Поиск по творчеству и критике
Cлово "SCIENCE"
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Часть текста: de ce que nous avons dit et répété depuis au moins vingt ans. Quelle est donc la raison de notre apparition? L'étonnante persistance de ne voir dans la Russie que son côté négatif et d'envelopper dans les mêmes injures et anatlièmes progrès et réaction, avenir et présent, détritus et germes. Seuls publicistes russes en Occident, nous ne voulons pas prendre sur nous la responsabilité du silence. Le spectre russe, exploité après 1848 par Donoso Cortès en laveur du catholicisme, apparaît avec une nouvelle vigueur dans le camp opposé. On est prêt à voiler encore une fois les «droits de l'homme», que l'on a oubliés, et à suspendre la liberté que l'on n'a plus, pour veiller au «Salut de la civilisation» menacée et — refouler ces Attilas en herbe et ces Alaric futurs, au delà du Volga et de l'Oural. Le danger est si grand qu'on a hasardé de proposer à l'Autriche de donner la main qui lui reste — à la Prusse, qui a amputé l'autre... que l'on a conseillé à tous les Etats d'entrer dans une sainte ligue d'un despotisme militaire contre l'empire des tzars. On écrit des livres, des articles, des brochures en français, allemand, anglais; on prononce des discours, on fourbit les armes... et la seule chose que l'on omet, c'est Гétude sérieuse de la Russie. On se borne au zèle, à la ferveur,...
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Часть текста: et l'exil: les condamnations pour délits politiques recommencent. Le 14 décembre 1861, le poète Mikhaïlov est condamné aux travaux forcés, pour avoir adressé à la jeunesse un appel qui n'a eu aucune suite. La société, ce qui est peut-être plus étonnant, commence aussi à murmurer. Elle semble fatiguée de la liberté, avant même de l'avoir obtenue. Elle en craint les excès, avant d'en avoir eu la jouissance. La première effervescence passée, tout tend au calme plat. Il ne fallait qu'un prétexte pour entrer en pleine réaction, La police le fournit. Pour sortir de l'impasse, elle frappe un grand coup, à l'antique et rejette sur les «rouges», les «socialistes» et la jeunesse en général, l'incendie d'un quartier de Saint-Pétersbourg qu'elle n'a pas su éteindre, et auquel peut-être ont aidé quelques voleurs de rue. Ceci se passait au mois de mai 1862. A cette accusation, comme si on l'eût attendue, s'élève dans les journaux une clameur contre les incendiaires. On demande des enquêtes et «des punitions extraordinaires». On accuse des jeunes gens qui avaient répandu une espèce de manifeste révolutionnaire. «La Gazette de Moscou» tâche d'établir la complicité de la «Jeune Russie» avec les incendiaires et de faire peser sur celle-là la...
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Часть текста: Le temps de la réaction contre la réforme de Pierre Ier était venu,non seulement pour le gouvernement, qui reculait devant son propre principe-et reniait la civilisation occidentale, au nom de laquelle Pierre Ier avait foulé aux pieds la nationalité, mais encore pour les hommes que le gouvernement avait détachés du peuple, sous prétexte de civilisation, et qu'il commença à pendre lorsqu'ils furent civilisés. Le retour aux idées nationales conduisait naturellement à une question dont le simple énoncé contenait déjà la réaction contre la période de Pétersbourg. Ne faut-il pas ohercher une issue à la déplorable situation dans laquelle nous nous voyons, en nous rapprochant du peuple que nous méprisons sans le connaître? Ne fallait-il pas revenir à un ordre de choses plus conforme au caractère slave et quitter la voie de la civilisation exotique et forcée? Question grave et d'un intérêt actuel. Mais à peine fut-elle posée, qu'il se trouva un groupe d'hommes, qui, donnant de suite une solution positive, formèrent un système exclusif dont ils firent, non seulement une doctrine, mais une religion. La logique de la réaction est rapide comme celle des révolutions. La plus grande erreur des Slavophiles fut d'avoir vu une réponse dans la question même, et d'avoir confondu la possibilité avec la réalité. Ils pressentaient qu'ils étaient sur le chemin qui mène à de grandes vérités et qui doit changer...
