Поиск по творчеству и критике
Cлово "SENTIMENT"
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Часть текста: Александр I и В. Каразин» MEMOIRES DES DECEMBRISTES: Mémoires de J. Yakouchkine, du prince S. Troubetzkoï, Londres, 1862, Imprimerie russe. —Mémoires et articles sur Ryléieff, Bestoujeff, N. Mouravioff, l'Empereur Alexandre 1er et V. Karazine, insérés dans l'Etoile Polaire, etc., etc. Le mouvement politique non officiel et gouvernemental, ne date réellement, en Russie, que du règne d'Alexandre I er , et principalement de 1812. Les dernières années du règne de Catherine II, l'atmosphère de Saint-Pétersbourg était lourde et suffocante; c'était une atmosphère senile, invalide, dans laquelle on sentait partout la vieille femme dépravée, naguère encyclopédiste, maintenant terrifiée devant la Révolution française, et trahissant toutes ses convictions, comme elle trahissait tous ses amants. Autour du trône silence complet, oriental, çà et là il y avait des loges maçonniques, des martinistes; elle commençait déjà à les poursuivre. Çà et là quelques boutades libérales, même un livre entier, le célèbre Voyage de Pétersbourg à Moscou, par Radichtcheff, qu' prêchait l'émancipation des paysans etl'horreur de l'absolutisme. Elle exila l'auteur en...
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Часть текста: temps ont changé; pourtant, nous pensons que cette lettre ne sera pas dénuée d'intérêt pour le public. Le célèbre historien a publié sur cette lettre, dans l'Avènement, un article plein de sentiments de bienveillance et de sentiments d'amitié personnelle pour l'auteur [55] . Monsieur, Vous êtes trop haut placé dans l'estime générale, vos paroles sont accueillies par la démocratie européenne avec trop de confiance que votre noble plume vous a si justement conquise, pour qu'il me soit permis, dans une cause qui touche a mes convictions les plus profondes, de laisser sans réponse la caractéristique du peuple russe que vous faites dans votre beau travail sur Kosciusko [56] . Cette réponse est d'autant plus indispensable, qu'il est temps de faire voir à l'Europe qu'en parlant actuellement de la Russie, ce n'est plus d'un absent, d'un éloigné, d'un muet que l'on parle. Nous sommes présents, nous qui avons quitté la Russie avec le seul but de faire retentir en Europe le libre verbe russe. La parole devient pour nous un devoir, quand un homme, appuyé sur une grande et légitime autorité, vient de nous dire que: «il affirme, qu'il jure, qu'il prouvera que la Russie n'existe pas, que les Russes ne sont pas des hommes, qu'il leur manque le sens moral». Voulez-vous parler de la Russie officielle, de l'empire des façades, du gouvernement byzantino-allemand? D'accord, nous acquiesçons d'avance à tout ce que vous nous direz; la défense ne nous incombe nullement; le gouvernement russe a assez d'agents littéraires dans la presse parisienne pour que les...
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Часть текста: de nouvelles instances et pour tout arranger, j'ai promis de donner cette automne, dans quelques feuilletons du Kolokol, des fragments du IV e volume, dont la traduction a été faite par mon fils et revue par moi. Ces fragments n'ont d'autre droit d'hospitalité dans le journal que celui que leur donne le désir de mes amis. Pourtant quelques scènes des temps orageux (1848–1852) du monde européen, décrites par un Russe, et quelques profils de réfugiés «peints par eux-mêmes et dessinés par un autre», – peuvent avoir un intérêt sui generis pour les lecteurs qui ne connaissent pas la langue russe. 21 août 1868. Hcâteau de Prangins, près Nyon. ПЕРЕВОД Лет десять тому назад г. Делаво опубликовал очень хороший перевод с русского первых томов моего «Былое и думы», не тем заглавием, которое было дано автором, – «Русский мир и революция». Это сочинение, теперь уже полностью распроданное, имело некоторый успех. Друзья, которых и уважаю и ко вкусу которых питаю большое доверие, неоднократно высказывали мне желание видеть перевод следующих томов. Мне хотелось издать все сочинение целиком… Под рукой у меня не было переводчика, а время шло… Вследствие новых настойчивых просьб и чтобы все привести в порядок, я обещал опубликовать нынешней осенью в нескольких фельетонах «Kolokol» отрывки из IV тома , перевод которых был выполнен моим сыном и просмотрен мною самим. Эти отрывки имеют право на гостеприимство в нашей газете только вследствие желания моих друзей. Однако некоторые сценки из бурных времен (1848–1852) европейского мира, описанные русским, и несколько профилей изгнанников, «изображенных ими самими и...
