. - Гервегу Г., 31 (19) декабря 1849 г.
    Входимость: 1. Размер: 12кб.
    Часть текста: Georges, pour que vous puissiez ne pas la lire, ou la lire après; elle vous mettra en mauvaise humeur. J’ai ma fatalité aussi, с’est d’être très souvent quelque chose dans le genre d’un bourreau de mes amis. Mais il m’est impossible de me taire. Et devrais-je encourir, non seulement un reproche, mais un éloignement de votre part, jo ne me tairai pas. Votre pleine confiance, votre amitié pour moi me force de vous dire qu’il у a un côté dans votre caractère — où moi, loin de me sentir votre besson, je me sens froissé, indigné. Passer outre, ne pas en parler — serait assez lâche et passablement traître. Hier la journée passait assez bien, le soir on nous apporte vos lettres, j’ouvre et je sens que je rougis, Emma attendait avec le plus grand empressement un mot, me demande — il n’y avait que son adresse. Hier vous avez oublié d’écrire un mot à propos de Horace, aujourd’hui préoccupé du non recevoir de diable sait quelle lettre — vous n’avez rien écrit — je ne suis pas une femme, mais j’ai senti un frisson, que je sens toujours lorsque quelque chose de dur touche mon cœur. Elle, dévouée comme elle est (ce que je prends pour une maladie), elle était anéantie. Nous parlâmes longtemps, je mentais, je vous inculpais, pour vous justifier — et maudissant ce rôle louche, je me jetai vers 3 h sur le lit. Triste, ému, j’ai beaucoup pensé, voilà, les résultats. Aimer, ne pas aimer une femme, un homme — с’est involontaire et je n’oserai jamais toucher à ces océanides de l’ame humaine. Mais no pas so permettre, ne pas...
    3. Nouvelle phase de la littérature russe (Новая фаза в русской литературе)
    Входимость: 1. Размер: 134кб.
    Часть текста: décembre 1861, le poète Mikhaïlov est condamné aux travaux forcés, pour avoir adressé à la jeunesse un appel qui n'a eu aucune suite. La société, ce qui est peut-être plus étonnant, commence aussi à murmurer. Elle semble fatiguée de la liberté, avant même de l'avoir obtenue. Elle en craint les excès, avant d'en avoir eu la jouissance. La première effervescence passée, tout tend au calme plat. Il ne fallait qu'un prétexte pour entrer en pleine réaction, La police le fournit. Pour sortir de l'impasse, elle frappe un grand coup, à l'antique et rejette sur les «rouges», les «socialistes» et la jeunesse en général, l'incendie d'un quartier de Saint-Pétersbourg qu'elle n'a pas su éteindre, et auquel peut-être ont aidé quelques voleurs de rue. Ceci se passait au mois de mai 1862. A cette accusation, comme si on l'eût attendue, s'élève dans les journaux une clameur contre les incendiaires. On demande des enquêtes et «des punitions extraordinaires». On accuse des jeunes gens qui avaient répandu une espèce de manifeste révolutionnaire. «La Gazette de Moscou» tâche d'établir la complicité de la «Jeune Russie» avec les incendiaires et de faire peser sur celle-là la responsabilité des actes de ceux-ci. L'opinion publique s'alarme. On a peur à Pétersbourg. On a peur à Moscou. On a peur dans les provinces. Le gouvernement doit sauver la société, rassurer les esprits; et, pour ce faire, il...
    4. Le peuple Russe et le socialisme (Русский народ и социализм)
    Входимость: 1. Размер: 95кб.
    Часть текста: de confiance que votre noble plume vous a si justement conquise, pour qu'il me soit permis, dans une cause qui touche a mes convictions les plus profondes, de laisser sans réponse la caractéristique du peuple russe que vous faites dans votre beau travail sur Kosciusko [56] . Cette réponse est d'autant plus indispensable, qu'il est temps de faire voir à l'Europe qu'en parlant actuellement de la Russie, ce n'est plus d'un absent, d'un éloigné, d'un muet que l'on parle. Nous sommes présents, nous qui avons quitté la Russie avec le seul but de faire retentir en Europe le libre verbe russe. La parole devient pour nous un devoir, quand un homme, appuyé sur une grande et légitime autorité, vient de nous dire que: «il affirme, qu'il jure, qu'il prouvera que la Russie n'existe pas, que les Russes ne sont pas des hommes, qu'il leur manque le sens moral». Voulez-vous parler de la Russie officielle, de l'empire des façades, du gouvernement byzantino-allemand? D'accord, nous acquiesçons d'avance à tout ce que vous nous direz; la défense ne nous incombe nullement; le gouvernement russe a assez d'agents littéraires dans la presse parisienne pour que les apologies les plus éloquentes lui fassent jamais défaut. Mais ce n'est plus de la société officielle seule qu'il s'agit dans votre travail; vous avez agité la question jusque dans ses dernières profondeurs; vous...
