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    1. Nouvelle phase de la littérature russe (Новая фаза в русской литературе)
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    2. Prolegomena
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    3. Le dualisme, c'est la monarchie (Дуализм — это монархия)
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    4. Герцен А. И. - Рейхелям М. К. и А., 28 (16) июля 1855 г.
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    5. Герцен А. И. - Гаугу Э., Около 16 (4) марта 1852 г.
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    6. A nos ennemis (Нашим врагам)
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    7. La colonie russe (Русская колония)
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    8. Du développement des idées révolutionnaires en Russie (О развитии революционных идей в России). V. La littérature et l"opinion publique après le 14 décembre 1825 ( V. Литература и общественное мнение после 14 декабря 1825 года )
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    9. Былое и думы. Часть шестая. Англия (1852–1864). Приложения
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    10. Герцен А. И. - Прудону П. - Ж., 6 - 7 сентября (25 - 26 августа) 1852 г.
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    11. La Russie (Россия)
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    1. Nouvelle phase de la littérature russe (Новая фаза в русской литературе)
    Входимость: 3. Размер: 134кб.
    Часть текста: les casemates et l'exil: les condamnations pour délits politiques recommencent. Le 14 décembre 1861, le poète Mikhaïlov est condamné aux travaux forcés, pour avoir adressé à la jeunesse un appel qui n'a eu aucune suite. La société, ce qui est peut-être plus étonnant, commence aussi à murmurer. Elle semble fatiguée de la liberté, avant même de l'avoir obtenue. Elle en craint les excès, avant d'en avoir eu la jouissance. La première effervescence passée, tout tend au calme plat. Il ne fallait qu'un prétexte pour entrer en pleine réaction, La police le fournit. Pour sortir de l'impasse, elle frappe un grand coup, à l'antique et rejette sur les «rouges», les «socialistes» et la jeunesse en général, l'incendie d'un quartier de Saint-Pétersbourg qu'elle n'a pas su éteindre, et auquel peut-être ont aidé quelques voleurs de rue. Ceci se passait au mois de mai 1862. A cette accusation, comme si on l'eût attendue, s'élève dans les journaux une clameur contre les incendiaires. On demande des enquêtes et «des punitions extraordinaires». On accuse des jeunes gens qui avaient répandu une espèce de manifeste révolutionnaire. «La Gazette de Moscou» tâche d'établir la complicité de la «Jeune Russie» avec les incendiaires et de faire peser sur celle-là la responsabilité des actes de ceux-ci. L'opinion publique s'alarme. On a peur à Pétersbourg. On a peur à Moscou. On a peur dans les provinces. Le gouvernement doit sauver la société, rassurer les esprits; et, pour ce faire, il s'empresse d'ordonner l'arrestation de quelques centaines de...
    2. Prolegomena
    Входимость: 2. Размер: 77кб.
    Часть текста: «droits de l'homme», que l'on a oubliés, et à suspendre la liberté que l'on n'a plus, pour veiller au «Salut de la civilisation» menacée et — refouler ces Attilas en herbe et ces Alaric futurs, au delà du Volga et de l'Oural. Le danger est si grand qu'on a hasardé de proposer à l'Autriche de donner la main qui lui reste — à la Prusse, qui a amputé l'autre... que l'on a conseillé à tous les Etats d'entrer dans une sainte ligue d'un despotisme militaire contre l'empire des tzars. On écrit des livres, des articles, des brochures en français, allemand, anglais; on prononce des discours, on fourbit les armes... et la seule chose que l'on omet, c'est Гétude sérieuse de la Russie. On se borne au zèle, à la ferveur, à l'élévation des sentiments. On croit que,si l'on plaint la Pologne — on connaît la Russie. Cet état de choses peut amener des conséquences graves, de grandes fautes, de grands malheurs, sans parler du malheur très réel — d'être dans une complète erreur. Il y a peu de spectacles plus tristes et plus navrants que celui d'une obstination senile, qui se détourne de la vérité — par une fatigue d'esprit, par...
