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    1. Nouvelle phase de la littérature russe (Новая фаза в русской литературе)
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    2. Исторические очерки о героях 1825 года и их предшественниках, по их воспоминаниям. Chapitre III. Rad Ryleieff et Nicolas Bestoujeff
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    3. Былое и думы. Часть шестая. Англия (1852–1864). Приложения
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    4. Le Schédo-Ferroty panslaviste et les horreurs russes (Панславистский Шедо-Ферроти и русские ужасы)
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    5. Исторические очерки о героях 1825 года и их предшественниках, по их воспоминаниям. Chapitre II. Un conspirateur de 1825 (Jean Yakouchkine)
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    6. Герцен А. И. - Чарторыскому Вл. (?), Начало (до 6) июня 1861 г.
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    7. Герцен А. И. - Неустановленному лицу, После 1867 г.
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    8. Frisant la question polonaise (К польскому вопросу)
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    9. Prolegomena
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    10. Lettres d’un Russe de l’Italie (Авторский перевод)
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    11. Le peuple Russe et le socialisme (Русский народ и социализм)
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    12. Du développement des idées révolutionnaires en Russie (О развитии революционных идей в России). II. La Russie avant Pierre ier (II. Россия до Петра I )
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    13. Наброски
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    14. Du développement des idées révolutionnaires en Russie (О развитии революционных идей в России). V. La littérature et l"opinion publique après le 14 décembre 1825 ( V. Литература и общественное мнение после 14 декабря 1825 года )
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    1. Nouvelle phase de la littérature russe (Новая фаза в русской литературе)
    Входимость: 2. Размер: 134кб.
    Часть текста: à de puériles exigences — par les casemates et l'exil: les condamnations pour délits politiques recommencent. Le 14 décembre 1861, le poète Mikhaïlov est condamné aux travaux forcés, pour avoir adressé à la jeunesse un appel qui n'a eu aucune suite. La société, ce qui est peut-être plus étonnant, commence aussi à murmurer. Elle semble fatiguée de la liberté, avant même de l'avoir obtenue. Elle en craint les excès, avant d'en avoir eu la jouissance. La première effervescence passée, tout tend au calme plat. Il ne fallait qu'un prétexte pour entrer en pleine réaction, La police le fournit. Pour sortir de l'impasse, elle frappe un grand coup, à l'antique et rejette sur les «rouges», les «socialistes» et la jeunesse en général, l'incendie d'un quartier de Saint-Pétersbourg qu'elle n'a pas su éteindre, et auquel peut-être ont aidé quelques voleurs de rue. Ceci se passait au mois de mai 1862. A cette accusation, comme si on l'eût attendue, s'élève dans les journaux une clameur contre les incendiaires. On demande des enquêtes et «des punitions extraordinaires». On accuse des jeunes gens qui avaient répandu une espèce de manifeste révolutionnaire. «La Gazette de Moscou» tâche d'établir la complicité de la «Jeune Russie» avec les incendiaires et de faire peser sur celle-là la responsabilité des actes de ceux-ci. L'opinion publique s'alarme. On a peur à Pétersbourg. On a peur à Moscou. On a peur dans les provinces. Le gouvernement doit sauver la société, rassurer les esprits; et, pour ce faire, il s'empresse d'ordonner l'arrestation de quelques centaines de...