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Часть текста: но протоптанному родными ногами, - по нем ты мог дойти бы, например, до того, до чего дошел один из величайших деятелей в России - доктор Пирогов, который как попечитель в Одессе, потом в Киеве приносит огромную пользу, что не мешает ему быть первым оператором в России. Но для этого надо упорно хотеть. У тебя идеал быть профессором в Швейцарии - я не порицаю этого, но думаю, что ты неэкономно бросаешь возможности, которые другие не имеют. Будь профессором, но для этого развей в себе научные понимания; куча сведений ничего не сделает, а пуще всего будь, пожалуй, и не профессор, будь просто человеком, но человеком развитым [1, т. 27, кн. 1, c. 13-14]. Но произошло то, чего так не хотел Александр Иванович Герцен (1812-1870), - его сын стал профессором в Швейцарии, вел жизнь респектабельного буржуа и не вернулся в Россию. Герцен-младший (1839-1906), для которого важнее всего были хорошие условия для работы - оборудованные лаборатории, библиотеки, научное сообщество - "голосовал ногами", предпочтя европейские университеты российским 1 . Возможно, он также опасался, что общественная деятельность, которую от него ожидали в России, помешала бы занятиям наукой. На родине о нем знали только коллеги-физиологи, и после смерти краткий некролог выражал сожаление о том, что Герцен-младший не пошел по стопам отца, а ограничился научной карьерой вдали от России 2 . Отец, напротив, занял прочное место в российском пантеоне, в особенности после того, как В. И. Ленин в статье "Памяти Герцена" (1912) канонизировал его как продолжателя дела декабристов и первого профессионального революционера. Разным был их образ жизни: Герцен-старший постоянно менял адреса, а жизнь сына была по-семейному стабильной. Разными были страна и даже язык: после университета сын уехал в Италию, а отец не говорил свободно по-итальянски. Итак, классическая проблема блудного сына? В...
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Часть текста: et articles sur Ryléieff, Bestoujeff, N. Mouravioff, l'Empereur Alexandre 1er et V. Karazine, insérés dans l'Etoile Polaire, etc., etc. Le mouvement politique non officiel et gouvernemental, ne date réellement, en Russie, que du règne d'Alexandre I er , et principalement de 1812. Les dernières années du règne de Catherine II, l'atmosphère de Saint-Pétersbourg était lourde et suffocante; c'était une atmosphère senile, invalide, dans laquelle on sentait partout la vieille femme dépravée, naguère encyclopédiste, maintenant terrifiée devant la Révolution française, et trahissant toutes ses convictions, comme elle trahissait tous ses amants. Autour du trône silence complet, oriental, çà et là il y avait des loges maçonniques, des martinistes; elle commençait déjà à les poursuivre. Çà et là quelques boutades libérales, même un livre entier, le célèbre Voyage de Pétersbourg à Moscou, par Radichtcheff, qu' prêchait l'émancipation des paysans etl'horreur de l'absolutisme....
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Часть текста: mouvement radical et réaliste, en Russie, qui l’ont mis en avant. Le mot est resté. Ne cherchez donc pas une définition du nihilisme dans l’étymologie. La destruction, prê-chée par nos réalistes, tend par toutes ses aspirations à l’affirmation. Vous n’exigerez pas de moi, j’en suis sûr, la répétition de ce que nous avons toujours entendu par le nihilisme en Russie. Cela serait de votre part un cruel aveu — de n’avoir pas lu une Gizaine de nos articles, dans lesquels nous avons tâché d’élucider la question. Quant au terme d'homme nouveau — il ne vous froisse que parce que vous me prêtez une manière d’entendre ce mot, qui n’est pas exactement la mienne. L’idée ne m’est jamais venue d’appliquer la division des quadrumanes (simiae antiquae continentis, simiae novae continentis) à nos contemporains. Il ne s’agit pas de géographie, mais de l’indépendance complète de la tradition chr é tienne, monarchique, id é aliste, juridique, é conomique du vieux monde, il s’agit de l’Etat, «sans Dieu ni Eglise», comme vous le désirez. J’ai employé le terme d ’homme nouveau, comme équivalent au nouvel Adam des chrétiens. Avais-je le droit de l’employer en parlant de vous et de Bakounine? Voyons les faits. Au Congrès de Berne, tout allait doucement dans les ornières prévues, qui permettaient d’éviter les écueils et en même temps de soulager le cœur, en exprimant de nobles sympathies...
