• Приглашаем посетить наш сайт
    Мамин-Сибиряк (mamin-sibiryak.lit-info.ru)
  • Поиск по творчеству и критике
    Cлово "IMAGE"


    А Б В Г Д Е Ж З И Й К Л М Н О П Р С Т У Ф Х Ц Ч Ш Щ Э Ю Я
    0-9 A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z
    Поиск  
    1. Nouvelle phase de la littérature russe (Новая фаза в русской литературе)
    Входимость: 3. Размер: 134кб.
    2. Du développement des idées révolutionnaires en Russie (О развитии революционных идей в России). VI. Vi panslavisme moscovite et européisme Russe ( VI. Московский панславизм и русский европеизм )
    Входимость: 2. Размер: 88кб.
    3. Du développement des idées révolutionnaires en Russie (О развитии революционных идей в России). III. Pierre ier ( III. Петр I )
    Входимость: 2. Размер: 112кб.
    4. Du développement des idées révolutionnaires en Russie (О развитии революционных идей в России). V. La littérature et l"opinion publique après le 14 décembre 1825 ( V. Литература и общественное мнение после 14 декабря 1825 года )
    Входимость: 2. Размер: 109кб.
    5. Былое и думы. Часть шестая. Англия (1852–1864). Приложения
    Входимость: 2. Размер: 102кб.
    6. Герцен А. И. - Мейзенбуг М., 18 (6) сентября 1857 г.
    Входимость: 1. Размер: 6кб.
    7. Le dualisme, c'est la monarchie (Дуализм — это монархия)
    Входимость: 1. Размер: 48кб.
    8. Du développement des idées révolutionnaires en Russie (О развитии революционных идей в России). Annexe. Sur la commune rurale en Russie (Прибавление. О сельской общине в России )
    Входимость: 1. Размер: 24кб.
    9. Du développement des idées révolutionnaires en Russie (О развитии революционных идей в России). II. La Russie avant Pierre ier (II. Россия до Петра I )
    Входимость: 1. Размер: 79кб.
    10. Исторические очерки о героях 1825 года и их предшественниках, по их воспоминаниям. Chapitre I. L"Empjereur Alexandre I er et V. N. Karazine
    Входимость: 1. Размер: 114кб.
    11. Russian serfdom (Русское крепостничество)
    Входимость: 1. Размер: 61кб.
    12. Былое и думы. Часть третья. Владимир-на-Клязьме (1838–1839). Приложения
    Входимость: 1. Размер: 32кб.
    13. Est-il vrai (Правда ли)
    Входимость: 1. Размер: 5кб.
    14. Герцен А. И. - Рейхель М. К., 12 - 13 декабря (30 ноября - 1 декабря) 1852 г.
    Входимость: 1. Размер: 7кб.
    15. Le Schédo-Ferroty panslaviste et les horreurs russes (Панславистский Шедо-Ферроти и русские ужасы)
    Входимость: 1. Размер: 31кб.
    16. La Russie (Россия)
    Входимость: 1. Размер: 101кб.

    Примерный текст на первых найденных страницах

    1. Nouvelle phase de la littérature russe (Новая фаза в русской литературе)
    Входимость: 3. Размер: 134кб.
    Часть текста: «Drang und Sturm» période des Allemands, vient d'être en partie détournée de sa voie. Cinq ans ont suffi pour fatiguer le gouvernement et la société. Le gouvernement, après l'émancipation des serfs, a eu peur de s'être trop avancé. Aux malentendus que les nouvelles ordonnances ont fait naître parmi les paysans, il répond par la mitraille; aux refus des étudiants d'obtempérer à de puériles exigences — par les casemates et l'exil: les condamnations pour délits politiques recommencent. Le 14 décembre 1861, le poète Mikhaïlov est condamné aux travaux forcés, pour avoir adressé à la jeunesse un appel qui n'a eu aucune suite. La société, ce qui est peut-être plus étonnant, commence aussi à murmurer. Elle semble fatiguée de la liberté, avant même de l'avoir obtenue. Elle en craint les excès, avant d'en avoir eu la jouissance. La première effervescence passée, tout tend au calme plat. Il ne fallait qu'un prétexte pour entrer en pleine réaction, La police le fournit. Pour sortir de l'impasse, elle frappe un grand coup, à l'antique et rejette sur les «rouges», les «socialistes» et la jeunesse en général, l'incendie d'un quartier de Saint-Pétersbourg qu'elle n'a pas su éteindre, et auquel peut-être ont aidé quelques voleurs de rue. Ceci se passait au mois de mai 1862. A cette accusation, comme si on l'eût attendue, s'élève dans les journaux une clameur contre les incendiaires. On demande des enquêtes et «des...
