Поиск по творчеству и критике
Cлово "MOMENT"
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Часть текста: июньских баррикад. Жизненная мысль его, страсть всего его существования была неутолимая, спартаковская жажда восстания рабочего класса против среднего сословия. Мысль эта у него была неразрывна с свирепым желанием истребления буржуазии. Какой комментарий дал мне этот человек к ужасам 93 и 94 года, к сентябрьским дням, к той ненависти, с которой ближайшие партии уничтожали друг друга! В нем я наглазно видел, как человек может соединять желание крови с гуманностью в других отношениях, даже с нежностью и как человек может быть правым перед совестью, посылая, как Сен-Жюст, десятки людей на гильотину. «Чтоб революция в десятый раз не была украдена из наших рук, – говорил Бартелеми, – надобно дома, в нашей семье сломить голову злейшему врагу. За прилавком, за конторкой мы его всегда найдем – в своем стане следует его побить!» В его листы проскрипции входила почти вся эмиграция: Виктор Гюго, Маццини, Виктор Шельшер и Кошут. Он исключал очень немногих и в том числе, я помню, Луи Блана. Особым, задушевным предметом его ненависти был Ледрю-Роллен. Живое, страстное, но очень спокойно установившееся лицо Бартелеми судорожно подергивалось, когда он говорил об «этом диктаторе буржуазии». А говорил он мастерски, этот талант становится реже и реже. Публичных говорунов в Париже, и особенно в Англии, бездна. Попы, адвокаты, члены парламента, продавцы пилюль и дешевых карандашей, наемные светские и духовные ораторы в парках – все они имеют удивительную способность проповедовать , но говорить для комнаты умеют немногие. Односторонная логика Бартелеми, постоянно устремленная в одну точку, действовала, как пламя паяльной трубки. Он говорил плавно, не возвышая голоса, не махая руками; его фразы и выбор...
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Часть текста: sont nullement une histoire de la grande conspiration de 1825. Ce ne sont que des fragments, des traits isolés des esquisses, des pages détachées des mémoires et des notes écrites par J. Yakouchkine, Bestoujeff, les princes Troubetzkoï, Obolensky, etc. Nous n'avons fait qu'ajouter quelques détails et quelques généralités. Autant que possible, nous avons tâché de conserver les propres paroles de ces hommes héroïques, qui les écrivaient, d'une main enchaînée, au fond de la Sibérie orientale. C'est dans ce but que nous n'avons pas fondu en une monographie les divers mémoires; au contraire, nous leur avons conservé leur individualité, quoique cela nous entraînât parfois à des répétitions. Le chapitre présent est extrait de la première partie des mémoires de Jean Yakouchkine. Nous ne sommes jamais parvenus à avoir la seconde, qui nous a été positivement promise par nos amis, plus riches en amitié qu'en exactitude. Il y a d'étranges accapareurs, qui pensent naïvement que des mémoires pareils peuvent être une propriété privée. Non seulement des parents et des héritiers, mais des personnes qui ...
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Часть текста: Owen donna à un de ses articles le titre Essai de changer l'asyle des aliénés dans lequel nous vivons – en un monde rationnel. Ce titre rappelle à son biographe le propos suivant tenu par un malade enfermé à Bedlam: «Tout le monde me prend pour un fou, – disait-il, – moi j’ai la même opinion de tout le monde; malheureusement la majorité n’est pas de mon côté». Cela explique très bien le titre d’Owen et jette une grande lumière sur la question. Nous sommes convaincus que la portée de cette comparaison a échappé au sévère biographe. Il a voulu seulement insinuer qu’Owen était fou – et nous ne voulons pas le contredire, – mais cela n’est pas une raison pour penser que tout le monde ne l’est pas. Si Owen était fou – ce n’est nullement parce que le monde le pensait tel, et que lui-même le pensait de tout le monde. Mais bien parce qu’Owen – connaissant qu’il demeurait dans une maison des aliénés – parlait soixante ans de suite aux malades – comme s’ils étaient parfaitement sains. Le nombre des malades n’y fait absolument rien. La raison a sa justification, son criterium ailleurs – elle ne se soumet jamais à la majorité des voix. Si toute l’Angleterre, par ex., se prenait de croire que les «mediums» évoquent les esprits des défunts – et Faraday lui seul le nierait – la vérité et la raison seraient de son côté et non du côté de toute la population de l’Angleterre. Et cela n’est pas tout – supposons que même Faraday partagerait l’erreur...