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Часть текста: une, tressée par vos mains. Vous avez aussi exprimé le désir d'avoir son portrait; avec le temps je parviendrai peut-être à faire venir celui qui a été fait en Allemagne en 1843 et que j'ai vu en Russie. Il est assez ressemblant. En attendant, pour vous donner une idée des traits de Bakounine, je vous recommande les vieux portraits de Spinoza, qu'on trouve dans quelques éditions allemandes de ses écrits; il y a beaucoup de ressemblance entre ces deux têtes. Michel Bakounine est maintenant âgé de 37 à 38 ans. Il est né d'une vieille famille aristocratique et dans une position également éloignée d'une grande richesse et d'une indigence gênante. C'est le milieu dans lequel il y a le plus de lumière et de mouvement en Russie. Pour vous donner, Monsieur, une idée de ce qui s'agite et fermente au fond de ces familles» si tranquilles à la surface, il me suffira d'énumérer le sort des oncles de Bakounine, des Mouravioff, auxquels il ressemblait beaucoup par sa haute taille un peu voûtée, par ses yeux bleu-clair, par son front large et carré, et même par sa bouche assez grande. Une seule génération de la famille des Mouravioff donna trois individus magnifiques à l'insurrection du 14 décembre (deux étaient parmi les membres les plus influents; l'un fut pendu par Nicolas, l'autre périt en Sibérie), un bourreau aux Polonais, un procureur général au Saint-Synode et, enfin, une épouse à l'un des ministres de S. M. On peut se figurer l'harmonie et l'unité qui régnent dans des familles composées d'éléments aussi hétérogènes. Michel Mouravioff, le gouverneur militaire de Vilna, aimait à répéter: «Je...
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Часть текста: qu'en Piémont et en Suisse. Presque toute l'édition a été saisie à Marseille par la douane, qui a oublié de la renvoyer, sans égard aux réclamations. Les temps ont changé; pourtant, nous pensons que cette lettre ne sera pas dénuée d'intérêt pour le public. Le célèbre historien a publié sur cette lettre, dans l'Avènement, un article plein de sentiments de bienveillance et de sentiments d'amitié personnelle pour l'auteur [55] . Monsieur, Vous êtes trop haut placé dans l'estime générale, vos paroles sont accueillies par la démocratie européenne avec trop de confiance que votre noble plume vous a si justement conquise, pour qu'il me soit permis, dans une cause qui touche a mes convictions les plus profondes, de laisser sans réponse la caractéristique du peuple russe que vous faites dans votre beau travail sur Kosciusko [56] . Cette réponse est d'autant plus indispensable, qu'il est temps de faire voir à l'Europe qu'en parlant actuellement de la Russie, ce n'est plus d'un absent, d'un...
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Часть текста: que toute l'époque écoulée depuis Pierre Ier. Deux courants en sens inverse, l'un à la surlace, l'autre à une profondeur où on le distingue à peine, embrouillent l'observation. A l'apparence, la Russie restait immobile, elle paraissait même reculer; mais, au fond, tout prenait une face nouvelle, les questions devenaient plus compliquées, les solutions moins simples. A la surface de la Russie officielle, «de l'empire des façades», on ne voyait que des pertes, une réaction féroce, des persécutions inhumaines, un redoublement de despotisme. On voyait Nicolas entouré de médiocrités, de soldats de parades, d'Allemands de la Baltique et de conservateurs sauvages, lui-même méfiant, froid, obstiné, sans pitié, sans hauteur d'âme, médiocre comme son entourage. Immédiatement au-dessous de lui se rangeait la haute société qui, au premier coup de tonnerre qui éclata sur sa tête après le 14 décembre, avait perdu les notions à peine acquises d'honneur et de dignité. L'aristocratie russe ne se releva plus sous le règne de Nicolas, sa fleuraison était...
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Часть текста: Bedlam: «Tout le monde me prend pour un fou, – disait-il, – moi j’ai la même opinion de tout le monde; malheureusement la majorité n’est pas de mon côté». Cela explique très bien le titre d’Owen et jette une grande lumière sur la question. Nous sommes convaincus que la portée de cette comparaison a échappé au sévère biographe. Il a voulu seulement insinuer qu’Owen était fou – et nous ne voulons pas le contredire, – mais cela n’est pas une raison pour penser que tout le monde ne l’est pas. Si Owen était fou – ce n’est nullement parce que le monde le pensait tel, et que lui-même le pensait de tout le monde. Mais bien parce qu’Owen – connaissant qu’il demeurait dans une maison des aliénés – parlait soixante ans de suite aux malades – comme s’ils étaient parfaitement sains. Le nombre des malades n’y fait absolument rien. La raison a sa justification, son criterium ailleurs – elle ne se soumet jamais à la majorité des voix. Si toute l’Angleterre, par ex., se prenait de croire que les «mediums» évoquent les esprits des défunts – et Faraday lui seul le nierait – la vérité et la raison seraient de son côté et non du côté de toute la population de l’Angleterre. Et cela n’est pas tout...