Поиск по творчеству и критике
Cлово "LUI"
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Часть текста: er et V. N. Karazine ETUDES HISTORIQUES SURJLES HEROS DE 1825 ET LEURS PREDECESSEURS D'APRES LEURS MEMOIRES ЗАПИСКИ ДЕКАБРИСТОВ: И. Якушкина, князя Трубецкого, Лондон, 1862, Вольная русская типография. — Статьи «Полярной звезды»: о Рылееве, Бестужеве, Н. Муравьеве, «Император Александр I и В. Каразин» MEMOIRES DES DECEMBRISTES: Mémoires de J. Yakouchkine, du prince S. Troubetzkoï, Londres, 1862, Imprimerie russe. —Mémoires et articles sur Ryléieff, Bestoujeff, N. Mouravioff, l'Empereur Alexandre 1er et V. Karazine, insérés dans l'Etoile Polaire, etc., etc. Le mouvement politique non officiel et gouvernemental, ne date réellement, en Russie, que du règne d'Alexandre I er , et principalement de 1812. Les dernières années du règne de Catherine II, l'atmosphère de Saint-Pétersbourg était lourde et suffocante; c'était une atmosphère senile, invalide, dans laquelle on sentait partout la vieille femme dépravée, naguère encyclopédiste, maintenant terrifiée devant la Révolution française, et trahissant toutes ses convictions, comme elle trahissait tous ses amants. Autour du trône silence complet, oriental, çà et là il y avait des loges maçonniques, des martinistes; elle commençait déjà à les poursuivre. Çà et là quelques boutades libérales, même un livre...
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Часть текста: par la mitraille; aux refus des étudiants d'obtempérer à de puériles exigences — par les casemates et l'exil: les condamnations pour délits politiques recommencent. Le 14 décembre 1861, le poète Mikhaïlov est condamné aux travaux forcés, pour avoir adressé à la jeunesse un appel qui n'a eu aucune suite. La société, ce qui est peut-être plus étonnant, commence aussi à murmurer. Elle semble fatiguée de la liberté, avant même de l'avoir obtenue. Elle en craint les excès, avant d'en avoir eu la jouissance. La première effervescence passée, tout tend au calme plat. Il ne fallait qu'un prétexte pour entrer en pleine réaction, La police le fournit. Pour sortir de l'impasse, elle frappe un grand coup, à l'antique et rejette sur les «rouges», les «socialistes» et la jeunesse en général, l'incendie d'un quartier de Saint-Pétersbourg qu'elle n'a pas su éteindre, et auquel peut-être ont aidé quelques voleurs de rue. Ceci se passait au mois de mai 1862. A...
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Часть текста: ne sont nullement une histoire de la grande conspiration de 1825. Ce ne sont que des fragments, des traits isolés des esquisses, des pages détachées des mémoires et des notes écrites par J. Yakouchkine, Bestoujeff, les princes Troubetzkoï, Obolensky, etc. Nous n'avons fait qu'ajouter quelques détails et quelques généralités. Autant que possible, nous avons tâché de conserver les propres paroles de ces hommes héroïques, qui les écrivaient, d'une main enchaînée, au fond de la Sibérie orientale. C'est dans ce but que nous n'avons pas fondu en une monographie les divers mémoires; au contraire, nous leur avons conservé leur individualité, quoique cela nous entraînât parfois à des répétitions. Le chapitre présent est extrait de la première partie des mémoires de Jean Yakouchkine. Nous ne sommes jamais parvenus à avoir la seconde, qui nous a été positivement promise par nos amis, plus riches en amitié qu'en exactitude. Il y a d'étranges accapareurs, qui pensent naïvement que des mémoires pareils peuvent être une propriété privée. Non seulement des parents et des héritiers, mais des personnes qui ont obtenu, par un hasard heureux, une copie, la mettent sous clé, jouant ainsi le rôle peu généreux du caniche qui gardait avec une avarice jalouse le foin dont il ne se servait pas. I Les destinées de l'Empire russe s'accomplirent le jour de l'entrée triomphale d'Alexandre I er à Paris, escorté par une escouade de princes, parmi lesquels il y avait un empereur d'Autriche et un roide Prusse. Nec plus ultra! Dès ce jour, l'empire pour l'empire était fini, il fallait chercher d'autres...