    3. Le dualisme, c'est la monarchie (Дуализм — это монархия)
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    Часть текста: le roi terrestre et le soutient. Pourquoi, en effet, les hommes n'obéiraient-ils pas à un seul, lorsque toute la nature, tout l'univers, obéissent servilement à un seul. De là, il résulte clairement que le premier besoin d'une organisation sociale libre — c'est d'effacer complètement toute démarcation entre prêtre et laïque, entre peuple et gouvernement. La monarchie aima toujours à se comparer à l'ordre céleste — la république, plus humble, et tout-à-fait terrestre, doit ressembler à la nature. La nature, c'est l'harmonie et l'anarchie, c'est l'individualisme de chaque être et l'ensemble le plus grand, le plus complet de tous. Le principe de la nature est tout le contraire du dualisme — c'est l'immanence. L'immanence réunit ce que le dualisme sépare; elle n'est ni esprit, ni matière; ni cause séparée de l'effet, ni substance détachée des phénomènes; l'immanence, c'est la vie se spiritualisant d'un côté, se cristallisant d'un autre. Les lois de la nature ne sont que les conditions mêmes de l'être. Nulle part on ne voit, dans la nature, un doigt impertinent qui montre le...
    4. Герцен А. И. - Рейхелям М. К. и А., 28 (16) июля 1855 г.
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    Часть текста: Щепк<ина>, и всех награждали. — Едет жена знаменитого фехтовального учителя Прево, который Сашу учит... Пик<улина> жду с величайшим нетерпением. — Россия двигается гигантски, а наши друзья что-то отстают. Общественное мнение, которое было так озабочено в 1854, что я перестал писать, теперь совсем иное, и «Полярная звезда» — с именами Гюго, Мац<цини>, Л. Бл<ана>, Прудона и Мишле в день казни Пестеля — была бы не шутка, если б наши были столько живы, как десять лет тому назад. Германия набита русскими, на водах и горах, — что же, нельзя письма ни с кем послать, стихов Пушкина, книг? А как же отсюда поехал некий молодец месяца три тому назад и не только пишет письма, а живет — где? — в Варшаве. Я все это пишу — чтоб вы при случае их учили уму-разуму. А насчет того... позвольте доложить, не изволили местность сообразить. «Жид» пахнул в углу дилижанса, а «чиновник», который не мог нюхать, сидел на дилижансе со мной, так оно и неудивительно, что вы не видали его собственноручный нос. Прудонец написал чудесное, удивительное письмо, но не для печати. Что Реклюза хороша, что ли? У нас все демососические женщины пошли в Жак Деруан — так безобразны, что уж почти мужчины. Ненависть моя к «англикам», как говорят поляки, доходит до неистовства. Представьте, что ни одна газета не смела сказать, что англичане резали, душили, грабили в...
    5. Герцен А. И. - Гаугу Э., Около 16 (4) марта 1852 г.
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    Часть текста: votre main — non pour combattre pour moi, mais pour me soutenir dans une lutte difficile à terminer comme je le désire. Pourtant avant de vous engager plus loin dans cette affaire triste, noire, il vous faut connaître les faits. Je veux vous les raconter; cela me coûte beaucoup, mais il le faut. Après le récit, je vous dirai: «Jugez et agissez maintenant d’après votre cœur». Vous m’avez rappelé dans votre lettre une conversation que nous avons eue, en nous promenant une nuit près de la Madeleine. Oh, que je vous remercie de vous en être rappelé. Cette conversation non seulement abrège ma tâche pénible, mais elle me sert de preuve, de base, de document — au moins par rapport à vous. Oui, j’ai ouvert alors mon âme, je vous ai dévoilé mon cœur. Cela m’arrive rarement, je ne parle jamais de mes sentiments, il y a je ne sais quelle pudeur qui m’en empêche, — mes...