    2. Исторические очерки о героях 1825 года и их предшественниках, по их воспоминаниям. Chapitre III. Rad Ryleieff et Nicolas Bestoujeff
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    Часть текста: contre les oppresseurs du peuple, je connais mon sort et, saint-père, je le bénis avec joie..." — Ryléïeff, — lui dit Michel, — c'est une prédiction que tu nous fais, à nous et à toi le premier. — Penses-tu donc que j'aie pu douter un seul instant de ce qui m'attend? — répondit Ryléïeff. — Je suis convaincu que notre perte est imminente et qu'elle est nécessaire pour secouer de leur sommeil nos compatriotes endormis». Bestoujeff ajoute: «Chez lui ce n'était pas un élan généreux, ni l'entraînement d'un moment, c'étaient sa religion calme, sa conviction inébranlable». Il était présent lorsque Ryléïeff se sépara de sa mère, qui quittait Pétersbourg. L'idée de ne plus revoir son fils tourmentait la pauvre femme, elle ne pouvait se défaire du pressentiment qu'il allait à une perte sûre: «—Sois circonspect, mon ami, —lui disait-elle, — tu es si imprudent... Le gouvernement est soupçonneux, des espions sont partout aux aguets, et toi — tu as l'air de te complaire à les provoquer en attirant sur toi leur attention. — Vous avez tort, maman, — répondit Ryléïeff, — mon but est au-dessus des taquineries et des provocations à l'adresse de quelques misérables agents de la police. Je suis dissimulé, car j'ai besoin qu'on me laisse tranquille pour agir. Si je parle à cœur ouvert avec mes amis, c'est que notre cause est la même, et si je ne me cache pas de vous, c'est qu'au fond, chère mère, vous partagez nos convictions....
    3. Былое и думы. Часть шестая. Англия (1852–1864). Приложения
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    Часть текста: Essai de changer l'asyle des aliénés dans lequel nous vivons – en un monde rationnel. Ce titre rappelle à son biographe le propos suivant tenu par un malade enfermé à Bedlam: «Tout le monde me prend pour un fou, – disait-il, – moi j’ai la même opinion de tout le monde; malheureusement la majorité n’est pas de mon côté». Cela explique très bien le titre d’Owen et jette une grande lumière sur la question. Nous sommes convaincus que la portée de cette comparaison a échappé au sévère biographe. Il a voulu seulement insinuer qu’Owen était fou – et nous ne voulons pas le contredire, – mais cela n’est pas une raison pour penser que tout le monde ne l’est pas. Si Owen était fou – ce n’est nullement parce que le monde le pensait tel, et que lui-même le pensait de tout le monde. Mais bien parce qu’Owen – connaissant qu’il demeurait dans une maison des aliénés – parlait soixante ans de suite aux malades – comme s’ils étaient parfaitement sains. Le nombre des malades n’y fait absolument rien. La raison a sa justification, son criterium ailleurs – elle ne se soumet jamais à la majorité des voix. Si toute l’Angleterre, par ex., ...
    4. Le Schédo-Ferroty panslaviste et les horreurs russes (Панславистский Шедо-Ферроти и русские ужасы)
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    Часть текста: Шедо-Ферроти и русские ужасы) LE SCHEDO-FERROTY PANSLAVISTE ET LES HORREURS RUSSES M. Youri Samarine, connu comme théologien byzantin et panslaviste exagéré—a commencé la publication d'une revue russe à Prague, sous le titre de Confins de la Russie («Русские окраины»). Cette publication a pour but de porter le coup de grâce aux hérétiques allemands, catholiques polonais, musulmans et autres mécréants, qui n'ayant pas le bonheur d'appartenir à l'Eglise orientale, ont celui de vivre sous le sceptre orthodoxe de la Russie. Absolutiste avec des velléités frondeuses, admirateur de Nicolas, très dévoué à l'empereur actuel, un peu Katkoff le polonophage et Askotchinsky le saint, — le rédacteur se donne l'air d'une opposition tranchée en publiant à la Schédo-Ferroty sa revue hors des limites de l'empire russe. Nous connaissons un peu les Allemands baltiques et nous sommes très contents que le révérend Samarine secoue rudement ces braves chevaliers teutons, et prenne la défense des pauvres Leithes, Esthes et autres Finnois — écrasés par les Allemands, au point de vouloir rétrograder (à ce que prétend le panslaviste théosophe) du protestantisme au...