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Часть текста: — Penses-tu donc que j'aie pu douter un seul instant de ce qui m'attend? — répondit Ryléïeff. — Je suis convaincu que notre perte est imminente et qu'elle est nécessaire pour secouer de leur sommeil nos compatriotes endormis». Bestoujeff ajoute: «Chez lui ce n'était pas un élan généreux, ni l'entraînement d'un moment, c'étaient sa religion calme, sa conviction inébranlable». Il était présent lorsque Ryléïeff se sépara de sa mère, qui quittait Pétersbourg. L'idée de ne plus revoir son fils tourmentait la pauvre femme, elle ne pouvait se défaire du pressentiment qu'il allait à une perte sûre: «—Sois circonspect, mon ami, —lui disait-elle, — tu es si imprudent... Le gouvernement est soupçonneux, des espions sont partout aux aguets, et toi — tu as l'air de te complaire à les provoquer en attirant sur toi leur attention. — Vous avez tort, maman, — répondit Ryléïeff, — mon but est au-dessus des taquineries et des provocations à l'adresse de quelques misérables agents de la police....
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Часть текста: pourtant, nous pensons que cette lettre ne sera pas dénuée d'intérêt pour le public. Le célèbre historien a publié sur cette lettre, dans l'Avènement, un article plein de sentiments de bienveillance et de sentiments d'amitié personnelle pour l'auteur [55] . Monsieur, Vous êtes trop haut placé dans l'estime générale, vos paroles sont accueillies par la démocratie européenne avec trop de confiance que votre noble plume vous a si justement conquise, pour qu'il me soit permis, dans une cause qui touche a mes convictions les plus profondes, de laisser sans réponse la caractéristique du peuple russe que vous faites dans votre beau travail sur Kosciusko [56] . Cette réponse est d'autant plus indispensable, qu'il est temps de faire voir à l'Europe qu'en parlant actuellement de la Russie, ce n'est plus d'un absent, d'un éloigné, d'un muet que l'on parle. Nous sommes présents, nous qui avons quitté la Russie avec le seul but de faire retentir en Europe le libre verbe russe. La parole devient pour nous un devoir, quand un homme, appuyé sur une grande et légitime...
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Часть текста: — par les casemates et l'exil: les condamnations pour délits politiques recommencent. Le 14 décembre 1861, le poète Mikhaïlov est condamné aux travaux forcés, pour avoir adressé à la jeunesse un appel qui n'a eu aucune suite. La société, ce qui est peut-être plus étonnant, commence aussi à murmurer. Elle semble fatiguée de la liberté, avant même de l'avoir obtenue. Elle en craint les excès, avant d'en avoir eu la jouissance. La première effervescence passée, tout tend au calme plat. Il ne fallait qu'un prétexte pour entrer en pleine réaction, La police le fournit. Pour sortir de l'impasse, elle frappe un grand coup, à l'antique et rejette sur les «rouges», les «socialistes» et la jeunesse en général, l'incendie d'un quartier de Saint-Pétersbourg qu'elle n'a pas su éteindre, et auquel peut-être ont aidé quelques voleurs de rue. Ceci se passait au mois de mai 1862. A cette accusation, comme si on l'eût attendue, s'élève dans les journaux une clameur contre les incendiaires. On demande des enquêtes et «des punitions extraordinaires». On accuse des jeunes gens qui avaient répandu une espèce de manifeste révolutionnaire. «La Gazette de Moscou» tâche d'établir la complicité de la «Jeune Russie» avec les incendiaires et de faire peser sur celle-là la responsabilité des actes de ceux-ci. L'opinion publique s'alarme. On a peur à Pétersbourg. On a peur à Moscou. On a peur dans les provinces. Le gouvernement doit sauver la société, rassurer les esprits; et, pour ce faire, il s'empresse d'ordonner l'arrestation de quelques centaines de jeunes gens, étudiants et littérateurs. La part que...
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Часть текста: de Byzance ou d’un préfet bonapartiste. C’est pour nous rendre au désir du Comité International, qui s’est si fraternellement rappelé de nos martyrs à l’anniversaire du 26 décembre, que nous avons écrit cet opuscule, résumé serré des principaux faits relatés dans notre ouvrage. I La mission historique de la dictature impériale qui, pendant longtemps, absorba toute l’activité nationale de la Russie, toutes les libertés et franchises, tous les pouvoirs, même ceux de l’église et de la civilisation, approche de sa fin. L’impérialisme, tel qu’il a été organisé par la main vigoureuse de Pierre I et développé par Catherine II, a fait son temps. Sa clôture a été solennelle. — Ce fut lorsque Alexandre I entra à Paris, suivi de ses alliés couronnês (les mêmes qui se pressaient dans l’antichambre de Bonaparte à Dresde) et qu’il disposa de la couronne de France en faveur des Bourbons, tandis que ses amis disposaient en sa faveur de la couronne de Pologne. Le rêve de Pierre I, l’idée fixe de Catherine II étaient accomplis. Qu’avait voulu en effet Pierre I? — un moule, une forme vaste pour un Etat fort et agressif. Il avait voulu avoir à la fois une main dans les affaires de l’Occident et une main dans les affaires de l’Orient. Cette création fondée sur un despotisme...
