Поиск по творчеству и критике
Cлово "PLACE"
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Часть текста: »Confession": „Pas un mot, saint-père, tes paroles seront perdues. Je sais que la mort attend celui qui se lève le premier contre les oppresseurs du peuple, je connais mon sort et, saint-père, je le bénis avec joie..." — Ryléïeff, — lui dit Michel, — c'est une prédiction que tu nous fais, à nous et à toi le premier. — Penses-tu donc que j'aie pu douter un seul instant de ce qui m'attend? — répondit Ryléïeff. — Je suis convaincu que notre perte est imminente et qu'elle est nécessaire pour secouer de leur sommeil nos compatriotes endormis». Bestoujeff ajoute: «Chez lui ce n'était pas un élan généreux, ni l'entraînement d'un moment, c'étaient sa religion calme, sa conviction inébranlable». Il était présent lorsque Ryléïeff se sépara de sa mère, qui quittait Pétersbourg. L'idée de ne plus revoir son fils tourmentait la pauvre femme, elle ne pouvait se défaire du pressentiment qu'il allait à une perte sûre: «—Sois circonspect, mon ami, —lui disait-elle, — tu es si imprudent... Le gouvernement est soupçonneux, des espions sont partout aux aguets, et toi — tu as l'air de te complaire à les provoquer en attirant sur toi leur attention. — Vous avez tort, maman, — répondit Ryléïeff, — mon but est au-dessus des taquineries et des provocations à l'adresse de quelques misérables agents de la police. Je suis dissimulé, car j'ai besoin qu'on me laisse tranquille pour agir. Si je parle à cœur ouvert avec mes amis, c'est que notre cause est la même, et si je ne me...
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Часть текста: le gouvernement et la société. Le gouvernement, après l'émancipation des serfs, a eu peur de s'être trop avancé. Aux malentendus que les nouvelles ordonnances ont fait naître parmi les paysans, il répond par la mitraille; aux refus des étudiants d'obtempérer à de puériles exigences — par les casemates et l'exil: les condamnations pour délits politiques recommencent. Le 14 décembre 1861, le poète Mikhaïlov est condamné aux travaux forcés, pour avoir adressé à la jeunesse un appel qui n'a eu aucune suite. La société, ce qui est peut-être plus étonnant, commence aussi à murmurer. Elle semble fatiguée de la liberté, avant même de l'avoir obtenue. Elle en craint les excès, avant d'en avoir eu la jouissance. La première effervescence passée, tout tend au calme plat. Il ne fallait qu'un prétexte pour entrer en pleine réaction, La police le fournit. Pour sortir de l'impasse, elle frappe un grand coup, à l'antique et rejette sur les «rouges», les «socialistes» et la jeunesse en général, l'incendie d'un quartier de Saint-Pétersbourg qu'elle n'a pas su éteindre, et auquel peut-être ont aidé quelques voleurs de rue. Ceci se passait au mois de mai 1862. A cette accusation, comme si on l'eût attendue, s'élève dans les journaux une clameur contre les incendiaires. On demande des enquêtes et «des...
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Часть текста: ne sont nullement une histoire de la grande conspiration de 1825. Ce ne sont que des fragments, des traits isolés des esquisses, des pages détachées des mémoires et des notes écrites par J. Yakouchkine, Bestoujeff, les princes Troubetzkoï, Obolensky, etc. Nous n'avons fait qu'ajouter quelques détails et quelques généralités. Autant que possible, nous avons tâché de conserver les propres paroles de ces hommes héroïques, qui les écrivaient, d'une main enchaînée, au fond de la Sibérie orientale. C'est dans ce but que nous n'avons pas fondu en une monographie les divers mémoires; au contraire, nous leur avons conservé leur individualité, quoique cela nous entraînât parfois à des répétitions. Le chapitre présent est extrait de la première partie des mémoires de Jean Yakouchkine. Nous ne sommes jamais parvenus à avoir la seconde, qui nous a été positivement promise par nos amis, plus riches en amitié qu'en exactitude. Il y a d'étranges accapareurs, qui pensent naïvement que des mémoires pareils peuvent être une propriété privée. Non seulement des parents et des héritiers, mais des personnes qui ont obtenu, par un hasard heureux, une copie, la mettent sous clé, jouant ainsi le rôle peu généreux du caniche qui gardait avec une avarice jalouse le foin dont il ne se servait pas. I Les destinées de l'Empire russe s'accomplirent le jour de l'entrée triomphale d'Alexandre I er à Paris, escorté par une...