    6. A nos ennemis (Нашим врагам)
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    Часть текста: ennemis (Нашим врагам) A NOS ENNEMIS Si nous pouvons nous permettre de quitter nos amis à la française, nous ne voulons pas nous séparer de nos ennemis sans-adieux. Heureusement, un article publié dans une revue rédigée par le Katkoff de la Gazette de Moscou nous olfre une bonne occasion. Cet article, intitulé La presse russe à l’étranger, taisant l'éloge d'un dernier ouvrage de N. Tourguéneff, nous rudoie et coudoie — comme il fallait s'y attendre d'un ad latus du rédacteur homme d'Etat. Et bien, nous parlerons aussi de la presse russe à Г étranger. Malheureusement, et j'en fais toutes mes excuses possibles à nos lecteurs, je dois commencer par moi-même. J'ai quitté la Russie en 1847. Il y avait alors un mouvement intellectuel très remarquable, qui se faisait jour par toutes les fentes, par tous les pores, à travers les doigts de Nicolas. Il n'y avait pas de littérature de dénonciation pour aider la police; le gouvernement, très ignorant, sévissait, ollensait — et le mouvement allait son train. La léthargie qui pesait sur la partie éclairée de la Russie, depuis 1825, était inie — on se réveillait. L'Université de Moscou, rétrograde et servile maintenant, était à l'apogée de sa gloire. Les doctrines...
    7. La colonie russe (Русская колония)
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    Часть текста: «Mais des russes à Paris...» Mais, cher ami, vous avez tout oublié à l'exception de ma personne. A quoi pensez-vous donc? Je ne connais ni les russes contemporains, ni Paris rebâti. Je n'ai que des souvenirs, des fleurs fanées, des cartons à demi effacés, à demi dénués d'intérêt. Savez-vous qu'il y a bien vingl ans que moi, pieux pèlerin du Nord, j'entrai, pour la première fois à Paris, et qu'il y a déjà (quinze ans que son climat m'est devenu malsain. Oui, c'était au mois de mars 1847[99], j'ouvris une vieille et lourde croisée de l'hôtel du Rhin et je tressaillis: l'homme sombre en bronze, les bras croisés, Je chapeau enfoncé[100] était devant moi sur une colonne. Or, c'est vrai, c'est une réalité — je suis à Paris — à Paris! et tout le saug me montait à la fête! Un sentiment existe pourtant, que les aborigènes de Paris ne connaissent pas, eux qui ont tout éprouvé jusqu'à la fatigue, c'est le sentiment que nous éprouvions en entrant pour la première fois à Paris. Depuis notre enfance, Paris était pour nous notre Jérusalem, la grande cité de la Révolution, le Paris du Jeu de Paume, de 89, dе 93. Berlin, Cologne, Bruxelles? c'est bon de les voir, mais ou peut s'en passer. Une fois à Paris, on sentait que l'on était arrivé, et on défaisait tranquillement les malles. — Il n'y avait rien au delà. On ne connaissait pas même Londres dans ces temps bien heureux. Londres n'a été découvert que du temps de l'exposition de 1852. Depuis que Paris est devenu ville universelle, il y a moins de France en lui, moins de Paris. Les rapports ...
