Поиск по творчеству и критике
Cлово "FACILE"
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Часть текста: le monde me prend pour un fou, – disait-il, – moi j’ai la même opinion de tout le monde; malheureusement la majorité n’est pas de mon côté». Cela explique très bien le titre d’Owen et jette une grande lumière sur la question. Nous sommes convaincus que la portée de cette comparaison a échappé au sévère biographe. Il a voulu seulement insinuer qu’Owen était fou – et nous ne voulons pas le contredire, – mais cela n’est pas une raison pour penser que tout le monde ne l’est pas. Si Owen était fou – ce n’est nullement parce que le monde le pensait tel, et que lui-même le pensait de tout le monde. Mais bien parce qu’Owen – connaissant qu’il demeurait dans une maison des aliénés – parlait soixante ans de suite aux malades – comme s’ils étaient parfaitement sains. Le nombre des malades n’y fait absolument rien. La raison a sa justification, son criterium ailleurs – elle ne se soumet jamais à la majorité des voix. Si toute l’Angleterre, par ex., se prenait de croire que les «mediums» évoquent les esprits des défunts – et Faraday lui seul le nierait – la vérité et la raison seraient de son côté et non du côté de toute la population de l’Angleterre. Et cela n’est pas tout – supposons que même Faraday partagerait l’erreur – eh bien, dans ce cas la vérité concernant le sujet n’existerait pas du tout et l’absurdité adoptée par l’unanimité des voix ne...
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Часть текста: II, l'atmosphère de Saint-Pétersbourg était lourde et suffocante; c'était une atmosphère senile, invalide, dans laquelle on sentait partout la vieille femme dépravée, naguère encyclopédiste, maintenant terrifiée devant la Révolution française, et trahissant toutes ses convictions, comme elle trahissait tous ses amants. Autour du trône silence complet, oriental, çà et là il y avait des loges maçonniques, des martinistes; elle commençait déjà à les poursuivre. Çà et là quelques boutades libérales, même un livre entier, le célèbre Voyage de Pétersbourg à Moscou, par Radichtcheff, qu' prêchait l'émancipation des paysans etl'horreur de l'absolutisme. Elle exila l'auteur en Sibérie. C'est tout; pas d'ensemble, pas de suite, de concentration de forces, d'organisation. La grande folie de Paul I er était la haine de la révolution et la crainte que ses principes ne pénétrassent dans son empire. L'intelligence s'arrêta durant son règne, la pensée était paralysée. Le complot tramé contre lui et sa mort ne prouvent pas ]e contraire. Ce complot n'avait aucune signification sérieuse ou générale. C'était une affaire personnelle ou de famille entre Paul et les amants de sa mère, destitués faute d'emploi et persécutés par rancune. C'était une affaire de conservation pour ces gens, qui tremblaient, jour et nuit sous la menace d'une kibitka de Damoclès, tout attelée...
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Часть текста: de civilisation, et qu'il commença à pendre lorsqu'ils furent civilisés. Le retour aux idées nationales conduisait naturellement à une question dont le simple énoncé contenait déjà la réaction contre la période de Pétersbourg. Ne faut-il pas ohercher une issue à la déplorable situation dans laquelle nous nous voyons, en nous rapprochant du peuple que nous méprisons sans le connaître? Ne fallait-il pas revenir à un ordre de choses plus conforme au caractère slave et quitter la voie de la civilisation exotique et forcée? Question grave et d'un intérêt actuel. Mais à peine fut-elle posée, qu'il se trouva un groupe d'hommes, qui, donnant de suite une solution positive, formèrent un système exclusif dont ils firent, non seulement une doctrine, mais une religion. La logique de la réaction est rapide comme celle des révolutions. La plus grande...