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Часть текста: me suis éloigné d'un monde incomplet, livré encore au sommeil de l'enfance et n'ayant pas conscience de lui-même. Vous vous sentiez à l'étroit au milieu de ces murs noirâtres, crevassés par le temps et menaçant ruine de toutes parts; j'étouffais, de mon côté, dans cette atmosphère chaude et humide, au milieu de cette vapeur calcaire d'un édifice inachevé: on ne saurait vivre dans un hôpital ni dans une crèche. Partis de deux extrêmes opposés, nous nous rencontrons au même point. Etrangers dans notre patrie, nous avons trouvé un terraia commun sur une terre étrangère. Ma tâche, il faut l'avouer, a été moins pénible que la vôtre. A moi, fils d'un autre monde, il m'a été facile de m'affranchir d'un passé que je ne connaissais que par ouï-dire et dont je n'avais aucune expérience personnelle. La position des Russes, à cet égard, est très remarquable. Nous sommes moralement plus libres que les Européens, et ce n'est pas seulement parce que nous sommes affranchis des grandes épreuves à travers lesquelles se développe l'Occident, mais aussi parce que nous n'avons point de passé qui nous maîtrise. Notre histoire est pauvre, et la première condition de notre vie nouvelle a été de la renier entièrement. Il ne nous est resté de notre passé que la vie nationale, le caractère national, la cristallisation de l'Etat: tout le reste est élément de l'avenir. Le mot de Goethe sur l'Amérique s'applique fort bien à la Russie: «Dans ton existence pleine ...
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Часть текста: dans l'Etoile Polaire, etc., etc. Le mouvement politique non officiel et gouvernemental, ne date réellement, en Russie, que du règne d'Alexandre I er , et principalement de 1812. Les dernières années du règne de Catherine II, l'atmosphère de Saint-Pétersbourg était lourde et suffocante; c'était une atmosphère senile, invalide, dans laquelle on sentait partout la vieille femme dépravée, naguère encyclopédiste, maintenant terrifiée devant la Révolution française, et trahissant toutes ses convictions, comme elle trahissait tous ses amants. Autour du trône silence complet, oriental, çà et là il y avait des loges maçonniques, des martinistes; elle commençait déjà à les poursuivre. Çà et là quelques boutades libérales, même un livre entier, le célèbre Voyage de Pétersbourg à Moscou, par Radichtcheff, qu' prêchait l'émancipation des paysans etl'horreur de l'absolutisme. Elle exila l'auteur en Sibérie. C'est tout; pas d'ensemble, pas de suite, de concentration de forces, d'organisation. La grande folie de Paul I er était la haine de la révolution et la crainte que ses principes ne pénétrassent dans son empire. L'intelligence s'arrêta durant son règne, la pensée était paralysée. Le complot tramé contre lui et sa mort ne prouvent pas ]e contraire. Ce complot n'avait aucune signification sérieuse ou générale. C'était une affaire...
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Часть текста: vers la fin du XVIIe siècle, il parut sur le trône des tzars un révolutionnaire audacieux doué d'un génie vaste et d'une volonté inflexible. Pierre Ier ne fut ni un tzar oriental ni un dynaste, ce fut un despote, à l'instar du Comité de Salut public, despote en son propre nom et au nom d'une grande idée, qui lui assurait une supériorité incontestable sur tout ce qui l'entourait. Il s'arracha au mystère dont s'entourait la personne du tzar, et jeta avec dégoût loin de lui la défroque byzantine dont se paraient ses prédécesseurs. Pierre Ier ne pouvait se contenter du triste rôle d'un Dalaï-Lama chrétien, orné d'étoffes dorées et de pierres précieuses, qu'on montrait de loin au peuple, lorsqu'il se transportait avec gravité de son palais à la cathédrale de l'Assomption, et de la cathédrale de l'Assomption à son palais. Pierre Ier paraît devant son peuple en simple mortel. On le voit, ouvrier infatigable, depuis le matin jusqu'à la nuit, en simple redingote militaire, donner des ordres et enseigner la manière dont il faut les exécuter; il est maréchal ferrant et menuisier, ingénieur, architecte et pilote. On le voit partout sans suite, tout au plus avec un aide-de-camp, dominant la foule par sa taille. Pierre le Grand, comme nous l'avons dit, fut le premier individu émancipé en Russie, et, par cela même, révolutionnaire couronné. Il soupçonnait ne pas être le...