    8. Du développement des idées révolutionnaires en Russie (О развитии революционных идей в России). V. La littérature et l"opinion publique après le 14 décembre 1825 ( V. Литература и общественное мнение после 14 декабря 1825 года )
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    Часть текста: la Russie restait immobile, elle paraissait même reculer; mais, au fond, tout prenait une face nouvelle, les questions devenaient plus compliquées, les solutions moins simples. A la surface de la Russie officielle, «de l'empire des façades», on ne voyait que des pertes, une réaction féroce, des persécutions inhumaines, un redoublement de despotisme. On voyait Nicolas entouré de médiocrités, de soldats de parades, d'Allemands de la Baltique et de conservateurs sauvages, lui-même méfiant, froid, obstiné, sans pitié, sans hauteur d'âme, médiocre comme son entourage. Immédiatement au-dessous de lui se rangeait la haute société qui, au premier coup de tonnerre qui éclata sur sa tête après le 14 décembre, avait perdu les notions à peine acquises d'honneur et de dignité. L'aristocratie russe ne se releva plus sous le règne de Nicolas, sa fleuraison était passée; tout ce qu'il y avait de noble et de généreux dans son sein était aux mi-Qes ou en Sibérie. Ce qui restait ou se maintint dans les bonnes grâces du maître, tomba à ce degré d'abjection ou dе servilisme qu'on connaît par le tableau qu'en a tracé M. de Custine. Venaient ensuite les officiers de la garde; de brillants et civilisés ils devinrent de plus en plus des sergents encroûtés. Jusqu'à l'année 1825, tout ce qui portait l'habit civil reconnaissait la supériorité des epaulettes. Pour être comme il faut, il fallait avoir servi une couple d'années à la garde, ou au moins dans la cavalerie. Les officiers étaient l'âme des réunions, les héros ...
    9. Былое и думы. Часть шестая. Англия (1852–1864). Приложения
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    Часть текста: Англия (1852–1864). Приложения Приложения Авторские переводы R. Owen Chapitre I Bientôt après mon arrivée à Londres en 1852 j’ai reçu une lettre de la part d’une dame – elle m’invitait de venir passer un couple de jours à sa ferme à Seven Oaks. Je fis sa connaissance à Nice en 1850 – elle connut et quitta notre famille avant les terribles orages. Je voulais moi-même la voir – je sympathisais avec le pli élégant de son esprit, qui1 [727] Chapitre II R. Owen donna à un de ses articles le titre Essai de changer l'asyle des aliénés dans lequel nous vivons – en un monde rationnel. Ce titre rappelle à son biographe le propos suivant tenu par un malade enfermé à Bedlam: «Tout le monde me prend pour un fou, – disait-il, – moi j’ai la même opinion de tout le monde; malheureusement la majorité n’est pas de mon côté». Cela explique très bien le titre d’Owen et jette une grande lumière sur la question. Nous sommes convaincus que la portée de cette comparaison a échappé au sévère biographe. Il a voulu seulement insinuer qu’Owen était fou – et nous ne voulons pas le contredire, – mais cela n’est pas une raison pour penser que tout le monde ne l’est pas. Si Owen était fou – ce n’est nullement parce que le monde le pensait tel, et que lui-même le pensait de tout le monde. Mais bien parce qu’Owen – connaissant qu’il demeurait dans une maison des aliénés – parlait soixante ans de suite aux malades – comme s’ils étaient parfaitement sains. Le nombre des malades...
    10. Герцен А. И. - Прудону П. - Ж., 6 - 7 сентября (25 - 26 августа) 1852 г.
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    Часть текста: de cette manière et par une main qui était la vôtre. J’ai hasardé une chose difficile, audacieuse. Il me fallait des mois de méditation, des malheurs terribles et toute l’énergie qui me restait encore pour me décider à une chose, d’ailleurs tout à fait conforme à nos convictions, à nos principes, mais insolite, peu commune. Tant il est vrai que pratiquement nous sommes encore des hommes du vieux monde. Refuser un duel avec un scélérat que vous avez si bien caractérisé, qui, commençant par une trahison a fini par un assassinat en passant par le mensonge, l’escroquerie, la calomnie, et en appeler à la justice de tout ce qui s’avoue socialiste, révolutionnaire — quoi de plus simple, de plus naturel pour un homme qui professe depuis quinze ans le socialisme, d’autant plus que l’individu en question ose aussi se compter dans les rangs révolutionnaires. Et pourtant c’était bien téméraire de s’appuyer sur la solidarité qui doit nous lier dans une cause où était engagé beaucoup plus que mon honneur, tout mon passé, tout mon avenir même...