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Часть текста: un désespoir complet s’empare de moi, je me sens déchu, avili... Votre lettre m’a trouvé dans un de ces moments, elle m’a remis, — grâce vous en soit rendue! Oui, j’accepte la solidarité fraternelle, j’accepte votre main — non pour combattre pour moi, mais pour me soutenir dans une lutte difficile à terminer comme je le désire. Pourtant avant de vous engager plus loin dans cette affaire triste, noire, il vous faut connaître les faits. Je veux vous les raconter; cela me coûte beaucoup, mais il le faut. Après le récit, je vous dirai: «Jugez et agissez maintenant d’après votre cœur». Vous m’avez rappelé dans votre lettre une conversation que nous avons eue, en nous promenant une nuit près de la Madeleine. Oh, que je vous remercie de vous en être rappelé. Cette conversation non seulement abrège ma tâche pénible, mais elle me sert de preuve, de base, de document — au moins par rapport à vous. Oui, j’ai ouvert alors mon âme, je vous ai dévoilé mon cœur. Cela m’arrive rarement, je ne parle jamais de mes sentiments, il y a je ne sais quelle pudeur qui...
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Часть текста: Mais, cher ami, vous avez tout oublié à l'exception de ma personne. A quoi pensez-vous donc? Je ne connais ni les russes contemporains, ni Paris rebâti. Je n'ai que des souvenirs, des fleurs fanées, des cartons à demi effacés, à demi dénués d'intérêt. Savez-vous qu'il y a bien vingl ans que moi, pieux pèlerin du Nord, j'entrai, pour la première fois à Paris, et qu'il y a déjà (quinze ans que son climat m'est devenu malsain. Oui, c'était au mois de mars 1847[99], j'ouvris une vieille et lourde croisée de l'hôtel du Rhin et je tressaillis: l'homme sombre en bronze, les bras croisés, Je chapeau enfoncé[100] était devant moi sur une colonne. Or, c'est vrai, c'est une réalité — je suis à Paris — à Paris! et tout le saug me montait à la fête! Un sentiment existe pourtant, que les aborigènes de Paris ne connaissent ...
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Часть текста: повествую свою жизнь, как эпическую поэму: начал in medias res [218] и потом возвратился к детству. Это эпическое кокетство – совершенная случайность, и если кто-нибудь виноват в нем, то совсем не я, а скорее мои рецензенты и в том числе сам критик «Прессы». Если б они отрывки из моих «Записок» приняли строже, холоднее и, что еще хуже, – пропустили бы их без всякого внимания, я долго не решился бы печатать еще и долго обдумывал бы, в каком порядке печатать. Прием, сделанный им, увлек меня, и мне стало труднее не печатать, нежели печатать. Я знаю, что большая часть успеха их принадлежит не мне, а предмету. Западные люди были рады еще раз заглянуть за кулисы русской жизни. Но, может, в сочувствии к моему рассказу доля принадлежит простой правде его. Эта награда была бы мне очень дорога, ее только я и желал. Часть, печатаемая теперь, интимнее прежних; именно потому она имеет меньше интереса, меньше фактов; но мне было гораздо труднее ее писать… К ней я приступил с особенным страхом былого и печатаю ее с внутренним трепетом, не давая себе отчета зачем… …Может быть, кому-нибудь из тех, которым была занимательна внешняя сторона моей жизни, будет занимательна и внутренняя. Ведь мы уже теперь старые знакомые… И-р. Лондон, 21 ноября 1856. <Авторский перевод из XXIV главы> Une fois, par une longue soirée d’hiver, vers la fin de 1838, nous étions assis seuls comme toujours. Nous lisions et nous ne lisions pas. Nous parlions et nous nous taisions – et en nous taisant nous continuions à nous parler. Il gelait fortement dehors, et même il ne faisait pas chaud dans la chambre. N… ne se sentait pas bien, elle était couchée sur un sofa, couverte de sa mantille; j’étais assis à côté, par terre. La lecture n’allait pas. N… était distraite et pensait à autre...