    5. Исторические очерки о героях 1825 года и их предшественниках, по их воспоминаниям. Chapitre II. Un conspirateur de 1825 (Jean Yakouchkine)
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    Часть текста: des pages détachées des mémoires et des notes écrites par J. Yakouchkine, Bestoujeff, les princes Troubetzkoï, Obolensky, etc. Nous n'avons fait qu'ajouter quelques détails et quelques généralités. Autant que possible, nous avons tâché de conserver les propres paroles de ces hommes héroïques, qui les écrivaient, d'une main enchaînée, au fond de la Sibérie orientale. C'est dans ce but que nous n'avons pas fondu en une monographie les divers mémoires; au contraire, nous leur avons conservé leur individualité, quoique cela nous entraînât parfois à des répétitions. Le chapitre présent est extrait de la première partie des mémoires de Jean Yakouchkine. Nous ne sommes jamais parvenus à avoir la seconde, qui nous a été positivement promise par nos amis, plus riches en amitié qu'en exactitude. Il y a d'étranges accapareurs, qui pensent naïvement que des mémoires pareils peuvent être une propriété privée. Non seulement des parents et des héritiers, mais des personnes qui ont obtenu, par un hasard heureux, une copie, la mettent sous clé, jouant ainsi le rôle peu généreux du caniche qui gardait avec une avarice jalouse le foin dont...
    6. Герцен А. И. - Чарторыскому Вл. (?), Начало (до 6) июня 1861 г.
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    Часть текста: Начало (до 6) июня 1861 г. Лондон. Mon Prince, J'ai profondément réfléchi à votre invitation de prononcer quelques mots au meeting [polonais] du 6 juin. [Et d'abord je vous en remercie de tout mon cœur.] Chaque fois que nos frères polonais s'assemblent au nom de l'indépendance polonaise et nous invitent — quelles que d'ailleurs soient les nuances des opinions qui peuvent nous diviser — nous sommes [profondément touchés, car] bien reconnaissants; nous avons une grande expiation à faire, et nous nous sentons soulagés par vos marques de sympathie. Et pourtant [tout] [en acceptant] [vot ] [mes remerciements] vous me permettrez de décliner l'honneur que vous et vos amis me proposent. Ce qu'un Russe devait dire en vue des derniers événements de Varsovie — j'ai tâché, autant que j'en avais la force, de le faire, en mon nom et au nom de mes amis en Russie; vous connaissez nos articles du «Kolokol». Il m'est impossible de...
    7. Герцен А. И. - Неустановленному лицу, После 1867 г.
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    Часть текста: лицу, После 1867 г. 280. НЕУСТАНОВЛЕННОМУ ЛИЦУ (черновое) После 1867 г. Monsieur, Vous me demandez des détails de ma vie, principalement depuis 1848 et l'histoire du Kolokol. J'ai très peu de choses à vous dire, quant à moi. Je n'ai pas quitté l'Europe depuis 1847 et je n'ai pas pris de part active aux affaires de l'Occident. J'étais spectateur ému de la grande marée croissante et décroissante de 1848... et j'écrivais quelques articles qui ont paru en [Allemagne] [Suisse] allemand sous le titre De l'autre rive (Vom andern Ufer) et des Lettres sur la France et l'Italie [un ou deux articles parurent dans La Voix du Peuple de Proudhon]. Expulsé de France en 1850 par des motifs qui me sont restés inconnus — et qu'il m'est [impossible] difficile d'expliquer autrement que par ma participation au journal de Proudhon [que je connaissais personnellement et pour lequel j'avais un respect profond] la Voix du Peuple — je me suis éloigné à Nice (encore italienne). С'est là que j'ai publié en 1851 [mon ouvrage] un livre Sur le Développement des idées révolutionnaires en Russie et une lettre sur Le Socialisme et le Peuple Russe adressée à Michelet. Après une série de malheurs personnels (1851—52) [qui brisèrent mon existence] je quittai Nice et allai me réfugier [pour plus de dix ans] [en 1852] à Londres <...>[427]. Les barrières tombèrent — sans qu'on les ait enlevées. Nos imprimés entraient en masse dans la Russie. Immédiatement après la mort de Nicolas je commençai la publication d'une revue [russe] L'Etoile polaire, ce titre appartenait à un almanach publié avant 1825 — par le célèbre Ryleïeff et ses amis. Le succès était grand. Les premiers volumes...