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Часть текста: est, à vrai dire, une théocratie. La notion la plus monarchique, c'est la notion de Jéhovah; sans Jéhovah, il peut encore exister des despotes, mais non des monarques, non des rois. Le roi des cieux suppose le roi terrestre et le soutient. Pourquoi, en effet, les hommes n'obéiraient-ils pas à un seul, lorsque toute la nature, tout l'univers, obéissent servilement à un seul. De là, il résulte clairement que le premier besoin d'une organisation sociale libre — c'est d'effacer complètement toute démarcation entre prêtre et laïque, entre peuple et gouvernement. La monarchie aima toujours à se comparer à l'ordre céleste — la république, plus humble, et tout-à-fait terrestre, doit ressembler à la nature. La nature, c'est l'harmonie et l'anarchie, c'est l'individualisme de chaque être et l'ensemble le plus grand, le plus complet de tous. Le principe de la nature est tout le contraire du dualisme — c'est l'immanence. L'immanence réunit ce que le dualisme sépare;...
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Часть текста: SERFDOM FIRST ARTICLE «The emancipation of all the oppressed and suffering is the vocation of the century». Gervinus The time has come when Russian serfdom should be made, if not an European, at least an English question. London, which has become the permanent oecumenical seat of council for all movements of liberty, emancipation, progression, can scarcely remain indifferent to such a question as that of white slavery in Russia[1]. White slavery in Russia has been too little attacked: perhaps because it has not been defended with the fierce tenacity of Transatlantic slaveholders. For it is to be remarked, that although many of the rich landholders in Russia passionately desire the maintenance of serfdom, no one is found to justify the institution ‒ no one to undertake its defence: not even the government. It is nevertheless a question of capital importance. Indeed, the whole Russian Question, for the present at least, may be said to be included in that of serfdom. Russia cannot make a step in advance until she has abolished slavery. The serfdom of the Russian peasant is the servitude of the Russian empire. The political and social existence of Western Europe formerly was concentrated in châteaux and in cities. It was essentially an aristocratic, or municipal existence. The peasant remained outside of the movement. The revolution took little thought of him. The sale of national property had no effect upon his condition, except to ...
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Часть текста: une bombe fulminante qui ne l’a pas atteint. A l’Angleterre elle-même le pied a glissé; mais, heureusement, elle s’est redressée aussitôt. Maintenant les journaux absolutistes ne parlent que d’une alliance ultra-monarchique contre l’Angleterre, — chose extrêmement naturelle et que l’on devait prévoir. On est allé jusqu’à présumer que dans cette conspiration despotique la Russie figurera à côté de la France. Nous ne le croyons pas, mais si cela était, ce serait une absurdité historique, qui, à elle seule, suffirait à montrer dans toute son étendue l’incapacité flagrante du gouvernement tel qu’il est aujourd’hui constitué en Russie. Cette ligue contre l’Angleterre, qui est une nécessité de position, une conséquence logique pour les autres gouvernements du Continent, serait une faute pour la Russie. La Russie a été détournée de sa voie et traînée à la remorque par la réaction européenne; cela est vrai; mais la corde s’est brisée, et la Russie reprend maintenant son cours naturel. Avant la guerre de Crimée, il y a quatre ans, nous disions: «Le despotisme n’est pas du tout conservateur. Il ne l’est pas même en Russie. Le...
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Часть текста: POLONAISE ARTICLE PREMIER II y a des douleurs qu'on n'aime pas à traduire en paroles — sans nécessité. J'ai profondément désiré ensevelir les réminiscences de 1863—64 jusqu'à d'autres temps et d'autres circonstances. J'ai noté, pour moi seul, quelques souvenirs que je relisais comme une messe de morts. Harcelé par des ennemis, forcé de parler[86], je ne sortais jamais des généralités et d'une extrême réserve. C'est ce que je me propose de faire aussi maintenant, en soulevant un peu plus le linceul. Le silence, malheureusement, n'est pas toujours possible— il laisse se consolider, s'enraciner des représentations erronées. Il m'a été très difficile de prendre la parole; mais, comme cela arrive fréquemment, un rien qui déborde, une ironie mal placée, un mot mal pesé, nous font lever notre propre consigne, pour rappeler aux adversaires et aux loustics — qu'on n'est pas tout à fait mort pour se taire. Cette fois, la goutte qui a débordé — goutte martiale, pour-rais-je dire, car elle est tombée d'un général à un major — est la lettre de M. Mieroslawsky, publiée à Genève. On y trouve des passages dans ce genre: «Le Comité varsovi-en — Padlewsky, Giller, Milowicz — composé à Paris, partit en corps et en pompe, au mois de novembre 1862, offrir la direction suprême de l'insurrection polonaise à MM. Herzen, Ogareff et Bakounine, en acceptant, au nom de la Pologne, si mal démembrée Par le congrès de Vienne, le sous-démembrement qui lui était offert par le dernier de ces patriotes moscovites. MM. Herzen et Ogareff eurent le mauvais goût de se...