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Часть текста: y a deux ans de cela, je lisais en votre présence à Veytaux chez notre vénérable ami J. Michelet, un petit article que je venais de traduire du Kolokol. Vous deux vous m’avez donné le conseil de l’envoyer à une feuille de Paris. Le vent n’était pas favorable — le journal s’est abstenu de l’admettre. Depuis, je n’ai plus pensé à l’article, et j’étais tout étonné en voyant dans une lettre (qui m’est bien chère) et que vous m’avez adressée au commencement de cette année — pour me dire votre regret sur la suspension du Kolokol — une nouvelle mention du petit article[44] . Vous exprimiez le désir d’en avoir la traduction, je ne l’avais pas. Un de ces derniers jours, à Genève, vous me la demandiez encore une fois. Je commençais involontairement à croire que mon article n’était pas sans mérite, et je me suis mis à le retraduire. C’était une exhumation. Deux ans pour un article circonstance, c’est une éternité. Malheureusement ce cri d’indignation n’est pas un anachronisme. Les deux années qui se sont écoulées depuis les sifflets de l’Opéra n’ont pas émoussé les sentiments durs et altiers de l’égoïsme national, n’ont pas amené la paix et la douceur dans l’âme du vainqueur. Aussi l’alliance slave ne marche pas. То s’est borné aux mannequins en papier mâché de l’exposition ethnographique et aux dîners succulents...
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Часть текста: présent. C’était un orage qui passa par ma poitrine — une crise, mais nous pouvons à présent, après nous avoir heurtés, commencer une seconde existence, qui, peut-être, sera basée sur une sympathie encore plus large. N’avez-vous donc jamais remarqué que chaque fois lorsque nous passâmes des soirées entières avec vous en parlant de la politique, jusqu’aux calembours — nous étions tellement d’accord, même en disputant — que chacun dévelop la pensée de l’autre? Et tout le contraire, lorsque les questions devenaient psychologiques, individuelles, ici nous nous heurtions toujours, — chez moi un réalisme serein, un humanisme sympathique l’emportait toujours, — chez vous non. Cela serait. encore une différence individuelle, mais je voyais là-dessous un élément de sûreté égoïstique — qui me faisait monter le sang à la tête. Peut-être j’exagérais quelquefois — mais j’en souffrais d'autant plus — que j’avais déjà rencontré le même élément (sous une forme moins anguleuse et peut-être moins irritante, — mais plus implacable) — dans Natalie. De vous trios — ne m’en voulez point — с’est le seul Ogareff qui ne m’а jamais froissé. Lorsque j’ai vu que cet élément prenait le dernier temps chez vous de plus en plus racine, lorsque j’ai vu que N commençait à partager même la théorie — atroce (passez-moi le mot), sophistique en faveur de sa propre personne, je...
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Часть текста: une fois les «droits de l'homme», que l'on a oubliés, et à suspendre la liberté que l'on n'a plus, pour veiller au «Salut de la civilisation» menacée et — refouler ces Attilas en herbe et ces Alaric futurs, au delà du Volga et de l'Oural. Le danger est si grand qu'on a hasardé de proposer à l'Autriche de donner la main qui lui reste — à la Prusse, qui a amputé l'autre... que l'on a conseillé à tous les Etats d'entrer dans une sainte ligue d'un despotisme militaire contre l'empire des tzars. On écrit des livres, des articles, des brochures en français, allemand, anglais; on prononce des discours, on fourbit les armes... et la seule chose que l'on omet, c'est Гétude sérieuse de la Russie. On se borne au zèle, à la ferveur, à l'élévation des sentiments. On croit que,si l'on plaint la Pologne — on connaît la Russie. Cet état de choses peut amener des conséquences graves, de grandes fautes, de grands malheurs, sans parler du malheur très réel — d'être dans une complète erreur. Il y a peu de spectacles...
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Часть текста: le propos suivant tenu par un malade enfermé à Bedlam: «Tout le monde me prend pour un fou, – disait-il, – moi j’ai la même opinion de tout le monde; malheureusement la majorité n’est pas de mon côté». Cela explique très bien le titre d’Owen et jette une grande lumière sur la question. Nous sommes convaincus que la portée de cette comparaison a échappé au sévère biographe. Il a voulu seulement insinuer qu’Owen était fou – et nous ne voulons pas le contredire, – mais cela n’est pas une raison pour penser que tout le monde ne l’est pas. Si Owen était fou – ce n’est nullement parce que le monde le pensait tel, et que lui-même le pensait de tout le monde. Mais bien parce qu’Owen – connaissant qu’il demeurait dans une maison des aliénés – parlait soixante ans de suite aux malades – comme s’ils étaient parfaitement sains. Le nombre des malades n’y fait absolument...