    2. Du développement des idées révolutionnaires en Russie (О развитии революционных идей в России). VI. Vi panslavisme moscovite et européisme Russe ( VI. Московский панславизм и русский европеизм )
    Входимость: 2. Размер: 88кб.
    Часть текста: en Russie (О развитии революционных идей в России). VI. Vi panslavisme moscovite et européisme Russe ( VI. Московский панславизм и русский европеизм ) VI. Vi panslavisme moscovite et européisme Russe Le temps de la réaction contre la réforme de Pierre Ier était venu,non seulement pour le gouvernement, qui reculait devant son propre principe-et reniait la civilisation occidentale, au nom de laquelle Pierre Ier avait foulé aux pieds la nationalité, mais encore pour les hommes que le gouvernement avait détachés du peuple, sous prétexte de civilisation, et qu'il commença à pendre lorsqu'ils furent civilisés. Le retour aux idées nationales conduisait naturellement à une question dont le simple énoncé contenait déjà la réaction contre la période de Pétersbourg. Ne faut-il pas ohercher une issue à la déplorable situation dans laquelle nous nous voyons, en nous rapprochant du peuple que nous méprisons sans le connaître? Ne fallait-il pas revenir à un ordre de choses plus conforme au caractère slave et quitter la voie de la civilisation exotique et forcée? Question grave et d'un intérêt actuel. Mais à peine fut-elle posée, qu'il se trouva un groupe d'hommes, qui, donnant de suite une solution positive, formèrent un système exclusif dont ils firent, non seulement une...
    3. Du développement des idées révolutionnaires en Russie (О развитии революционных идей в России). III. Pierre ier ( III. Петр I )
    Входимость: 2. Размер: 112кб.
    Часть текста: ( III. Петр I ) III. Pierre ier Le désir de sortir de la situation lourde dans laquelle se trouvait l'Etat s'accroissait de plus en plus, lorsque, vers la fin du XVIIe siècle, il parut sur le trône des tzars un révolutionnaire audacieux doué d'un génie vaste et d'une volonté inflexible. Pierre Ier ne fut ni un tzar oriental ni un dynaste, ce fut un despote, à l'instar du Comité de Salut public, despote en son propre nom et au nom d'une grande idée, qui lui assurait une supériorité incontestable sur tout ce qui l'entourait. Il s'arracha au mystère dont s'entourait la personne du tzar, et jeta avec dégoût loin de lui la défroque byzantine dont se paraient ses prédécesseurs. Pierre Ier ne pouvait se contenter du triste rôle d'un Dalaï-Lama chrétien, orné d'étoffes dorées et de pierres précieuses, qu'on montrait de loin au peuple, lorsqu'il se transportait avec gravité de son palais à la cathédrale de l'Assomption, et de la cathédrale de l'Assomption à son palais. Pierre Ier paraît devant son peuple en simple mortel. On le voit, ouvrier infatigable, depuis le matin jusqu'à la nuit, en simple redingote militaire, donner des ordres et enseigner la manière dont il faut les exécuter; il est maréchal ferrant et menuisier, ingénieur, architecte et pilote. On le voit partout sans suite, tout au plus avec un aide-de-camp, dominant la foule par sa taille. Pierre le Grand, comme nous l'avons dit,...
    4. Du développement des idées révolutionnaires en Russie (О развитии революционных идей в России). V. La littérature et l"opinion publique après le 14 décembre 1825 ( V. Литература и общественное мнение после 14 декабря 1825 года )
    Входимость: 2. Размер: 109кб.
    Часть текста: l'autre à une profondeur où on le distingue à peine, embrouillent l'observation. A l'apparence, la Russie restait immobile, elle paraissait même reculer; mais, au fond, tout prenait une face nouvelle, les questions devenaient plus compliquées, les solutions moins simples. A la surface de la Russie officielle, «de l'empire des façades», on ne voyait que des pertes, une réaction féroce, des persécutions inhumaines, un redoublement de despotisme. On voyait Nicolas entouré de médiocrités, de soldats de parades, d'Allemands de la Baltique et de conservateurs sauvages, lui-même méfiant, froid, obstiné, sans pitié, sans hauteur d'âme, médiocre comme son entourage. Immédiatement au-dessous de lui se rangeait la haute société qui, au premier coup de tonnerre qui éclata sur sa tête après le 14 décembre, avait perdu les notions à peine acquises d'honneur et de dignité. L'aristocratie russe ne se releva plus sous le règne de Nicolas, sa fleuraison était passée; tout ce qu'il y avait de noble et de généreux dans son sein était aux mi-Qes ou en Sibérie. Ce qui restait ou se maintint dans les bonnes grâces du maître, tomba à ce degré d'abjection ou dе servilisme qu'on...