    5. Du développement des idées révolutionnaires en Russie (О развитии революционных идей в России). II. La Russie avant Pierre ier (II. Россия до Петра I )
    Входимость: 1. Размер: 79кб.
    Часть текста: absorbées par son développement, comme l'ont été celles des peuples germano-romains. Au IXe siècle, ce pays se présente comme un Etat organisé d'une toute autre manière que les Etats d'Occident. Le gros de la population appartenait à une race homogène, disséminée sur un territoire très vaste et très peu habité. La distinction qu'on trouve partout ailleurs entre la race conquérante et les races conquises ne s'y rencontrait point. Les peuplades faibles et infortunées des Finnois, clairsemées et comme perdues parmi les Slaves, végétaient hors de tout mouvement, dans une soumission passive, ou dans une sauvage indépendance; elles étaient de nulle importance pour l'histoire russe. Les Normands (Varègues), qui dotèrent la Russie de la race princière qui y régna, sans interruption, jusqu'à la fin du XVIe siècle, étaient plus organisateurs que conquérants. Appelés par les Novgorodiens, ils s'emparèrent du pouvoir et retendirent bientôt jusqu'à Kiev [3] ...
    6. A l’illustre sénat de la ville libre de Francfort- sur-le-Mein (Прославленному сенату вольного города Франкфурта-на-Майне)
    Входимость: 1. Размер: 33кб.
    Часть текста: accomplis par des rois affectés de maladie mentale et de jésuitisme, par des princes... infinitésimaux; mais on ne s’ attendait pas à tant de servilité de la part d’ une ville libre et située sur les bords du Mein. Qui donc commande, règne et gouverne à Francfort: vous, Patres conscripti , ou le résident russe? — Si c’est M. Fonton, je vous laisserai en paix — sans pourtant m’adresser à lui. Dans le doute — et n’ayant pas encore lu la promulgation officielle de l’annexion de Francfort aux Provinces Baltiques — je me vois forcé d’en appeler aux autorités constitués. Et d’abord, je me crois obligé de vous faire remarquer que la gravité du fait ne consiste pas dans la prohibition d’une petite feuille. La parole, la pensée, persécutées dans l’Europe continentale, ne pouvaient s’attendre à trouver à Francfort une Saragosse de la liberté de la presse. Mais, remarquez-le, de grâce! jusqu’à présent — même pendant le long règne de Nicolas en Allemagne — on connaissait le contenu des imprimés que l’on persécutait. Patres conscripti! Etes-vous dans ce cas? Je vous le demande, sur votre honneur. — Quels sont les passages de cette malheureuse Cloche russe, qui rendent sa circulation dangereuse pour la virginité politique de la bonne ville de Francfort-sur-le-Mein? Vous n’en savez rien: soyez francs, rien. Qu’est-ce que...
    7. Du développement des idées révolutionnaires en Russie (О развитии революционных идей в России). III. Pierre ier ( III. Петр I )
    Входимость: 1. Размер: 112кб.
    Часть текста: se trouvait l'Etat s'accroissait de plus en plus, lorsque, vers la fin du XVIIe siècle, il parut sur le trône des tzars un révolutionnaire audacieux doué d'un génie vaste et d'une volonté inflexible. Pierre Ier ne fut ni un tzar oriental ni un dynaste, ce fut un despote, à l'instar du Comité de Salut public, despote en son propre nom et au nom d'une grande idée, qui lui assurait une supériorité incontestable sur tout ce qui l'entourait. Il s'arracha au mystère dont s'entourait la personne du tzar, et jeta avec dégoût loin de lui la défroque byzantine dont se paraient ses prédécesseurs. Pierre Ier ne pouvait se contenter du triste rôle d'un Dalaï-Lama chrétien, orné d'étoffes dorées et de pierres précieuses, qu'on montrait de loin au peuple, lorsqu'il se transportait avec gravité de son palais à la cathédrale de l'Assomption, et de la cathédrale de l'Assomption à son palais. Pierre Ier paraît devant son peuple en simple mortel. On le voit, ouvrier infatigable, depuis le matin jusqu'à la nuit, en simple redingote militaire, donner des ordres et enseigner la manière dont il faut les exécuter; il est maréchal ferrant et menuisier, ingénieur, architecte et pilote. On le ...
    8. Prolegomena
    Входимость: 1. Размер: 77кб.