    8. Frisant la question polonaise (К польскому вопросу)
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    Часть текста: de 1863—64 jusqu'à d'autres temps et d'autres circonstances. J'ai noté, pour moi seul, quelques souvenirs que je relisais comme une messe de morts. Harcelé par des ennemis, forcé de parler[86], je ne sortais jamais des généralités et d'une extrême réserve. C'est ce que je me propose de faire aussi maintenant, en soulevant un peu plus le linceul. Le silence, malheureusement, n'est pas toujours possible— il laisse se consolider, s'enraciner des représentations erronées. Il m'a été très difficile de prendre la parole; mais, comme cela arrive fréquemment, un rien qui déborde, une ironie mal placée, un mot mal pesé, nous font lever notre propre consigne, pour rappeler aux adversaires et aux loustics — qu'on n'est pas tout à fait mort pour se taire. Cette fois, la goutte qui a débordé — goutte martiale, pour-rais-je dire, car elle est tombée d'un général à un major — est la lettre de M. Mieroslawsky, publiée à Genève. On y trouve des passages dans ce genre: «Le Comité varsovi-en — Padlewsky, Giller, Milowicz — composé à Paris, partit en corps et en pompe, au mois de novembre 1862, offrir la direction suprême de l'insurrection polonaise à MM. Herzen, Ogareff et Bakounine, en acceptant, au nom de la Pologne, si mal démembrée Par le congrès de Vienne, le sous-démembrement qui lui...
    9. Prolegomena
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    Часть текста: a oubliés, et à suspendre la liberté que l'on n'a plus, pour veiller au «Salut de la civilisation» menacée et — refouler ces Attilas en herbe et ces Alaric futurs, au delà du Volga et de l'Oural. Le danger est si grand qu'on a hasardé de proposer à l'Autriche de donner la main qui lui reste — à la Prusse, qui a amputé l'autre... que l'on a conseillé à tous les Etats d'entrer dans une sainte ligue d'un despotisme militaire contre l'empire des tzars. On écrit des livres, des articles, des brochures en français, allemand, anglais; on prononce des discours, on fourbit les armes... et la seule chose que l'on omet, c'est Гétude sérieuse de la Russie. On se borne au zèle, à la ferveur, à l'élévation des sentiments. On croit que,si l'on plaint la Pologne — on connaît la Russie. Cet état de choses peut amener des conséquences graves, de grandes fautes, de grands malheurs, sans parler du malheur très réel — d'être dans une complète erreur. Il y a peu de spectacles plus tristes et plus navrants que celui d'une obstination senile, qui se détourne de la vérité — par une fatigue d'esprit, par une crainte de troubler un parti pris. Gœthe a remarqué que les vieux savants perdent avec les années l'instinct de la réalité, le talent...
    10. Lettres d’un Russe de l’Italie (Авторский перевод)
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    Часть текста: complètement déserte. …Il y a deux années et demie, j’avais entrevu Nice, je cherchais alors des hommes, les grands centres de mouvement, d’activité; beaucoup de choses étaient neuves pour moi, m’attiraient, me préoccupaient. Plein d’indignation, je pouvais encore me réconcilier. Plein de doutes, je trouvais encore des espérances au fond de mon cœur. Je me hâtai de quitter la petite ville ayant à peine jeté un coup d’œil distrait sur ses environs si pittoresques. Le bruit solennel del Risorgimento se répandait par toute la péninsule… Je ne pensai qu’à m’arracher au plus vite de Nice pour aller à Rome. C’était vers la fin de 1847… Maintenant je reviens à Nice, la tête baissée comme le pigeon voyageur de la fable, ne cherchant qu’un peu de repos. Maintenant je m’éloigne des grandes cités, je fuis leur activité incessante, qui ne produit rien de plus en Occident que le désœuvrement nonchalant en Orient. Après avoir cherché longtemps où m’abriter, j’ai choisi Nice, non seulement pour son air si doux, pour sa mer si bleue, mais aussi parce qu’elle n’a aucune signification politique, scientifique… ou autre. Je répugnais moins à aller à Nice que partout ailleurs. C’était comme un couvent tranquille dans lequel je pensais me retirer du monde – tant que nous serions inutiles l’un à l’autre. Il m’a beaucoup tourmenté, je ne m’en fâche pas,je sais que ce n’est pas sa faute… mais je n’ai ...