    5. Былое и думы. Часть шестая. Англия (1852–1864). Приложения
    Входимость: 2. Размер: 102кб.
    Часть текста: de la part d’une dame – elle m’invitait de venir passer un couple de jours à sa ferme à Seven Oaks. Je fis sa connaissance à Nice en 1850 – elle connut et quitta notre famille avant les terribles orages. Je voulais moi-même la voir – je sympathisais avec le pli élégant de son esprit, qui1 [727] Chapitre II R. Owen donna à un de ses articles le titre Essai de changer l'asyle des aliénés dans lequel nous vivons – en un monde rationnel. Ce titre rappelle à son biographe le propos suivant tenu par un malade enfermé à Bedlam: «Tout le monde me prend pour un fou, – disait-il, – moi j’ai la même opinion de tout le monde; malheureusement la majorité n’est pas de mon côté». Cela explique très bien le titre d’Owen et jette une grande lumière sur la question. Nous sommes convaincus que la portée de cette comparaison a échappé au sévère biographe. Il a voulu seulement insinuer qu’Owen était fou – et nous ne voulons pas le contredire, – mais cela n’est pas une raison pour penser que tout le monde ne l’est pas. Si Owen était fou – ce n’est nullement parce que le monde le pensait tel, et que lui-même le pensait de tout le monde. Mais bien parce qu’Owen – connaissant qu’il demeurait dans une maison des aliénés – parlait soixante ans de suite aux malades – comme s’ils étaient parfaitement sains. Le nombre des malades n’y ...
    6. Герцен А. И. - Мейзенбуг М., 18 (6) сентября 1857 г.
    Входимость: 1. Размер: 6кб.
    Часть текста: pour Kinkel. Mais dès que vous en prenez la défense — je vous dirai plus catégoriquement mon opinion — c'est un fiasco complet. Parce que ce n'est ni poésie, ni histoire, parce que c'est froid comme la glace, parce que alles ist auf Stelzen. On peut pardonner à Byron — en faveur du génie qu'il y met, ses anachronismes, encore plus à Shakespeare — mais lorsque l'entrain ou le génie manque? L'intention, la pensée de l'auteur poussent in crudo, et on voit les cordes, les ficelles — très grossièrement. Attendons maintenant les critiques allemands. Si vous ne sentez pas sur cet exemple la justesse de mes observations — ne vous fâchez pas — je vous nie le sens esthétique. Remarquez que c'est l'éternelle faute de l'esprit allemand — de prendre une idée large, philosophique und sie zu verpfuschen par une réalisation pauvre. Tout cela ce sont des ombres — rien de vivant. Ensuite je pense que vous n'êtes pas dans le vrai en mettant le tout de la manière de vivre sur la pauvreté. K est un parfait honnête homme, mais doctrinaire, mais Hohepriester et voilà tout. Vous ne lui direz rien sur tout cela, — cela lui sera désagréable et je lui porte beaucoup...
    7. Le dualisme, c'est la monarchie (Дуализм — это монархия)
    Входимость: 1. Размер: 48кб.
    Часть текста: des cieux suppose le roi terrestre et le soutient. Pourquoi, en effet, les hommes n'obéiraient-ils pas à un seul, lorsque toute la nature, tout l'univers, obéissent servilement à un seul. De là, il résulte clairement que le premier besoin d'une organisation sociale libre — c'est d'effacer complètement toute démarcation entre prêtre et laïque, entre peuple et gouvernement. La monarchie aima toujours à se comparer à l'ordre céleste — la république, plus humble, et tout-à-fait terrestre, doit ressembler à la nature. La nature, c'est l'harmonie et l'anarchie, c'est l'individualisme de chaque être et l'ensemble le plus grand, le plus complet de tous. Le principe de la nature est tout le contraire du dualisme — c'est l'immanence. L'immanence réunit ce que le dualisme sépare; elle n'est ni esprit, ni matière; ni cause séparée de l'effet, ni...
    8. Du développement des idées révolutionnaires en Russie (О развитии революционных идей в России). Annexe. Sur la commune rurale en Russie (Прибавление. О сельской общине в России )
    Входимость: 1. Размер: 24кб.