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Часть текста: dans l'Etoile Polaire, etc., etc. Le mouvement politique non officiel et gouvernemental, ne date réellement, en Russie, que du règne d'Alexandre I er , et principalement de 1812. Les dernières années du règne de Catherine II, l'atmosphère de Saint-Pétersbourg était lourde et suffocante; c'était une atmosphère senile, invalide, dans laquelle on sentait partout la vieille femme dépravée, naguère encyclopédiste, maintenant terrifiée devant la Révolution française, et trahissant toutes ses convictions, comme elle trahissait tous ses amants. Autour du trône silence complet, oriental, çà et là il y avait des loges maçonniques, des martinistes; elle commençait déjà à les poursuivre. Çà et là quelques boutades libérales, même un livre entier, le célèbre Voyage de Pétersbourg à Moscou, par Radichtcheff, qu' prêchait l'émancipation des paysans etl'horreur de l'absolutisme. Elle exila l'auteur en Sibérie. C'est tout; pas d'ensemble, pas de suite, de concentration de forces, d'organisation. La grande folie de Paul I er était la haine de la révolution et la crainte que ses principes ne pénétrassent dans son empire. L'intelligence s'arrêta durant son règne, la pensée était paralysée. Le complot tramé contre lui et sa mort ne prouvent pas ]e contraire. Ce complot n'avait aucune signification sérieuse ou générale. C'était une affaire personnelle ou de famille entre Paul et les amants de...
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Часть текста: progrès et réaction, avenir et présent, détritus et germes. Seuls publicistes russes en Occident, nous ne voulons pas prendre sur nous la responsabilité du silence. Le spectre russe, exploité après 1848 par Donoso Cortès en laveur du catholicisme, apparaît avec une nouvelle vigueur dans le camp opposé. On est prêt à voiler encore une fois les «droits de l'homme», que l'on a oubliés, et à suspendre la liberté que l'on n'a plus, pour veiller au «Salut de la civilisation» menacée et — refouler ces Attilas en herbe et ces Alaric futurs, au delà du Volga et de l'Oural. Le danger est si grand qu'on a hasardé de proposer à l'Autriche de donner la main qui lui reste — à la Prusse, qui a amputé l'autre... que l'on a conseillé à tous les Etats d'entrer dans une sainte ligue d'un despotisme militaire contre l'empire des tzars. On écrit des livres, des articles, des brochures en français, allemand, anglais; on prononce des discours, on fourbit les armes... et la seule chose que l'on omet, c'est Гétude sérieuse de la Russie. On se borne au zèle, à la ferveur, à l'élévation des sentiments. On croit que,si l'on plaint la Pologne — on connaît la Russie. Cet état de choses peut amener des conséquences graves, de grandes fautes, de grands malheurs, sans parler du malheur très réel — d'être dans une complète erreur. Il y a...
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Часть текста: моих «Записок», изданных Гофманом и Кампе в Гамбурге, в котором я рассказываю о моем детстве, прибавляет шутя, что я повествую свою жизнь, как эпическую поэму: начал in medias res [218] и потом возвратился к детству. Это эпическое кокетство – совершенная случайность, и если кто-нибудь виноват в нем, то совсем не я, а скорее мои рецензенты и в том числе сам критик «Прессы». Если б они отрывки из моих «Записок» приняли строже, холоднее и, что еще хуже, – пропустили бы их без всякого внимания, я долго не решился бы печатать еще и долго обдумывал бы, в каком порядке печатать. Прием, сделанный им, увлек меня, и мне стало труднее не печатать, нежели печатать. Я знаю, что большая часть успеха их принадлежит не мне, а предмету. Западные люди были рады еще раз заглянуть за кулисы русской жизни. Но, может, в сочувствии к моему рассказу доля принадлежит простой правде его. Эта награда была бы мне очень дорога, ее только я и желал. Часть, печатаемая теперь, интимнее...