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Часть текста: d’un rhéteur de Byzance ou d’un préfet bonapartiste. C’est pour nous rendre au désir du Comité International, qui s’est si fraternellement rappelé de nos martyrs à l’anniversaire du 26 décembre, que nous avons écrit cet opuscule, résumé serré des principaux faits relatés dans notre ouvrage. I La mission historique de la dictature impériale qui, pendant longtemps, absorba toute l’activité nationale de la Russie, toutes les libertés et franchises, tous les pouvoirs, même ceux de l’église et de la civilisation, approche de sa fin. L’impérialisme, tel qu’il a été organisé par la main vigoureuse de Pierre I et développé par Catherine II, a fait son temps. Sa clôture a été solennelle. — Ce fut lorsque Alexandre I entra à Paris, suivi de ses alliés couronnês (les mêmes qui se pressaient dans l’antichambre de Bonaparte à Dresde) et qu’il disposa de la couronne de France en faveur des Bourbons, tandis que ses amis disposaient en sa faveur de la couronne de Pologne. Le rêve de Pierre I, l’idée fixe de Catherine II étaient accomplis. Qu’avait voulu en effet Pierre I? — un moule, une forme vaste pour un Etat fort et agressif. Il avait voulu avoir à la fois une main dans les affaires de l’Occident et une main dans les affaires de l’Orient. Cette création fondée sur un despotisme révolutionnaire qui niait la tradition et conservait le pouvoir — avait pourtant réussi. Il ne lui manquait qu’une grande épreuve; elle vint en 1812. L’empire allait-il s’écrouler, s’affaisser avec les murs du Kremlin? — Il résista, et deux...
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Часть текста: et demie, j’avais entrevu Nice, je cherchais alors des hommes, les grands centres de mouvement, d’activité; beaucoup de choses étaient neuves pour moi, m’attiraient, me préoccupaient. Plein d’indignation, je pouvais encore me réconcilier. Plein de doutes, je trouvais encore des espérances au fond de mon cœur. Je me hâtai de quitter la petite ville ayant à peine jeté un coup d’œil distrait sur ses environs si pittoresques. Le bruit solennel del Risorgimento se répandait par toute la péninsule… Je ne pensai qu’à m’arracher au plus vite de Nice pour aller à Rome. C’était vers la fin de 1847… Maintenant je reviens à Nice, la tête baissée comme le pigeon voyageur de la fable, ne cherchant qu’un peu de repos. Maintenant je m’éloigne des grandes cités, je fuis leur activité incessante, qui ne produit rien de plus en Occident que le désœuvrement nonchalant en Orient. Après avoir cherché longtemps où m’abriter, j’ai choisi Nice, non seulement pour son air si doux, pour sa mer si bleue, mais aussi parce qu’elle n’a aucune signification politique, scientifique… ou autre. Je répugnais moins à aller à Nice que partout ailleurs. C’était...
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Часть текста: comme l'acheminement vers un avenir inconnu, qui commence à poindre. La véritable histoire russe ne date que de 1812 – antérieurement il n'y avait que l'introduction. Les forces essentielles du peuple russe n'ont jamais été effectivement absorbées par son développement, comme l'ont été celles des peuples germano-romains. Au IXe siècle, ce pays se présente comme un Etat organisé d'une toute autre manière que les Etats d'Occident. Le gros de la population appartenait à une race homogène, disséminée sur un territoire très vaste et très peu habité. La distinction qu'on trouve partout ailleurs entre la race conquérante et les races conquises ne s'y rencontrait point. Les peuplades faibles et infortunées des Finnois, clairsemées et comme perdues parmi les Slaves, végétaient hors de tout mouvement, dans une soumission passive, ou dans une sauvage indépendance; elles étaient de nulle importance pour l'histoire russe. Les Normands (Varègues), qui dotèrent la Russie de la race princière qui y régna, sans interruption, jusqu'à la fin du XVIe siècle, étaient plus organisateurs que conquérants. Appelés par les Novgorodiens, ils s'emparèrent du pouvoir et retendirent bientôt jusqu'à Kiev [3] . Les princes varègues et leurs compagnons perdirent à la fin De cuelques générations le caractère de leur nationalité, et se confondirent avec les Slaves, après avoir imprimé toutefois une impulsion...
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Часть текста: второе Письмо второе Вы помните, в какое положение Гизо поставил Францию к концу 1847 года. Все влияние на Европу было утрачено из-за мелких династических интересов; все симпатии народа были пожертвованы для того, чтоб простили испанские браки. Франция не могла держаться даже на той высоте, на которой была за десять лет, она делалась второстепенным государством. Правительства перестали ее бояться, народы начинали ненавидеть. Узкая, эгоистическая и буржуазная политика, ставившая мир выше всего и невозможную теорию de la nonintervention – ключом свода, не мешала Гизо запятнать Францию явным вмешательством в дела Португалии и тайным – в дела Швейцарии. В обоих случаях Франция играла ту самую роль, которую Реставрация – столько проклинаемая – принимала на себя в 1822 относительно Испании, – роль военной экзекуции, полицейского усмирения. Португалия была задавлена из учтивости к королеве Виктории Пальмерстоном и из учтивости Пальмерстону – Францией. – Оксенбейн отвечал дерзкой нотой на вмешательство французского посланника и велел выставить на площади в Люцерне – пушки французской артиллерии, потихоньку присланные Зондербунду. – Для довершения благородной политики недоставало одного – союза с...