    Часть текста: silence. Le spectre russe, exploité après 1848 par Donoso Cortès en laveur du catholicisme, apparaît avec une nouvelle vigueur dans le camp opposé. On est prêt à voiler encore une fois les «droits de l'homme», que l'on a oubliés, et à suspendre la liberté que l'on n'a plus, pour veiller au «Salut de la civilisation» menacée et — refouler ces Attilas en herbe et ces Alaric futurs, au delà du Volga et de l'Oural. Le danger est si grand qu'on a hasardé de proposer à l'Autriche de donner la main qui lui reste — à la Prusse, qui a amputé l'autre... que l'on a conseillé à tous les Etats d'entrer dans une sainte ligue d'un despotisme militaire contre l'empire des tzars. On écrit des livres, des articles, des brochures en français, allemand, anglais; on prononce des discours, on fourbit les armes... et la seule chose que l'on omet, c'est Гétude sérieuse de la Russie. On se borne au zèle, à la ferveur, à l'élévation des sentiments. On croit que,si l'on plaint la Pologne — on connaît la Russie. Cet état de choses peut amener des conséquences graves, de grandes fautes, de grands malheurs, sans parler du malheur très réel — d'être dans une complète erreur. Il y a peu de spectacles plus tristes et plus navrants que celui d'une obstination senile, qui se détourne de la vérité — par une fatigue d'esprit, par une crainte de troubler un parti pris. Gœthe a remarqué que les vieux savants perdent avec les années l'instinct de la réalité, le talent d'observation et n'aiment pas à remonter aux bases de leur théorie. Ils se sont forme des idées arrêtées, ils...
    9. Frisant la question polonaise (К польскому вопросу)
    Входимость: 1. Размер: 59кб.
    Часть текста: ensevelir les réminiscences de 1863—64 jusqu'à d'autres temps et d'autres circonstances. J'ai noté, pour moi seul, quelques souvenirs que je relisais comme une messe de morts. Harcelé par des ennemis, forcé de parler[86], je ne sortais jamais des généralités et d'une extrême réserve. C'est ce que je me propose de faire aussi maintenant, en soulevant un peu plus le linceul. Le silence, malheureusement, n'est pas toujours possible— il laisse se consolider, s'enraciner des représentations erronées. Il m'a été très difficile de prendre la parole; mais, comme cela arrive fréquemment, un rien qui déborde, une ironie mal placée, un mot mal pesé, nous font lever notre propre consigne, pour rappeler aux adversaires et aux loustics — qu'on n'est pas tout à fait mort pour se taire. Cette fois, la goutte qui a débordé — goutte martiale, pour-rais-je dire, car elle est tombée d'un général à un major — est la lettre de M. Mieroslawsky, publiée à Genève. On y trouve des passages dans ce genre: «Le Comité varsovi-en — Padlewsky, Giller, Milowicz — composé à Paris, partit en corps et en pompe, au mois de novembre 1862, offrir la direction suprême de l'insurrection polonaise à MM. Herzen, Ogareff et Bakounine, en acceptant, au nom de la Pologne, si mal démembrée Par le congrès de Vienne, le sous-démembrement qui lui était offert par le dernier de ces patriotes moscovites. MM. Herzen et Ogareff eurent le...
    10. Герцен А. И. - Герцен Н. А. и О. А., 5 - 10 декабря (23 - 28 ноября) 1862 г.
    Входимость: 1. Размер: 9кб.
    Часть текста: апельсинов на них. Вы поехали — мы пошли назад через мост, сели в коляску — и «поехали туда, где я жил» — так сказано в записной книге моей. «Дома у меня больше не было, с вашего отъезда все приняло холостой вид. Половина комнат была заперта. Один Саша напоминал возрастом и чертами, что тут была другая жизнь, напоминал кого-то отсутствующего». И она, та, которая отсутствовала, говорила мне за сутки до своей кончины: «Береги Тату, с ней надобно быть осторожным, это натура глубокая и несообщительная». Судьба тебя сберегла больше, чем я. Бедна любовь отца в сравнении с материнской болью о ребенке. Так ли, иначе ли, но хорошо, что ты с здоровой душой выходишь из ребячества. И вот через 10 лет я опять провожаю тебя вдаль — тебя и Ольгу. Тебе 18 л<ет>. — В Америке девушки твоих лет действуют самобытно — занимаются делами, путешествуют совершенно одни и не теряются так жалко и беспомощно, при всякой случайности, как наши барышни. Твое сиротство, Тата, рано приучило тебя становиться на свои ноги. За тобой не следил с любовью и страхом взгляд матери, радуясь тебе и боясь ошибки, ободряя,...