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Часть текста: au sommeil de l'enfance et n'ayant pas conscience de lui-même. Vous vous sentiez à l'étroit au milieu de ces murs noirâtres, crevassés par le temps et menaçant ruine de toutes parts; j'étouffais, de mon côté, dans cette atmosphère chaude et humide, au milieu de cette vapeur calcaire d'un édifice inachevé: on ne saurait vivre dans un hôpital ni dans une crèche. Partis de deux extrêmes opposés, nous nous rencontrons au même point. Etrangers dans notre patrie, nous avons trouvé un terraia commun sur une terre étrangère. Ma tâche, il faut l'avouer, a été moins pénible que la vôtre. A moi, fils d'un autre monde, il m'a été facile de m'affranchir d'un passé que je ne connaissais que par ouï-dire et dont je n'avais aucune expérience personnelle. La position des Russes, à cet égard, est très remarquable. Nous sommes moralement plus libres que les Européens, et ce n'est pas seulement parce que nous sommes affranchis des grandes épreuves à travers lesquelles se développe l'Occident, mais aussi parce que nous n'avons point de passé qui nous maîtrise. Notre histoire est pauvre, et la première condition de notre vie nouvelle a été de la renier entièrement. Il ne nous est resté de notre passé que la vie nationale, le caractère national, la cristallisation de l'Etat: tout le reste est élément de l'avenir. Le mot de Goethe sur l'Amérique s'applique fort bien à la Russie: «Dans ton existence pleine de sève et de vie, tu n'es troublée ni par d'inutiles souvenirs, ni par de vaines discussions». Je suis venu, comme étranger, en Europe;...
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Часть текста: dame – elle m’invitait de venir passer un couple de jours à sa ferme à Seven Oaks. Je fis sa connaissance à Nice en 1850 – elle connut et quitta notre famille avant les terribles orages. Je voulais moi-même la voir – je sympathisais avec le pli élégant de son esprit, qui1 [727] Chapitre II R. Owen donna à un de ses articles le titre Essai de changer l'asyle des aliénés dans lequel nous vivons – en un monde rationnel. Ce titre rappelle à son biographe le propos suivant tenu par un malade enfermé à Bedlam: «Tout le monde me prend pour un fou, – disait-il, – moi j’ai la même opinion de tout le monde; malheureusement la majorité n’est pas de mon côté». Cela explique très bien le titre d’Owen et jette une grande lumière sur la question. Nous sommes convaincus que la portée de cette comparaison a échappé au sévère biographe. Il a voulu seulement insinuer qu’Owen était fou – et nous ne voulons pas le contredire, – mais cela n’est pas une raison pour penser que tout le monde ne l’est pas. Si Owen était fou – ce n’est nullement parce que le monde le pensait tel, et que lui-même le pensait de tout le monde. Mais bien parce qu’Owen – connaissant qu’il demeurait dans une maison des aliénés – parlait soixante ans de suite aux malades – comme s’ils étaient parfaitement sains. Le nombre des malades n’y fait absolument rien. La raison a sa justification, son criterium ailleurs – elle ne se soumet jamais à la majorité des voix. Si toute l’Angleterre, par ex., se prenait de croire que les...
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Часть текста: que l'Europe, telle qu'elle existe, a terminé son rôle; la dissolution va d'un train exorbitant depuis 1848. Ces paroles effrayent, et on les conteste sans s'en rendre compte. Certainement, ce ne sont pas les peuples qui périront, mais les Etats, mais les institutions romaines, chrétiennes, féodales et jusle-milieu-parlementaires, monarchiques ou républicaines, peu importe. L'Europe doit se transformer, se décomposer, pour entrer eu nouvelles combinaisons. C'est ainsi que le monde romain se transforma en Europe chrétienne. Il cessa d'être lui-même; il n'entra que comme un des éléments — les plus actifs — dans ia constitution du nouveau monde. Jusqu'à nos jours, le monde européen n'a subi que des réformations; les bases de l'Etat, moderne restaient intactes: on continuait sur le même fond en améliorant les détails. Telle a été la réforme de Luther, telle la Révolution de 1789. Telle ne sera pas la Révolution sociale. Nous sommes...