    Часть текста: s'en retrouvent assez semblables chez toutes les tribus slaves. Là, où elle n'existe pas, elle a succombé sous l'influence germanique. Chez les Serbes, les Bulgares et les Monténégrins, elle s'est conservée plus pure encore qu'en Russie. La commune rurale représente pour ainsi dire l'unité sociale, une personne morale, l'Etat n'a jamais dû aller au-delà; elle est le propriétaire, la personne à imposer; elle est responsable pour tous et pour chacun, et par suite elle est autonome en tout ce qui concerne ses affaires intérieures. Son principe économique est l'antithèse parfaite de la célèbre maxime de Malthus: elle laisse chacun sans exception prendre place à sa table. La terre appartient à la commune et non à ses membres en particulier; à ceux-ci appartient le droit inviolable d'avoir autant de terre que chaque autre membre en possède au dedans de la même commune; cette terre lui est donnée comme possession sa vie durant; il ne peut et n'a pas besoin non plus de la léguer par héritage. Son fils,aussitôt qu'il a...
    9. Du développement des idées révolutionnaires en Russie (О развитии революционных идей в России). II. La Russie avant Pierre ier (II. Россия до Петра I )
    Входимость: 1. Размер: 79кб.
    Часть текста: que s'organiser. Tout le passé de ce pays, depuis le IXe siècle, doit être considéré comme l'acheminement vers un avenir inconnu, qui commence à poindre. La véritable histoire russe ne date que de 1812 – antérieurement il n'y avait que l'introduction. Les forces essentielles du peuple russe n'ont jamais été effectivement absorbées par son développement, comme l'ont été celles des peuples germano-romains. Au IXe siècle, ce pays se présente comme un Etat organisé d'une toute autre manière que les Etats d'Occident. Le gros de la population appartenait à une race homogène, disséminée sur un territoire très vaste et très peu habité. La distinction qu'on trouve partout ailleurs entre la race conquérante et les races conquises ne s'y rencontrait point. Les peuplades faibles et infortunées des Finnois, clairsemées et comme perdues parmi les Slaves, végétaient hors de tout mouvement, dans une soumission passive, ou dans une sauvage indépendance; elles étaient de nulle importance pour l'histoire russe. Les Normands (Varègues), qui dotèrent la Russie de la race princière qui y régna, sans interruption, jusqu'à la fin du XVIe siècle, étaient plus organisateurs que conquérants. Appelés par les Novgorodiens, ils s'emparèrent du pouvoir et retendirent bientôt jusqu'à Kiev [3] . Les princes varègues et leurs compagnons perdirent à la fin De cuelques générations le caractère de leur nationalité, et se...
    10. Исторические очерки о героях 1825 года и их предшественниках, по их воспоминаниям. Chapitre I. L"Empjereur Alexandre I er et V. N. Karazine
    Входимость: 1. Размер: 114кб.
    Часть текста: князя Трубецкого, Лондон, 1862, Вольная русская типография. — Статьи «Полярной звезды»: о Рылееве, Бестужеве, Н. Муравьеве, «Император Александр I и В. Каразин» MEMOIRES DES DECEMBRISTES: Mémoires de J. Yakouchkine, du prince S. Troubetzkoï, Londres, 1862, Imprimerie russe. —Mémoires et articles sur Ryléieff, Bestoujeff, N. Mouravioff, l'Empereur Alexandre 1er et V. Karazine, insérés dans l'Etoile Polaire, etc., etc. Le mouvement politique non officiel et gouvernemental, ne date réellement, en Russie, que du règne d'Alexandre I er , et principalement de 1812. Les dernières années du règne de Catherine II, l'atmosphère de Saint-Pétersbourg était lourde et suffocante; c'était une atmosphère senile, invalide, dans laquelle on sentait partout la vieille femme dépravée, naguère encyclopédiste, maintenant terrifiée devant la Révolution française, et trahissant toutes ses convictions, comme elle trahissait tous ses amants. Autour du trône silence complet, oriental, çà et là il y avait des loges maçonniques, des martinistes; elle commençait déjà à les poursuivre. Çà et là quelques boutades libérales, même un livre entier, le célèbre Voyage de Pétersbourg à Moscou, par Radichtcheff, qu' prêchait l'émancipation des paysans etl'horreur de l'absolutisme. Elle exila l'auteur en Sibérie. C'est tout; pas d'ensemble, pas de suite, de concentration de...