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Часть текста: La voici: l'Europe est-elle, ou non, capable d'une régénération sociale? — Cette question est grave! Car si le peuple russe n'a qu'un seul avenir, il y a peut-être deux éventualités pour l'avenir de l'empire russe; des deux, laquelle se réalisera? cela dépend de l'Europe. Il me semble, à moi, que l'Europe, telle qu'elle existe, a terminé son rôle; la dissolution va d'un train exorbitant depuis 1848. Ces paroles effrayent, et on les conteste sans s'en rendre compte. Certainement, ce ne sont pas les peuples qui périront, mais les Etats, mais les institutions romaines, chrétiennes, féodales et jusle-milieu-parlementaires, monarchiques ou républicaines, peu importe. L'Europe doit se transformer, se décomposer, pour entrer eu nouvelles combinaisons. C'est ainsi que le monde romain se transforma en Europe chrétienne. Il cessa d'être lui-même; il n'entra que comme un des éléments — les plus actifs — dans ia constitution du nouveau monde. Jusqu'à nos jours, le monde européen n'a subi que des réformations; les bases de l'Etat, moderne restaient intactes: on continuait sur le même fond en améliorant les détails. Telle a été la réforme de Luther, telle la Révolution de 1789. Telle ne sera pas la Révolution sociale. Nous sommes arrivés à la dernière limite du replâtrage; il est impossible de se mouvoir dans les anciennes formes sans les faire éclater. Notre idée...
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Часть текста: pour nous — mais pour son existence il n’y a rien de nécessaire que d’être avec toi; si elle ne nous voit que quinze jours plus tard — ce n’est pas un grand changement. — Je savais très bien cela et je conseillais d’aller à Zurich encore au mois de mars, mais tu n’as pas voulu, tu l’as arrêtée à Paris. Survient cette maudite affaire policière. — Vraiment, c’est une tâche très facile, post facto , de faire des observations, comme nous les avons faites critiquant, ex < empli > gr < atia > toutes les révolutions. Peut-être je n’aurais pas insisté sur le départ si prompt cinq jours après, mais je demande à tout Paris, si le 20 mai on savait que le 1 juin Paris serait la ville la plus tranquille du monde; j’avais la plus ferme intention de partir le 26. Les circonstances changèrent — pas le moindre danger à présent, de très graves alors. Et qui donc pouvait prévoir que tu voulais venir à Paris, un mot dans ta lettre suffisait pour...
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Часть текста: russe des premiers volumes de mes Souvenirs et pensées . Cet ouvrage, complètement épuisé maintenant, a eu quelque succès. Des amis que j'estime et au goût desquels j'ai une grande confiance, m'ont exprimé plusieurs fois le désir de voir la traduction des volumes suivants. Je voulais faire l'édition de tout l'ouvrage… Je n'avais pas de traducteur sous la main, et le temps passait. Sur de nouvelles instances et pour tout arranger, j'ai promis de donner cette automne, dans quelques feuilletons du Kolokol, des fragments du IV e volume, dont la traduction a été faite par mon fils et revue par moi. Ces fragments n'ont d'autre droit d'hospitalité dans le journal que celui que leur donne le désir de mes amis. Pourtant quelques scènes des temps orageux (1848–1852) du monde européen, décrites par un Russe, et quelques profils de réfugiés «peints par eux-mêmes et dessinés par un autre», – peuvent avoir un intérêt sui generis pour les lecteurs qui ne connaissent pas la langue russe. 21 août 1868. Hcâteau de Prangins, près Nyon. ПЕРЕВОД Лет десять тому назад г. Делаво опубликовал очень хороший...