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Часть текста: et en Suisse. Presque toute l'édition a été saisie à Marseille par la douane, qui a oublié de la renvoyer, sans égard aux réclamations. Les temps ont changé; pourtant, nous pensons que cette lettre ne sera pas dénuée d'intérêt pour le public. Le célèbre historien a publié sur cette lettre, dans l'Avènement, un article plein de sentiments de bienveillance et de sentiments d'amitié personnelle pour l'auteur [55] . Monsieur, Vous êtes trop haut placé dans l'estime générale, vos paroles sont accueillies par la démocratie européenne avec trop de confiance que votre noble plume vous a si justement conquise, pour qu'il me soit permis, dans une cause qui touche a mes convictions les plus profondes, de laisser sans réponse la caractéristique du peuple russe que vous faites dans votre beau travail sur Kosciusko [56] . Cette réponse est d'autant plus indispensable, qu'il est temps de faire voir à l'Europe qu'en parlant actuellement de la Russie, ce n'est plus d'un absent, d'un éloigné, d'un muet que l'on parle. Nous sommes présents, nous qui avons quitté la Russie avec le seul but de faire retentir en Europe le libre verbe russe. La parole devient pour nous un devoir, quand un homme, appuyé sur une grande et légitime autorité, vient de nous dire que: «il affirme, qu'il jure, qu'il prouvera que la Russie n'existe pas, que les Russes ne sont pas des hommes, qu'il leur manque le sens moral». Voulez-vous parler de la Russie officielle, de l'empire des façades, du gouvernement byzantino-allemand? D'accord, nous...
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Часть текста: III. Rad Ryleieff et Nicolas Bestoujeff CHAPITRE III CONRAD RYLEIEFF ET NICOLAS BESTOUJEFF[59] «Lorsque Ryléïeff écrivait son Nalivaïko, — écrit Nicolas Bestoujeff, — mon frère Michel, étant malade, demeurait chez lui. Un jour Ryléïeff entra dans sa chambre et lui récita la célèbre »Confession": „Pas un mot, saint-père, tes paroles seront perdues. Je sais que la mort attend celui qui se lève le premier contre les oppresseurs du peuple, je connais mon sort et, saint-père, je le bénis avec joie..." — Ryléïeff, — lui dit Michel, — c'est une prédiction que tu nous fais, à nous et à toi le premier. — Penses-tu donc que j'aie pu douter un seul instant de ce qui m'attend? — répondit Ryléïeff. — Je suis convaincu que notre perte est imminente et qu'elle est nécessaire pour secouer de leur sommeil nos compatriotes endormis». Bestoujeff ajoute: «Chez lui ce n'était pas un élan généreux, ni l'entraînement d'un moment, c'étaient sa religion...
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Часть текста: des tzars un révolutionnaire audacieux doué d'un génie vaste et d'une volonté inflexible. Pierre Ier ne fut ni un tzar oriental ni un dynaste, ce fut un despote, à l'instar du Comité de Salut public, despote en son propre nom et au nom d'une grande idée, qui lui assurait une supériorité incontestable sur tout ce qui l'entourait. Il s'arracha au mystère dont s'entourait la personne du tzar, et jeta avec dégoût loin de lui la défroque byzantine dont se paraient ses prédécesseurs. Pierre Ier ne pouvait se contenter du triste rôle d'un Dalaï-Lama chrétien, orné d'étoffes dorées et de pierres précieuses, qu'on montrait de loin au peuple, lorsqu'il se transportait avec gravité de son palais à la cathédrale de l'Assomption, et de la cathédrale de l'Assomption à son palais. Pierre Ier paraît devant son peuple en simple mortel. On le voit, ouvrier infatigable, depuis le matin jusqu'à la nuit, en simple redingote militaire, donner des ordres et enseigner la manière dont il faut les exécuter; il est maréchal ferrant et menuisier, ingénieur, architecte et pilote. On le voit partout sans suite, tout au plus avec un aide-de-camp, dominant la foule par sa taille. Pierre le Grand, comme nous l'avons dit, fut le premier individu émancipé en Russie, et, par cela même, révolutionnaire couronné. Il soupçonnait ne pas être le fils du tzar Alexis. Un soir il demanda naïvement, au souper, au comte Iagoujinski s'il n'éta pas son père? – «Je n'en sais rien, répondit Iagoujinski pressé par lui la défunte tzarine avait tant d'amantsi» Voilà pour la légitimité. Quant aux...
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Часть текста: devant Smolensk, cette «clef» de la Russie. Alexandre terrifié accourut à Moscou pour implorer le secours de la noblesse et du négoce. Il les invita an palais dé laissé du Kremlin pour aviser au secours de la patrie. Depuis Pierre Ier, les souverains de la Russie n'avaient pas parlé au peu pie; il fallait supposer le danger grand, à la vue de l'empereui Alexandre, au palais, et du métropolitain Platon, à la cathédrale, parlant du péril qui menaçait la Russie. La noblesse et les négociants tendirent la main au gouvernement et le tirèrent de l'embarras. Le peuple, oublié même dans ce temps de malheur général, ou trop méprisé pour qu'on eût voulu lui demander le sang qu'on se croyait en droit de répandre sans son assentiment, le peuple se levait en masse, sans attendre un appel, dans sa propre cause. Depuis l'avènement de Pierre Ier, cet accord tacite de toutes les...